Son histoire domaniale, architecturale, décorative et anecdotique. Imprimerie du Sénat, Paris, 1910-1911. In-4 p., 2 voll. in 1, legatura firmata H. Eggers in mz. pelle con ang., dorso a cordoni (picc. manc.) con fregi e tit. oro, taglio sup. dorato, pp. XXIII,217; X,274; con oltre 100 ill. in b.n. e a colori nel testo e fuori testo: piante e cartine geografiche, ritratti, riproduz. di incisioni, vedute, autografi, etc. Storia del Lussemburgo, così suddivisa: Des premiers siècles à l'année 1611 // de 1611 (date des premières operations immobilières de Marie de Médicis) à l'annèe 1911. Esemplare ben conservato.
Reference : 144056
Libreria Malavasi
Sergio Malavasi
Largo Schuster 1
20122 Milano
Italy
+39 02 804607
par virement bancaire - contre remboursement (pour clients en Italie seulement) - paypal
[], [], [1560 ca]. Manuscrit in-4 (17 x 23 cm) à 30 lignes par page de (21) ff., cartonnage gris bleu, dos à nerfs muet (reliure du XIX siècle).
Pièce d'archive copiée vers 1560 relative à l'organisation générale du Conseil de Luxembourg dont le texte fut édicté à Bruxelles le 11 septembre 1532 par la gouvernante générale Marie de Hongrie (1505-1558) : Ordonnances statuts stils et maniere de proceder pour le conseil provincial de Luxembourg. Dans le cadre des réformes engagées par Charles Quint, le Conseil princier du Luxembourg prit en 1531 le nom de Conseil provincial ou Conseil et siégea à Luxembourg. Outre le gouverneur y siégeaient le président, un jurisconsulte, trois conseillers de longue robe, jurisconsultes, trois conseillers de courte robe, nobles, un procureur général, un secrétaire-greffier et un certain nombre d'employés subalternes. Pour ce qui était de ses attributions, le Conseil fut à la fois un organe de gouvernement et un tribunal. Ses attributions s'étendaient à trois domaines et sa tâche essentielle constituait à sauvegarder les droits du prince. (Jean-Marie Kreins, Histoire du Luxembourg).Précieux manuscrit calligraphié à l'encre brune dans une élégante écriture cursive et lisible, caractéristique de la seconde moitié du XVIe siècle. Relié en tête : Ordonnances, statuts, stil, et manière de procéder faictes et décrétées par le roy nostre sire, pour le grand conseil de Sa Majesté le VIII jour d'Aoust 1559, depuis publiées audict grand conseil en plain consistoire, les XIX et XX jours de décembre ensuyvant audict an LIX. Anvers, Guillaume Sylvius, 1560. In-4 de 57 pp. (manque le feuillet blanc in fine).Édition anversoise de l'ordonnance de Philippe II des 19 et 20 décembre 1559 réglant la procédure du Grand Conseil des Malines.Feuillet de titre aux armes de Philippe II, souverain des Pays-Bas et Roi d'Espagne. Ex-libris manuscrit "H. Bonnet" sur le titre.
Bel exemplaire de ce rare recueil orné de 25 superbes planches en vifs coloris de l’époque, conservé dans sa reliure de l’époque en demi-chagrin rouge. Paris, chez Desève, artiste-éditeur et Deterville, libraire, de l’imprimerie de Crapelet, 1809. Grand in-folio de (2) ff. de faux-titre et titre, 2 pp. d’Avertissement, 8 pp., 7 pp. d’explication, 25 planches en couleurs accompagnées chacune de 1 ou 2 ff. de texte explicatif et protégées par des serpentes. Qq. discrètes piqûres. Relié en demi-chagrin rouge à coins, dos à nerf orné de filets dorés. Qq. frottements aux charnières et aux coins, manque à la coiffe supérieure. Reliure de l’époque. 546 x 356 mm.
Superbe et rare recueil présentant les tableaux peints par Rubens pour orner le palais du Luxembourg construit pour Marie de Medicis. Graesse, Trésor de livres rares, 12 ; Sander 747 ; Cohen, Guide de l’amateur de livres à gravures, 914 (pour l’édition de 1808) ; Brunet, IV, 1443. « C’est l’histoire allégorique de Marie de Médicis. Les originaux de Rubens, qui ont orné longtemps le Palais du Luxembourg, construit pour cette princesse, sont maintenant au Louvre » (Cohen). Un recueil similaire avait déjà paru en 1710 sous le titre : « La Galerie du Palais du Luxembourg, peinte par Rubens », mais le présent ouvrage, publié presque cent ans plus tard, est entièrement nouveau, avec des gravures différentes, accompagnées d’un texte explicatif. Les bibliographes mentionnent une édition de Paris, 1808 mais nous ne sommes parvenus à en localiser aucun exemplaire. On apprend dans l’Avertissement que : « La Galerie du Luxembourg, cette belle collection des tableaux de Rubens, avait déjà été reproduite par le burin. Mais depuis longtemps le recueil en était devenu rare dans le commerce. L’éditeur actuel s’est flatté qu’en reproduisant de nouveau [cette belle collection des tableaux de Rubens], sous une forme plus commode, accompagnée d’un texte historique et allégorique, elle serait bien reçue du Public. Il a pensé ainsi que Rubens ayant excellé dans le choix et l’éclat des couleurs, ce serait lui faire perdre plus qu’à un autre de se borner à rendre les traits et l’expression. Il a donc mis tous ses soins pour imiter, autant qu’il est possible, le charme du coloris de l’original ». La superbe illustration se compose d’un portrait de Rubens par Le Clerc gravé par Benoist et de 24 planches d’après les tableaux de Rubens gravées par Benoist, Duthé, Gauthier le jeune, Gabriel, Gouyon, Disart et Pierron. Elles représentent : un Portrait de Marie de Médicis en Minerve, un Portrait de François II, un Portrait de Jeanne d’Autriche, les Parques, la Naissance de la reine, l’Education de la reine, Henri IV qui délibère sur son futur mariage, le Mariage de Marie de Médicis avec Henri IV, le Débarquement de la reine à Marseille, la Ville de Lyon qui va au-devant de la reine, l’Accouchement de la reine, Henri IV qui part pour l’Allemagne, le Couronnement de la reine, l’Apothéose de Henri IV, le Gouvernement de la reine, le Voyage de la reine au pont de Cé, l’Echange des deux reines, la Félicité de la régence, la Majorité de Louis XIII, la Reine s’enfuit de Blois, la Reine prend le parti de la paix, Conclusion de la paix, la Paix confirmée dans le ciel, le Tems découvre la vérité. « Les figures existent en noir et imprimées en couleur. En noir, reliure, 350 francs ; en couleurs, reliure, 2 000 francs » (Sander). Précieux exemplaire du tirage de luxe, dont l’ensemble des planches ont été imprimées en couleurs et finement rehaussées à la main à l’époque. Le présent ouvrage étant l’un des premiers à comporter des planches imprimées en couleurs qui reproduisent fidèlement des tableaux d’un grand maitre, il occupe une place importante dans l’étude de l’histoire de l’art. Bel exemplaire de ce rare recueil orné de 25 superbes planches en vifs coloris de l’époque, conservé dans sa reliure de l’époque en demi-chagrin rouge.
1838 Paris, Vinchon, fils et successeur de Me. Ve. Ballard, 1838, petit in-8, 186x110mm, 72pp., plein maroquin violet, dos lisse avec titre et date, filets et motifs circulaires dorés, plats avec encadrement de filets et motifs en coins, filets sur coupes et contreplats, tranches dorées, gardes marbrées.Description de 175 oeuvres exposées avec un commentaire sur le sujet et les Salons auxquelles elles ont été acquises.
Devenu roi, Louis XVIII, voulant que le musée qui se trouvait dans la chambre des Pairs redevint important et vivant, décida en 1818 que dans le même lieu serait aménagé un musée des artistes français vivants. Le 24 avril 1818 ouvrait, dans les galeries du palais du Luxembourg, le musée des artistes vivants, doté de 74 toiles d'artistes vivants et de 17 d'artistes anciens, qui furent retirées dès 1821Y étaient alors exposées, entre autres, des œuvres de David (1748-1825), de Gros (1751-1835), de Girodet (1767-1824), d'Ingres (1780-1867) et de Delacroix (1798-1863). Le système prévoyait que dix ans après la mort de l'artiste, les oeuvres dont « l'opinion universelle a consolidé la gloire » soient transférées au Louvre, les autres étant reversées à d'autres institutions ou administrations. Dans un premier temps, les collections du musée du Luxembourg sont presque exclusivement constituées par des achats au Salon. Elles reflètent donc le goût officiel de l'époque faisant la part belle à la peinture d'histoire, aux portraits et aux paysages classiques, selon une hiérarchie des genres bien établie. C'est ainsi que plusieurs sculptures aujourd'hui exposées dans le jardin entrèrent au Luxembourg, parmi lesquelles L'Acteur grec ou Le Faune dansant.(101759) Bel exemplaire malgré deux légères éraflures au deuxième plat.
Phone number : +33 1 48 01 02 37
, , [1700 ca]. Manuscrit in-12 de (105) ff., vélin dur, dos à nerfs, titre manuscrit (reliure de l'époque).
Rare version manuscrite contemporaine du pamphlet publié sous le voile de l'anonyme en 1695 par Richemont à Cologne, Le Maréschal de Luxembourg au lit de la mort tragi-comédie.« Cette satire offre des particularités curieuses pour l'histoire du temps, quoiqu'il faille les admettre avec précaution ; ainsi nous n'avions pas vu ailleurs que le Maréchal mourut des suites d'une débauche avec Mademoiselle de… Mais monsieur le médecin ? qui donc l'a fait mourir ? dit le duc du Maine. - Ce n'est pas moi répond naïvement le médecin. ».Personnage considérable du Grand Siècle auquel Saint-Simon consacre un large chapitre de ses Mémoires, François-Henri de Montmorency-Bouteville (1628-1695), comte de Bouteville et comte de Luxe, duc de Piney-Luxembourg, pair de France et Maréchal de France, plus connu sous le nom de Maréchal de Luxembourg ou celui de tapissier de Notre-Dame, mourut quelques mois avant la publication de la brochure qui atteignait aussi l'entourage de Louis XIV. Cette copie manuscrite est conforme à l'imprimé en cinq actes avec quelques petites nuances lexicales sans incidence.Provenance : ex-libris manuscrit à l'encre du temps Jacobi de Maunoury 1736.Pour l'imprimé : Brunet, III, 1411 ; Bourgeois et André, 3005 ; Soleinne, 3754 ; Jammes, Bûcher bibliographique, 456.
N° 391 - 11 avril 1953 - in-4 broché - revue illusrée
bon état