Editions Skira, "Les Grands Siècles de la Peinture", Genève, 1958. In-4, reliure pleine toile éditeur sous jaquette illustrée en couleurs, 229 pp. Carte - Introduction à la peinture romane, par André Grabar - Premier Chapitre : Peintures murales, par A. Grabar : Italie. - Espagne. - France. - Angleterre. - Allemagne et Autriche. - Suède et Danemark - Deuxième Chapitre : L'enluminure, ...
Reference : 6122
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M. François Legrand
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Lausanne, La Guilde du Livre sans date, vers 1962, 195x130mm, reliure d'éditeur. chaque volume comporte 176 reproductions en n/b et couleurs.
P., les Editions du Chêne, 1944, gr. in-4°, 15 pp, introduction de Georges Gaillard, 21 figures, plans et relevés, 20 planches cartonnées en couleurs, en feuilles, biblio, broché, couv. rempliées, bon état
Tome 1, seul paru. Chef-d'oeuvre de la peinture murale romane, des scènes de l’Ancien testament ornent la voûte de la nef de l’abbatiale de Saint-Savin-sur-Gartempe (XIIe s. Indre). — "Reprenant les études de Prosper Mérimée, de Mlle Élisa Maillard, d'Henri Focillon et d'Itsuji Yoshikawa, notre confrère Georges Gaillard nous donne en tête de cet album, où sont reproduites en couleur, et généralement dans des tons très proches de l'original, toutes les peintures de la voûte de la nef de Saint-Savin, quelques pages où il décrit l'iconographie de ce prodigieux ensemble, un des plus considérables que le moyen âge ait consacré à la Genèse. Il termine son étude en attribuant l'ensemble de ces peintures à la première moitié du XIIe siècle." (Marcel Aubert, Bulletin Monumental, 1945) — "On trouvera dans l'album de M. Georges Gaillard tout d'abord des schémas et des croquis permettant de saisir, d'un coup ď œil, l'ensemble et la succession des scènes qui décorent l'immense berceau de la nef de Saint-Savin, puis vingt planches de reproductions photographiques en couleurs qui donnent le détail de chaque tableau. Ces reproductions ont été faites avec soin. L'album est précédé d'une introduction de M. Georges Gaillard, que l'on voudrait moins brève, car cet excellent archéologue, auteur de pénétrantes études sur les débuts de la sculpture romane, n'a pu faire, en quelques pages, qu'une solide synthèse des travaux antérieurs. Mais il nous donne en même temps une description des peintures qui n'avait jamais été faite jusqu'ici avec autant de précision ni de bonheur." (Jean Hubert, Bibliothèque de l'École des chartes, 1944)
, Lausanne, Rencontre, 1965., Relie, couverture carton illustree, 165 x 270mm., 208pp., illustration profonde en couleurs.
Histoire generale de la peinture. Etat satisfaisant.
La Pierre qui Vire, Zodiaque 1980, 220x170mm, 467pages, reliure d'éditeur sous jaquette. Bel exemplaire.
photos en héliogravure, planches en couleurs,
P., les Editions du Chêne, 1944, gr. in-4°, 12 pp, introduction de P.-H. Michel, 31 figures, plans et relevés, 19 planches cartonnées en couleurs, en feuilles, biblio, broché; couv. rempliées, bon état
Les peintures de la crypte de l’église de Saint Nicolas de Tavant (fin du XIe s. Vienne). Ces remarquables fresques sont considérées par les historiens d'art comme un des chefs-d'oeuvres de la peinture romane en France. Les photos représentent les fresques non restaurées. — "La formule adoptée pour cette collection ne permet guère aux auteurs de faire œuvre originale. M. Michel ne s'est pourtant pas contenté de résumer avec bonheur les travaux qui ont été consacrés aux peintures de cette petite église de Touraine depuis que le comte de Galembert les a signalées, en 1862, lors du Congrès archéologique de Saumur. Il paraît bien être dans le vrai quand il date de la fin du XIe siècle cet ensemble que Melville Webber et Moyrand croyaient du XIIe et quand il se borne à reconnaître la main de deux artistes là où Mme Paul-Duprat n'en découvrait pas moins de cinq. Remercions M. Michel d'avoir tenté d'analyser, sans excès de langage, le style de ces peintures qu'anime une ardeur singulière. Les planches en couleurs que nous donne l'éditeur permettent de les apprécier pleinement. Il arrive trop souvent, dans les recueils de ce genre, que certaines teintes paraissent « bouchées ». Mais les proportions de la crypte de Tavant demeurent si modestes que les peintures n'ont pas eu trop à souffrir des réductions qu'on leur a fait subir. Et parce qu'elles ne sont pas très nombreuses, c'est un « corpus » à peu près complet que nous avons ici de cet ensemble magnifique, l'un des plus beaux et le plus extraordinaire de ceux que nous ont légués les peintres romans." (Jacques Guignard, Bibliothèque de l'École des chartes, 1946)