Editions de la R.M.N., Paris, 1984. In-8, broché sous couverture illustrée en couleurs, 277 pp. Une leçon de choses à l'intention de l'art moderne, par Roger Shattuck - Jarry, Rousseau et le populaire, par Henri Béhar - Rousseau en son temps, par Michel Hoog - Henri Rousseau et le modernisme, par Carolyn Lanchner et William ...
Reference : 7631
Nombreuses illustrations et planches en noir et en couleurs. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Ministere de la culture, Editions de la Reunion de 1984 In-4 broché. 277 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
La Bibliothèque des Arts 1971 In-8 broché 20 cm sur 18. 132 pages. Bon état d’occasion.
Allant des années 1882 à 1900, Henry Certigny fait un examen critique de l’époque, tout en analysant la situation particulière du Douanier Rousseau. Bon état d’occasion
Editions Skira Jeunesse , Un Dimanche Avec Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1994 Book condition, Etat : Très Bon relié, cartonnage éditeur jaune, vert et bleu, illustré d'un tableau en couleurs pleine page du Douanier Rousseau avec des artilleurs In-4 1 vol. - 56 pages
35 reproductions de tableaux en couleurs et quelques documents et photographies en noir édition de 1994 Contents, Chapitres : Henri Rousseau (Henri Julien Félix Rousseau) aussi appelé Le Douanier Rousseau (né le 21 mai 1844 à Laval dans la maison familiale et mort le 2 septembre 1910, de gangrène à la jambe, à l'hôpital Necker à Paris) est un peintre français, considéré comme un représentant majeur de l'art naïf. Issu d'une famille modeste, il étudie le droit avant de partir à Paris et travailler à l'octroi où il occupe un poste de commis de deuxième classe, dans le cadre duquel il contrôle les entrées de boissons alcoolisées à Paris. Cette position lui vaudra son surnom de « Douanier ». Il apprend lui-même la peinture et produit un grand nombre de toiles, elles représentent souvent des paysages de jungle, lui qui n'a pourtant jamais quitté la France. Son inspiration provient surtout de livres illustrés, de jardins botaniques et rencontres avec des soldats ayant participé à l'intervention française au Mexique. Ses toiles montrent une technique élaborée, mais leur aspect enfantin lui valurent beaucoup de moqueries. Habitué du Salon des indépendants, il commence à recevoir des critiques positives à partir de 1891 et rencontre quelques autres artistes à la fin de sa vie, comme Marie Laurencin, Robert Delaunay, Paul Signac, Guillaume Apollinaire, Jean-Léon Gérôme, Alexandre Cabanel, Edgar Degas, William Bouguereau, Paul Gauguin, Alfred Jarry, Toulouse-Lautrec et Pablo Picasso. Son travail est aujourd'hui considéré comme crucial pour l'art naïf et il a influencé de nombreux artistes, notamment des surréalistes. Paul Éluard a dit de lui : « Ce quil voyait nétait quamour et nous fera toujours des yeux émerveillés. » (source : Wikipedia) - Gilles Plazy, né le 2 janvier 1942, est un écrivain et plasticien français. Il vit à Paris et à Trégunc, dans le Finistère. bel exemplaire, frais et propre de cet ouvrage de vulgarisation destiné aux enfants sur le Douanier Rousseau, abondamment illustré
Editions de la Nouvelle Revue Critique, 1947, in-12, 182 pp, 10 illustrations et la reproduction en hors texte de deux dessins inédits, broché, bon état
"Les rigoureuses méthodes de recherches de Charles Chassé (1883-1965) l'amenèrent à révéler de quelles mystifications ont procédé la célébrité d'Alfred Jarry et d'Ubu Roi, ainsi que celle du douanier Rousseau. On sait comment Ubu Roi, lors de sa première représentation, en décembre 1896, fut porté aux nues par nombre de critiques et d'auteurs comme une œuvre géniale où l'on voulait voir, sous la farce, la virulente satire d'une bourgeoisie égoïste, stupide et malfaisante, et découvrir un sens profond aux singularités de son vocabulaire. Jarry avait bien révélé, très discrètement, que « Ubu n'était que la déformation par un potache d'un de ses professeurs » et, à sa mort, en 1907, Valette dans le Mercure de France, et Laurent Tailhade avaient dit que Jarry avait écrit la pièce au collège en collaboration avec deux camarades. Le véritable auteur d'Ubu Roi, Charles Morin, alors lieutenant au 15e d'artillerie à Douai, avait d'ailleurs, dès le 17 décembre 1896, dévoilé dans une lettre à Henri Bauër, l'un des plus élogieux critiques de Jarry et de la pièce, les origines et le véritable caractère de celle-ci, tout en se défendant d'en vouloir revendiquer publiquement la paternité. Mais cette lettre demeura ignorée jusqu'au jour où Ch. Chassé la découvrit chez une bibliophile parisienne et l'on continua d'attribuer Ubu Roi à Jarry et de faire l'Ubu le symbole de la muflerie, de l'inconséquence et des ridicules du plus antipathique bourgeois. C'est l'enquête que Ch. Chassé, de retour en Bretagne après la guerre de 1914-18, entreprit auprès d'anciens camarades de Jarry, élèves comme celui-ci du «père Hébé», le professeur qui avait fourni le personnage d'Ubu, qui aboutit à faire la lumière sur la genèse de la pièce et le véritable rôle de Charles Morin, de son frère Henri et d'Alfred Jarry. La fortune le servit en lui faisant rencontrer le premier qui commandait le dépôt d'artillerie de Brest au moment même où lui-même venait d'être nommé professeur à l'Ecole Navale. Dans une brochure, “Sous le masque d'Alfred Jarry. Les sources d'Ubu Roi” (Floury, 1921), il put établir, en se fondant sur un solide ensemble de documents et de témoignages : – 1) Qu'Ubu Roi fut entièrement composé en 1886 par Ch. Morin, alors élève du lycée de Rennes, et n'était qu'un des épisodes fantaisistes imaginés par un groupe de potaches sur le compte d'un professeur aux allures prudhommesques et à la sévérité maladroite dont la classe était le théâtre d'inimaginables chahuts. – 2) Que Jarry, arrivé au lycée de Rennes en 1888, après le départ de Ch. Morin, y fut le camarade du jeune frère de celui-ci, Henri Morin, par lequel il connut la pièce d'Ubu Roi ; c'est Henri Morin qui lui en communiqua le manuscrit et l'autorisa en 1894 à la mettre au théâtre à la condition de changer les noms qui pourraient se prêter à des rapprochements indiscrets. C'est ainsi que le père Hébé devint Ubu. – 3) Qu'autrement le texte de Jarry ne diffère de celui de Ch. Morin que par une dizaine de variantes insignifiantes. La reprise d'Ubu Roi en 1922, par Lugne Poë au théâtre de l'Œuvre fut un four. Mais le personnage d'Ubu demeura un symbole et l'on continue encore d'attribuer Ubu Roi à Jarry. Les Sources d'Ubu Roi furent vite épuisées. Ch. Chassé les a complétées et développées en 1947, additionnées d'une étude sur le Douanier Rousseau, sous le titre : “Dans les coulisses de la gloire, d'Ubu Roi au Douanier Rousseau”. On y verra que, s'il a dépouillé Alfred Jarry de la paternité d'Ubu Roi, il lui a du moins reconnu la gloire d'avoir découvert et lancé le douanier Rousseau. Il paraît en effet certain que si Jarry n'avait pas connu celui-ci, originaire comme lui de Laval, et qui avait été en relation avec son père, et n'avait trouvé drôle de l'introduire parmi des artistes de ses amis pour en faire le jouet d'une énorme mystification, la peinture du douanier serait restée ignorée, même d'Apollinaire auquel Jarry avait fait connaître le naïf artiste et qui prit en charge la renommée de celui-ci après la mort de son ami. Faire l'histoire de cette mystification en restituant une authentique image du douanier Rousseau, parut à Ch. Chassé une belle occasion de s'amuser des inconséquences des snobismes qui font si facilement fortune dans le domaine de l'art plus encore que dans celui de la littérature...". (Armand Rébillon, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, 1966)
Robert Laffont 1981 In-4 relié 33,8 cm sur 26,4. 285 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion