Chambéry, Librairie-lithographie A. Perrin, 1873. Carte entoilée au format ouvert de 60 x 86 cm., pièce de titre contrecollée au premier plat de la carte pliée.
Reference : 13053
Carte levée par les officiers du Corps d'Etat major et publiée par le Dépôt de la guerre.
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Paris, Librairie agricole de la Maison rustique, 1884 in-8, [2] ff. n. ch., XVI pp., 289 pp., broché. Rousseurs.
Edition originale. Le comte Gabriel-André de Bonneval (1769-1839) avait été inspecteur général des haras sous l'Empire et la Restauration ; il prit sa retraite en 1833. Le comte Timoléon de Bonneval (1845-1939) était son petit-fils.Mennessier de La Lance I, 141. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Paris, 1850]. 307 x 462 mm ; sur carton fort.
Rare et intéressante carte figurant la circonscription du dépôt d'étalons de Bonneval, dans l'Eure-et-Loir, issue de l'ouvrage d'Eugène Gayot, Atlas statistique de la production des chevaux en France, publié à Paris en 1850. La circonscription du dépôt d'étalons de Bonneval était formée des départements d'Eure-et-Loir, du Loir-et-Cher et de la Sarthe. La carte indique l'emplacement du dépôt d'étalons situé à Bonneval, des stations d'étalons (La Ferté-Bernard, Mortagne-au-Perche, L'Aigle, Nogent-le-Rotrou...), et des chefs-lieux de courses. Chacun d'eux est illustré d'un cheval de trait ou d'un cavalier à cheval (militaire ou civil). Les limites des arrondissements composant les départements sont signalées en rouge. Plus petits que les haras, les dépôts d'étalons au XIXe siècle étaient destinés à accueillir des étalons reproducteurs, généralement à vocation militaire. De nombreux haras nationaux sont à l'origine des dépôts d'étalons. Les Haras Nationaux furent créés en 1665 sous Colbert, dans le but de fournir suffisamment de chevaux de guerre. En 1806, Napoléon instaura les Haras Impériaux en créant six haras nationaux et trente dépôts d'étalons. Dans le même temps, il investit les nombreuses abbayes, couvents, monastères et autres établissements religieux, confisqués après la Révolution, pour y installer des dépôts d’étalons. Le développement des Haras fut poursuivi sous Napoléon III pour répondre aux besoins d’équidés dans l’armée, le transport et l’agriculture. Eugène Gayot était chef de la division des haras au ministère de l'Agriculture et du Commerce. Son ouvrage est un tableau fidèle de la population chevaline de la France en 1850. Pour ce faire, l'auteur a divisé le territoire en 27 circonscriptions hippiques, à savoir 2 haras, 24 dépôts d'étalons, et un dépôt de remonte. Chacune de ces circonscriptions est représentée par une carte indiquant le chef-lieu de la circonscription, les points sur lesquels les stations ont été créées, les chefs-lieux de courses et les divers établissements qui ressortent des remontes militaires. Le recensement de la population chevaline a été exécuté pendant l'année 1850, par des hommes ayant une connaissance spéciale du cheval. Fait de village en village, par canton, par arrondissement, et enfin par département, ce recensement embrasse quatre-vingt-trois départements, ceux de la Seine, de Seine-et-Oise et de la Corse n'ayant pas pu y être compris. Exemplaire aquarellé à l'époque, uniformément bruni. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des Sciences, 1852, pp. 887-888 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1851, p. 448, n°79 (attribué à Laguillermie).
Londres, au dépend de la compagnie, 1737-1738, 3 volumes in-12, relié plein veau moderne, dos orné avec titre et tomaison.
Édition originale des Mémoires et seconde édition des Nouveaux Mémoires du Comte de Bonneval, officier français ayant combattu pour la France, l’Autriche et l’Empire ottoman ou il devint pacha sous le nom de Kumbaraci Pacha, il livra de nombreuses batailles et fut remarqué pour ses talents d’officier, il participa à la défaite des autrichiens à Nis et permit à l’empire ottoman de moderniser son armée et comprendre le fonctionnement politique et militaire des européens.
A Londres, Aux dépens de la compagnie, 1740. Deux tomes reliés en 1 volume in-8 de [12]-218; 216 pages, plein veau marron, dos à nerfs orné.
Illustré d'un portrait de Osman Pacha, cy-devant comte de Bonneval, par Knorr. Edition originale dont l'attribution a plusieurs fois changé. On a longtemps fait passer Mr. de Mirone pour le marquis Boyer d'Argens, puis Barbier semble attribuer ces "mémoires" à Pierre Lambert de Saumery, pasteur calviniste qui a eu une vie assez aventureuse. De 1720 à 1723, il vécut en Turquie, et c'est en 1720 que Bonneval, exilé, y arrive également. Il prendra le turban quelques années plus tard. Dos et plats frottés et très largement épidermé, étiquette de titre manquante au dos, coiffe inf. manquante, mors du second plat fendu en sa partie inférieure.
Paris, S.l.n.d. (1790) in-8, 41 pp., cousu.
Député de Paris aux Etats Généraux, l'abbé de Bonneval refusa de prêter le serment civique. La dîme n'est pas un impôt mais une perception, consacrée à la piété et établie par l'usage. Elle "ne pesait presque pas sur les peuples". Les frais de culte, la subsistance des ministres du culte, le soulagement des pauvres et l'augmentation du prix des denrées rendent la dîme incontestable.Martin & Walter, IV, 30422. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT