Editions Nilsson, collection "Maîtres anciens et modernes", Paris, 1925? In-12, broché sous couverture illustrée, 138 pp. Avec une préface de Gustave Geffroy - Années de jeunesse. Débuts à Paris - Courbet, peintre de la vie provinciale au XIXe siècle - Le réalisme. Courbet, chef d'école - Art et politique. Exil - Depuis la mort (1878-1925) - ...
Reference : 7656
Avec 24 planches en noir et blanc en hors texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Archives du nord - Librairie ancienne et moderne
M. François Legrand
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Librairie Internationale - A. Lacroix, Verboeckhoven & Cie. 1872. In-4°, reliure cartonnage, dos de cuir à nerfs, pièce de titre. 59 grandes vignettes de Gustave Courbet gravées par Fortuné Méaulle. 236 pages (texte à deux colonnes). E.O. (elle parut en 30 livraisons hebdomadaires, ici réunies). Infimes rousseurs éparses ; bon exemplaire. Très rare.
Jean Bruno est le pseudonyme de Jean Vaucheret (1844-1899). Originaire de Pontarlier, il fut une figure de la mouvance républicaine libertaire. Fortuné Méaulle fut un graveur réputé (son travail dans ce livre - bien qu'il s'agisse d'une publication populaire à bon marché - est d'ailleurs d'une grande finesse). La plupart des vignettes illustrant ce roman devaient à l'origine servir au catalogue d'une exposition de Gustave Courbet - annulée pour cause d'incarcération du peintre à Sainte-Pélagie en 1872. On reconnaît plusieurs tableaux de Courbet dans les vignettes gravées par Méaulle (autoportraits, vues d'Ornans, " La Femme au Perroquet ", " Bonjour Monsieur Courbet ", " La Sieste pendant la saison des foins ", " La Femme au gant ", etc.). L'action du roman se situe en Franche-Comté. Courbet lui-même y apparaît dans son propre rôle : " "- Vous connaissez ce voyageur ? C'est Courbet, le célèbre peintre d'Ornans. - Je suis enchanté de cette rencontre ; depuis longtemps je désirais le voir. - Bonjour, Monsieur Courbet, permettez-moi de vous présenter M. Morsand, journaliste de talent, républicain éprouvé, et de plus mon ami, qui désire beaucoup faire votre connaissance." Courbet donna une chaleureuse poignée de main aux deux compagnons, puis la conversation s'engagea. " (p. 235). /// Un exemplaire de ce livre figura, sous le numéro 532, dans la deuxième vente de la Bibliothèque Pierre Bergé, en novembre 2016.
, Silvana Editoriale, 2021 HARDCOVER 280 x 220 mm, 168 pages, 120 illustraties, ENG/ Texte en Francais edition. ISBN 9788836645923.
Courbet revendiquait n'appartenir à aucune école, se positionnant comme un artiste libre, indépendant et menant sa carrière avec l'objectif affirmé de créer une manière de « peindre le réel » qui lui serait propre. Cette école de la nature s'affirma dès sa prime jeunesse, alors qu'il s'initiait au dessin et à la peinture « de plein air », réalisés « sur le motif ». Cet ouvrage illustre le naturalisme chez Courbet, à travers, principalement, ses paysages, et la transmission de sa vision du réel auprès d'autres artistes qui ont formé une école comtoise du paysage. La figure de George Besson (Saint-Claude, 1882 - Paris, 1971), collectionneur et critique d'art, ardent défenseur de Courbet et du réalisme, est abordée sous l'angle de l'histoire de la création du musée Courbet à Ornans, mais également à partir du lien qui l'unissait à sa ville natale, Saint-Claude. En effet, dans la capitale haut-jurassienne, l'inauguration du musée de l'Abbaye - dont le projet a été porté par les deux artistes peintres, devenus donateurs, Guy Bardone et René Genis - a été rendue possible alors que Besson en avait posé les jalons quarante ans auparavant. Autour de Courbet, se mêlent ainsi différentes personnalités franc-comtoises ayant participé, à titres divers, à la connaissance, la diffusion et la continuité du rayonnement de son ouvre et de l'art. Saint-Claude, Musée de l'Abbaye, janvier - avril 2021 En présentant un ensemble d'oeuvres d'importance de Gustave Courbet (principalement issues des collections de l'Institut Gustave et du Musée Courbet d'Ornans) et d'autres artistes du XIXe - collaborateurs ou amis de Courbet - ayant abordé pleinement la nature et le paysage au coeur de leurs démarches, ce livre traite la thématique du paysage de manière transversale. Entre autre, sera révélée l'implication du sanclaudien George Besson (1882-1971), qui oeuvra pour l'acquisition de la maison natale de Courbet hébergeant plus tard le musée, puis celle de Guy Bardone (1927- 2015) donateur de la collection constitutive du musée de l'abbaye qui sera ensuite secrétaire général de l'Institut Courbet pendant près de quinze ans. A noter, le « Pays Courbet, pays d'artiste » sera l'invité prestigieux de cet automne dans le Haut-Jura.
Librairie Nouvelle. 5 Septembre 1885. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 à 16 pages, paginé de 145 à 176.Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Journal hebdomadaire. Sommaire : Baie de Makung (Pescadores) - Départ du Bayard emportant en France le corps de l'amiral Courbet. L'amiral Courbet sur son lit de mort - La veillée du 11 au 12 juin. Le cercueil de l'amiral Courbet, dans son cabinet de travail, sous ladunette du Bayard. Rade d'Hyères - Mise du cercueil de l'amiral Courbet dansle canot qui le transporte à terre. - Transport à terre du corps de l'amiral Courbet. Iles Seychelles (24 juillet) - Services funèbre célébré âr l'évêque dans la cathédrale de Mahé, en présence de l'Etat-Major du Bayard, du conszul de France et des Français de la colonie. Port-Said - Le Pacha à bord du Bayard, le 13 août. En rade d'Hyères - La dunette du Bayard. Vue générale des Salins d'Hyères. Le débarquement du cercueil de l'amiral Courbet au port Pothuau. Paris - Gare de Lyon - Arrivée du cercueil de l'amiral le 27 août. Paris - La cour d'honneur de l'Hôtel des Invalides le 28 août pendant le service funèbre. Le Char funèbre, escorté par les marins du Bayard, transporte le corps de l'amiral aux abords de l'Esplanade Intérieur de la chapelle des Invalides pendant le servicze funèbre en mémoire de l'amiral Courbet. La Chapelle ardente à l'Hôtel des Ivalides - Ls couronnes. Supplément : Les honneurs militaires rendus à la dépouille mortelle de l'amiral Courbet - Jardin et Esplanade des Invalides Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
, Hatje Cantz , 2015 Hardcover, 200 pages, ENG, 310 x 255 x 20 mm, as New, illustrated in colour / b/w. ISBN 9783775738637.
Published for an exhibition at the Fondation Beyeler, this volume concentrates on Gustav Courbet's position as the first avant-garde painter. With his provocative canvases and his emphasis on the artist as individual, Courbet was a crucial precursor of modernism who broke with the conventions of traditional academic training. Featuring self-portraits, representations of women and pictures of grottos and seascapes, this volume highlights Courbet's innovative implementation of color and his strategic use of ambiguity. Other themes include his break with French academic tradition, the development of Realism in art, his revolutionary impasto painting technique and his playful treatment of traditional motifs and symbols. Courbet's famous painting "L'origine du monde" is at the heart of the book and exhibition. Made in 1866, the painting was for decades the unknown masterpiece of the nineteenth century-a work that few saw at the time but which everyone discussed, and which retains its provocativeness even today. Courbet's landscapes-depicting the springs, caves, steep limestone cliffs and the forests of Jura around Ornans, where he was born-are often combined with representations of the female nude, uniting sexuality and nature in a fascinating equilibrium. Other canvases center on the impenetrable darkness of mountain caves (showing Courbet to have been a master of suggestion), and snowscapes.
Le peintre Gustave Courbet, maître de l’art réaliste décède en exil en Suisse à La Tour‑de‑Peilz le 31 décembre 1877. Sa dépouille ne reviendra à Ornans, sa ville natale, qu’en 1919 dans un quasi-anonymat. Certains de ses tableaux trop « crus » et son anticléricalisme, sa participation aux événements de la Commune et sa responsabilité prétendue dans la chute de la colonne Vendôme sont encore présents dans les esprits : Gustave Courbet est rangé au purgatoire des artistes. <br data-mce-fragment="1"> À Ornans cependant, des initiatives sont prises pour revaloriser son œuvre, mais il faudra attendre 1971 pour qu’un musée lui soit dédié dans sa ville natale, une étape décisive dans la réhabilitation du peintre, franchie grâce aux actions menées par l’Association des Amis de Courbet – devenue aujourd’hui l’Institut Gustave Courbet. <br data-mce-fragment="1"> Ce « retour de Courbet au pays : de La Tour-de-Peilz à Ornans », nous avons souhaité l’éclairer par de nombreux documents inédits dans ce premier volume de la collection « Gustave Courbet, chronique d’une réhabilitation ». <br data-mce-fragment="1"> D’autres volumes suivront et permettront d’élargir le propos dans le temps et dans l’espace pour reconsidérer l’œuvre de l’artiste et son accueil, tant en France qu’à l’étranger. Milan, 2022 SilvanaEditoriale 192 p., illustrations couleur, broché. 17 x 23,5
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