Paris, Garnier, 1952. Grand in-8 de [24] pages, couverture illustrée.
Reference : 20523
Joli album illustré tout en couleurs. Le lapin Gaétan, la cane Martine et le chat Fouifoui, c'est là leurs aventures qui vous sont ici narrées. A noter tout de même l'histoire de Gaétan le lapin volant grâce à ses ailes qui ont poussées après avoir brouté de l'herbe fournit par l'ours de la forêt. Parfaitement.
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État : Assez bon état - Année : 1946 - Format : in 12° - Pages : 257pp - Editeur : Paul Hartmann - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Couv un peu salie (qes tâches). Dos un peu plié. Pages jaunies. Intérieur solide et propre. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/rudyard-kipling/4961-souvenirs-un-peu-de-moi-meme-pour-mes-amis-connus-et-inconnus?lrb
Le célèbre auteur du non moins célèbre ˮLivre de la Jungleˮ revient à 70 ans, peu avant sa mort, sur son passé. Il nous parle de sa prime jeunesse heureuse aux Indes, de sa jeunesse fort malheureuse dans une famille d'accueil en Angleterre, de son séjour en Amérique, de ses voyages en Afrique du Sud, de sa famille et de ses activités littéraires. Traduction de S. et J. Vallette. Des souvenirs qui permettent de mieux pénétrer l'oeuvre et les idées de cet immense écrivain, prix Nobel en 1907 auteur de ˮKimˮ, du ˮFardeau de l'homme blancˮ, de ˮCapitaine courageuxˮ, de ˮL'homme qui voulut être roiˮ...
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Lettre I. Paris – 28 février 1890. [3 pages in-12 sur papier vergé crème]. Mon cher confrère, Ci-joint une vingtaine de notices sur « Paris qui Crie[2] ou les Petits métiers. » De cette façon vous pouvez prendre l’air de la maison, ruminer votre provende et pondre une jolie petite Préface : … J’espère que Mr. Prudhomme n’aurait pas dit mieux. Mais nous sommes, très, très pressés et nous n’attendons plus que vous pour paraître au grand jour. Après les coups réitérés dont vous nous frappez dans le Livre Moderne[3], sans relâche et sans indulgence exagérée, il faut que nous publions (sic) au plus vite un volume pour riposter à pareille artillerie. Or il sera assez coquet de vous voir escarmoucher dans notre Préface en faveur des Amis des Livres[4]. Qu’elle soit vive, brève, peu poussée et bien troussée, votre Préface, d’ailleurs comme vous savez les faire. Je ne vous en demande pas long, mais bon et prompt ; si c’était possible, avant votre départ pour les pays étranges[5]. Je vous rappelle que les gravures seront peinturlurées et que le texte est dû à la collaboration des membres de la société. [1] Eugène Paillet (1829-1901) est le fondateur de la société des Amis des Livres. C’était un ardent bibliophile. Sa bibliothèque fut vendue en trois fois, dont deux ventes de son vivant. - Bibliothèque d'un bibliophile, 1865-1885. Lille, Danel, 1885, petit in-8, XVI + 149 pp + (1) f. Ce catalogue à été édité à 200 exemplaires tous numérotés sur vergé de Hollande. 1000 livres sont décrits. - Catalogue des livres de la bibliothèque de M. Eugène Paillet. Paris, Damascène Morgand, 1887, in-8 avec un portrait, 170 pages, tirage à 797 exemplaires numérotés, les exemplaires sont sur grand papier vélin d'Arches. - La bibliothèque de feu M. Eugène Paillet (Président de la Société des Amis des Livres). Paris, Damascène Morgand, 1902, 2 vol. in-8. [2] Paris qui crie (petits métiers). Notices par Albert Arnal, Henry Spencer, Ashbee, Jules Claretie, Abel Giraudeau, Henry Houssaye, Henri Meilhac, Victor Mercier, Eugène Paillet, Jean Paillet, Roger Portalis, E. Rodrigues. Préface de Henri Beraldi. 1 vol. petit in-4°, 1890. 30 dessins en couleurs de Pierre Vidal, tirés au patron. Imprimé par G. Chamerot. [3] Le Livre Moderne est la nouvelle revue éphémère que vient d’entreprendre Octave Uzanne à la fin de l’année 1889. Elle comptera 24 livraisons mensuelles, soit deux années d’existence (1890 et 1891). Uzanne inflige de sévères critiques à peine voilées aux Amis des Livres dirigés par Eugène Paillet et ce dès les premières pages de sa nouvelle revue : « Soit qu’il nous plaise de résumer en un court chapitre la théorie de l’illustration moderne, soit qu’il nous convienne de parler du format des livres d’art, soit enfin que la fantaisie nous porte à partir en guerre contre la routine de nos éditeurs les plus en renom, dont l’esprit de nouveauté, de recherche et d’originalité se donne si peu carrière, on peut être assuré que nous ne faiblirons pas à notre tâche et que nous irons toujours de l’avant, sans crainte de nous attirer les sarcasmes et les calomnies des bibliophiles vieux jeu, rétrogrades, fermés aux visions du progrès et qui, loin de s’appeler amis des livres, méritent par leurs préjugés et leurs errements le qualificatif plus juste d’ennemis du Livre. (…) » (Nos variations futures sur l’art du livre et le livre d’art moderne, p. 5). Il poursuit ses acides critiques envers les Amis des Livres p. 58-60 « Les collègues de M. Eugène Paillet manifestent une impatience légitime et trouvent que la Société (des Amis des Livres) est d’un platonisme navrant. » et plus loin : « Franchement il serait temps que les Amis des Livres montrent qu’ils ne sont pas morts, frappés par l’influenza du lazaronisme et la malaria de l’indifférence. » (On-dit, racontages et anecdotes du monde des curieux). On lit encore dans la livraison du 10 février 1890 (p. 133) : « (le trésorier venant d’être renouvelé le 14 janvier) Rien d’autre à signaler ; le Comité ayant été nommé à nouveau sans autre changement, maître Eugène Paillet en tête, à cette présidence qu’il occupe si bien avec toutes les qualités requises, courtoisie, belle humeur et autorité sereine. » (Le monde des livres – ce qui s’y dit, s’y fait, s’y prépare). [4] Eugène Paillet ne manque pas d’humour en disant cela. Il sait comme les Amis des Livres sont maltraités par Uzanne dans le Livre Moderne et pourtant une demande de Préface lui a été faite. [5] Nous ne savons pas vers quelle destination Uzanne devait partir dans le courant de 1890, peut-être Anvers ? (exposition Plantin). Agréez, mon cher confrère, l’assurance de mes sentiments tout dévoués. Eugène Paillet Mr. Meilhac[1] fait l’article du Café-concert et Mr. Clarétie[2] m’a remis celui de la Bouquetière. Ces deux notices ne sont pas encore imprimées, c’est pourquoi je vous les signale, sans vous les envoyer. Ashbee[3] a composé en anglais une définition du Distributeur de Prospectus. Ne faites pas attention aux incorrections des placards – ils ne sont pas encore corrigés. Lettre II. Paris – 7 mai 1890. [2 pages petit in-12 sur papier vélin crème]. [1] Henry Meilhac, né le 21 février 1831 à Paris où il est mort le 6 juillet 1897, est un auteur dramatique, librettiste d'opérettes et d'opéras français. Après ses études au collège Louis-le-Grand, Henry Meilhac travailla tout d'abord comme employé dans une librairie. Puis il continua comme dessinateur au Journal pour rire, de 1852 à 1855, sous le pseudonyme de Thalin, et donna des articles dans diverses revues où se signalait déjà sa fantaisie dans le plus pur esprit boulevardier. Meilhac était grand, bel homme, bon vivant, amateur de jolies femmes jusqu'à rester célibataire. Avec Ludovic Halévy, rencontré en 1860, il entama une collaboration de près de vingt ans, donnant les livrets des plus célèbres opérettes de Jacques Offenbach dont La Belle Hélène (1864), La Vie parisienne (1866), La Grande-Duchesse de Gérolstein (1867) et La Périchole (1868) et aussi de Carmen de Georges Bizet (1875). Il signa également les livrets d'opérettes de Charles Lecocq et de Hervé. Le duo composa aussi des vaudevilles et des comédies: Les Brebis de Panurge (1863), Fanny Lear (1868), Froufrou (1869), Tricoche et Cacolet (1872), Le Prince (1876), La Cigale (1877), Le Mari de la débutante (1879). Des deux duettistes, Henri Meilhac apportait en propre une fantaisie irrésistible, confinant parfois à la loufoquerie. Gagnant beaucoup d'argent, il en dépensait beaucoup, cherchant l'inspiration dans les grands restaurants, les cigares et le champagne. Meilhac et Halévy fréquentèrent le salon littéraire de Geneviève Halévy ou l'on rencontrait Lucien Guitry, Paul Bourget ou Joseph Reinach, entre autres. La collaboration de Meilhac et Halévy cessa en 1881. Meilhac signa également des pièces avec d'autres collaborateurs, notamment Mam'zelle Nitouche (1883) avec Albert Millaud (1844-1892) et Manon de Jules Massenet avec Philippe Gille. Il encouragea les débuts de Georges Feydeau. Il fut élu à l'Académie française le 26 avril 1888 au fauteuil 15, en remplacement d'Eugène Labiche. [2]Arsène Arnaud Claretie, dit Jules Claretie, né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913, est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux, notamment au Figaro et au Temps, sous plusieurs pseudonymes. Il tient la critique théâtrale à L'Opinion nationale, au Soir, à La Presse. Ami d'Étienne Arago, il publie une analyse de ses Mémoires dans Le Temps du 28 mai 1892. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million et Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs sont adaptés pour la scène. En 1894, il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise et celui d' Amadis, tiré d'Amadis de Gaule, roman chevaleresque de Garci Rodríguez de Montalvo, qui n'est créé qu'après la mort des deux artistes, le 1er avril 1922 au Grand théâtre de Monte Carlo. Il est président de la Société des gens de lettres. En 1882 et 1883, il est vice-président de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains tels que Paul Hervieu, Henry Bataille et Octave Mirbeau, dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer. Il est élu membre de l'Académie française le 26 janvier 1888. [3] Henry Spencer Ashbee (21 April 1834 – 29 July 1900) was a book collector, writer, and bibliographer, notorious for his massive, clandestine three volume bibliography of erotic literature written under the pseudonym of Pisanus Fraxi. Mon cher confrère, J’attends toujours votre Préface pour les « Cris de Paris ». Jusqu’à présent nous ne vous avons pas tourmenté ; mais voilà que nous n’attendons plus que vous pour mener à fin notre lambine entreprise. Allons un peu de courage à la plume – Envoyez moi bien vite votre avant propos pour que Chamerot[1] l’imprime de son mieux et que notre ouvrage paraisse enfin dans toute sa gloire. Je compte, mon cher confrère, sur votre gracieuse complaisance et vous prie d’agréer l’assurance de mes sentiments dévoués. Eugène Paillet Lettre III. Paris – 14 mai 1890. [2 pages grand in-12 sur papier vergé crème]. Mon cher confrère, Je regrette beaucoup qu’au dernier moment, vous renonciez à écrire la Préface de « Paris qui Crie ». De cette résolution les Amis des Livres ne se consolent pas facilement, puisqu’ils vont être privés d’un mets savoureux, dont ils se régalaient à l’avance. Quant à votre serviteur, le voila contraint de faire appel à un bibliographe moins accablé de besogne[2] ; mais auquel il faudra toujours un certain temps pour composer sa copie. Vous voyez qu’il n’y a pas de notre faute et vous n’avez plus le cœur de nous plaisanter dans le Livre, sur notre lenteur à produire un ouvrage. Quoi qu’il en soit, je suis persuadé que, seules, vos occupations vous empêchent de nous accorder votre collaboration et je souhaite que vous n’assumiez pas un travail trop considérable qui finirait par vous fatiguer. Mais, si vous n’écrivez pas pour nous, il ne faut pas nous priver de votre présence et nous serions tous très heureux de vous voir à la première réunion des Amis des Livres. Elle aura lieu au mois de juin. Agréez, mon cher confrère, avec l’expression de tous nos regrets, l’assurance de mes sentiments dévoués. Eugène Paillet [1] C’est bien Georges Chamerot qui imprimera le volume pour les Amis des Livres. [2] C’est finalement à Henri Beraldi qu’échouera la Préface de Paris qui crie. Henri Beraldi (1849-1931), presque exact contemporain d’Octave Uzanne, était un éminent biblio-iconophile. Il est connut comme bibliographe pour ces deux ouvrages sur les graveurs du XVIIIe et du XIXe s., et comme historien pour son ouvrage sur les Pyrénées. C’est lui qui prit la présidence des Amis des Livres au décès d’Eugène Paillet en 1901.
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Paris Librairie Edouard Champion Collection les Amis d'Edouard 1924 & 1925 1 in 12 Reliure Demi-Chagrin Brun dos à nerfs, https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89douard_ChampionSignature d'Edouard Champion pour chaque justification de tirage :Deux Hommages de HenryBecque et de Ronsard par Robert de Flers; Collection les Amis d'Edouard N°65 Exemplaire n°150 sur papier Arches.Clémence Isaureou la Poésiepar Henry Bordeaux; Collection les Amis d'Edouard N°66 Exemplaire n°123 sur papier Arches.Visite aux Canadiens Français par François Porché Collection les Amis d'Edouard N°68 Exemplaire n°126 sur papier Arches.Chez nos Frères du Canada par François Porché Collection les Amis d'Edouard N°87 Exemplaire n°93 sur papier Arches.Envois dédicace d'Henry Bordeaux et François Porché.Belle reliure réunissant quatre fascicules.
Discours éloges hommages par les académiciens François Porché ,Henry Bordeaux, Robert de Flers« LES AMIS D'ÉDOUARD »(1911-1935)Les Amis d'Edouard sont les plus aimables des amis du monde Anatole France à Edouard Champion ami des livres et des dames. A Paris et à Abbeville (Somme) imprimerie Frédéric Paillart. 1911-1933.La Maîtresse Servante, par Maurice BARRÈS. Pour Psyché, par Charles MAURRAS. Digression peacockienne, par Francis DE MIOMANDRE. Les Préservatifs des dangers de l'amour à travers les âges, par le Dr LE PILEUR. Prisme étrange de la maladie, par François PORCHÉ. Je sors d'un bal paré... par Remy DE GOURMONT. Un Professeur de snobisme, par Jacques BOULENGER. La Comédie de celui qui épousa une femme muette, par Anatole FRANCE. Regards sur le nid d'un rossignol de murailles, par André ROUVEYRE. Le Suicide, conte, par Fernand VANDEREM. Églogues imitées de Virgile, par Émile HENRIOT. Hommage au Géneral Charette, par Jérôme et Jean THARAUD. Les ufs, de Charles PERRAULT, publié par Marcel BOULENGER. Jean Lorrain, par Octave UZANNE. M. Ernest Renan dans la Basse-Bretagne, par Charles LE GOFFIC. Les Leçons de Florence, par Jean LONGNON. La Veille de la Sainte Agnès, par John KEATS, trad. de Mme la Duchesse de Clermont-Tonnerre. En marge des « Confidences », par Louis BARTHOU. Le Tasse à l'Abbaye de Châalis, par Louis GILLET. A Antoine, par Edmond ROSTAND. Le Miracle, par Georges DUHAMEL. Mon premier grand chagrin, par Pierre LOTI. Stendhal, par UN DES QUARANTE Hommage à Stendhal, par Édouard CHAMPION. Stendhal, par Anatole FRANCE. Alain-Fournier, par Edmond PILON. La folle Journée, par Émile MAZAUD. Retour des Drapeaux, par le Maréchal LYAUTEY. Les « Harmonies » toscanes, par Gabriel FAURE. Sur le Nil, par Louis BERTRAND. A Jérusalem : le Jeudi Saint de 1918, par Henri MASSIS. La Soirée perdue, par Eugène MONTFORT. Gabriel-Tristan Franconi, par Fernand DIVOIRE. La Belle de Haguenau, par Jean VARIOT. Dédicaces, par Paul ADAM, avec une introduction de P[aul] V[aléry]. Amazones, par Eugène MARSALA. Gustave Flaubert, par Paul BOURGET. A Rudyard Kipling, par la Comtesse de NOAILLES. Lyautey l'Africain, par Claude FARRÈRE. Ausonia Victrix, par Pierre DE NoLHAC. Le Grenier de Dame Câline, par Gaston PICARD. Le Cur parmi les choses, par Georges GRAPPE. Sulpicia. Tablettes d'une Amoureuse, publiées par Thierry SANDRE. Alfred de Musset au Théâtre, par André SUARÈS. Une promenade dans Rome sur les traces de Stendhal, par le Comte PRIMOLI. Ma pièce préférée, par Maurice BOISSARD, avec quatre dessins d'André Rouveyre. Ernest Renan, par Maurice BARRÈS. Valentine de Milan. Christine de Suède, deux énigmes historiques, par Ernest RENAN. Les trois fils de Madame de Chasans, par Henri DE RÉGNIER. Tartine, par Jean PELLERIN, avec préface de Francis CARCO. Les Livres d'André Gide, par Raoul SIMONSON et Robert DORÉ, avec un fragment inédit de l'auteur. Ernest Renan, par Raymond POINCARÉ. Ma dernière visite à Loti, par Claude FARRÈRE. Amara le Forçat. L'Anarchiste, par Isabelle EBERHARDT. Par la faute de M. de Balzac, par André MAUROIS. La Poésie dans nos Poètes, entretien avec Charles MAURRAS, par Frédéric LEFÈVRE. Hommage d'un Lorrain à un Lorrain, par le Maréchal LYAUTEY. Maurice Barrès, par Léon BÉRARD. L'Enlèvement sans clair de lune, par Tristan DERÊME. Un grand Maitre n'est plus, par Jérôme et Jean THARAUD. Aux maisons de Barbey d'Aurevilly et de Balzac, par Paul BOURGET. A travers les Villes en flammes, par Paul CLAUDEL. La Cousine Émilie, par André RIVOIRE. Le Culte de Balzac, par Marcel BOUTERON. Deux hommages. Ronsard et Henry Becque, par Robert DE FLERS. Clémence Isaure et la Poésie, par Henry BORDEAUX. La Princesse, (1907-1921), par Charles DERENNES. Visite aux Canadiens Français, par François PORCHÉ. Deux ans à Oxford ? par Jean FAYARD. Souvenirs sur Remy, par Jean DE GOURMONT. Epîtres plaisantes, par Fernand FLEURET. Il faut parler le premier, proverbe en un acte, par Gérard BAUER. Campagne d'Italie, par Jean-Louis VAUDOYER. Une Conquête méthodique (1897), par Paul VALÉRY. Georges de Porto-Riche, par Étienne REY. Treize Romances barbaresques, par Pierre CAMO. Proverbe sans proverbe, par André BILLY Tropes, par Jacques DYSSORD.Stendhal célébré à Civitavecchia, par Eugène MARSAN.Victor Hugo élève de Biscarrat, par Louis BARTHOU.Le Jardinet de Gaufroy le Louche, traduit en français, avec une introduction et des notes, par André THÉRIVE.Monsieur France, Bergeret et Frère Léon, par Jérôme et Jean THARAUD.Couleur du Temps perdu, par Philippe CHABANEIX.Orages, par François MAURIAC.La Porte d'Azur, poèmes (1909-1914), par Maurice LEVAILLANT.Vieille Garnison, par André SALMON.Chez nos Frères du Canada, par François PORCHÉ. Bonjour, Françoise ! par Pierre CHAMPION. Dialogues avec le Corps endormi, par Jean SCHLUMBERGER.La Poésie pure, par Henri BREMOND. Avec Gabriele d'Annunzio en mai 1915, par Jean CARRÈRE. Clowns, par Gérard D'HOUVILLE. Jules Tellier, par Maurice MARTIN DU GARD. Le Treizain de la Nostalgie et du Déchirement, par Charles LE GOFFIC. Poèmes d'Amérique, par Emile RIPERT. Ne touchez pas aux noms des rues, par Camille JULLIAN. Plus est en vous, par Jean NOLESVE, précédé de l'Éloge du Voyageur, par Kikou YAMATA.Une colère de Charles Baudelaire. Lettres inédites présentées par Jacques CRÉPET. Stendhal et le Petit Ange, par Paul ARBELET. Louis Pasteur. Le Cardinal Mercier, par Georges GOYAU. Marie Bashkirtseff. Dernier voyage. Fragment inédit présenté par Pierre BOREL. Le journal d'une petite Fille russe sous le Bolchevisme, par J. KESSEL. Petite suite basque, par Jean D'ELBÉE, Le visage de François Rabelais, par Abel LEFRANC. Chansons créoles, par Armand GODOY. Paroles d'Amérique, par Henry BÉRENGER. Les sept couches de Madame de Grignan, par Gérard GAILLY. Azurine ou le Nouveau Voyage, par René BOYLESVE. Journal d'une Demoiselle qui s'ennuie, par Teresa DE LA PARA. Traduction de Francis DE MIOMANDRE. Paysan de France, par Marcel PRÉVOST. Pierre Loti quand je l'ai connu, par Claude FARRÈRE. Alphabet de la Fleur, par Jean LEBRAU. Retour d'Amérique, par Édouard CHAMPION. Adolphe Van Bever, par Paul LÉAUTAUD. Pourquoi nous portons l'épée, par Camille JULLIAN. Jules Romains, par Maurice COURTOIS-SUFFIT, avec 4 pages inédites de JULES ROMAINS. A la Cathédrale de Reims, par Édouard HERRIOT. Conseils à un jeune Français partant pour l'Angleterre, par André MAUROIS Kéroubinos, comédie en un acte, en vers, par Gabriel NIGOND. Christine, par Julien GREEN. Sous mes yeux, par Georges de PORTO-RICHE. Le supplice des Bourgeois de Premz, par Louis DE ROBERT. La grâce du Romantisme sage (Armand de Melun et Sophie Swetchine), par le baron E. SEILLIÈRES. Lamartine, par Georges LECOMTE. Pierre de Lune, par Vicente BLASCO IBANEZ. Une victime royale : Ferdinand de Roumanie, par la Princesse BIBESCO. Discours aux Écossais, par Édouard CHAMPION. Évocations de Flandre, par Léon BOCQUET. Le beau mariage France-Italie, par Marcel BOULENGER. Pour le 5e centenaire de l'Université de Louvain, par Joseph BÉDIER. Renée Vivien, par COLETTE. Dialogues socratiques, par Abel HERMANT. Marcel Proust : Snobs et Mondains, par le Comte DE LUPPÉ. Soif du Juste et du Bien, conte berbère par le Dr Lucien GRAUX. Aux Commerçants français de Londres, par Édouard CHAMPION. La Séduction Provençale, par Jérôme et Jean THARAUD. L'Invasion au théâtre, par Francis DE CROISSET. Le Souvenir de Marc Lafargue, par Pol NEVEUX. La Voix, par P. DRIEU LA ROCHELLE. Libération, par Marc CHADOURNE. O° Cocktail, par Simonne RATEL. Ode à Monseigneur le Duc d'Orléans, par Alfred DROlN. Le dernier projet littéraire de Maurice Barrès : Descartes et la Princesse Élisabeth, par Gustave COHEN et G. Lucas DE PESLOUAN. Ma Légende, par Paul MORAND. Une entrevue sur la critique avec Maurice Rouzaud, par Jean COCTEAU. Souvenir de Paul Souday, par Paul VALÉRY. La première sortie du Pape, par Marcel BOULENGER.Notre vieille maison, par le Comte Wladimir D'ORMESSON. Clemenceau, par Daniel HALÉVY. Les Français en 1930, par Paul HAZARD. La Rime de Virgile et des Japonais, par Tristan DERÊME. Des Fleurs pour Araminte, par DUSSANE. Jacques Doucet, par Marie DORMOY. Faire le Point, par Jean PRÉVOST. Débarcadères, par Paul GÉRALDY. La Maison de Loti, par Sacha GUITRY. Figures, par Jean VALMY-BAYSSE. Deux Amateurs de Peinture, par Roland DORGELÈS. Le Gouverneur de Kerguelen, par Valéry LARBAUD. Notes sur la mise en scène, par Emile FABRE. La Comtesse de Noailles, par Fernand GREGH, Colloque à une voix, par Gabriel BOISSY. España, par Pierre LAGARDE. Les Morts perdues, par Henry DE MONTHERLANT. Une famille Française (1735-1935), par Jérôme et Jean THARAUD. Entretien avec Mussolini, (septembre 1933), par Henri MASSIS. Cher Edouard, par J. Pouget, Edouard Bourdet, Henry Malherbe, J-J. Tharaud, Emile Henriot et Pierre Champion. Bon état de conservation , exemplaire agréable Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
Hanoï-Haiphong, Imprimerie d'Extrême-Orient, Bulletin des Amis du Vieux Hué, Tome IV, Année 1925. 1 volume in-8, 323 pp., reliure moderne plein cuir, couverture illustrée en couleurs conservée, très bon état.
Ce bulletin est un numéro spécial qui constitue un index général pour tous les articles parus entre 1914 et 1923, les dix premières années de publication de ce bulletin mythique. Table des matières: L'Oeuvre des Amis du vieux Hué par Louis Cadière - Bulletin des Amis du Vieux Hué: Index analytique et résumé des Travaux (1914-1923) par Louis Cadière - Bulletin des amis du Vieux Hué: Table des matières par noms d'auteurs (1914-1923) par Louis Cadière - Association des Amis du Vieux Hué: Liste des membres (1913-1923)
Hanoï-Haiphong, Imprimerie d'Extrême-Orient, Bulletin des Amis du Vieux Hué, Tome IV, Année 1925. 1 volume in-8, 323 pp., broché, couverture illustrée en couleurs, très bon état.
Ce bulletin est un numéro spécial qui constitue un index général pour tous les articles parus entre 1914 et 1923, les dix premières années de publication de ce bulletin mythique. Table des matières: L'Oeuvre des Amis du vieux Hué par Louis Cadière - Bulletin des Amis du Vieux Hué: Index analytique et résumé des Travaux (1914-1923) par Louis Cadière - Bulletin des amis du Vieux Hué: Table des matières par noms d'auteurs (1914-1923) par Louis Cadière - Association des Amis du Vieux Hué: Liste des membres (1913-1923)