La Renaissance du Livre, Bruxelles, 1952. In-8, broché, 215 pp. Le don d'enfance - Un chant dans l'ombre - Les matins angéliques - La solitude heureuse - La source aux fonds des bois.
Reference : 5804
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Paris, Gallimard, 1971, in-8, 426pp, broché, Très bel exemplaire 426pp
Ed. Gallimard, Paris, 1971 Fort volume in-8 broché, 424 pp. Exemplaire en très bon état, ex-libris de J.C.L. Reverdy à l'angle supérieur droit de la page de titre.
Paris Didier, libraire-éditeur. 1855 556p/67p 1 volume grand IN4. Reliure plein chagrin cerise d'époque. Décor d'encadrement sur les palts. Dos à nerfs richement orné de caissons dorés. Toutes tranches dorées. Ouvrage orné d'un frontispice et de douze gravures H.T.
Paris, Éditions Alphonse Lemerre, sans date (1925). Broché, 9,5 cm x 16,5 cm, 229 pages. Poèmes de Léon Dierx, portrait de l’auteur en frontispice sous serpente. Bon état
Marseille, Barlatier-Feissat et Demonchy, 1853, 2 vol. in-12, 301 et 304-(1) pp, un portrait gravé de l'auteur en frontispice, les 2 tomes reliés ensemble en un volume demi-basane bleu-nuit, dos lisse avec titres et fleurons dorés et faux-nerfs à froid (rel. de l'époque), pt accroc à la coiffe inf., un mors fendu sur 5 cm, bon état
Par le poète provençal d’inspiration marseillaise Gustave Bénédit (1802-1870). Il est l'auteur de plusieurs ouvrages en vers français et provençaux, notamment la série de nouvelles autour du personnage de « Chichois ». Il fut élu en 1847 à l'Académie de Marseille. — "Vers 1840, les « nervis » sont, dans la presse et dans les jugements correctionnels, des ouvriers et des artisans tapageurs qui molestent les bourgeois et perturbent les réjouissances de la bonne société. Oubliés de la belle croissance libérale de la Monarchie de Juillet, ils révèlent l’existence d’antagonismes sociaux dans ce Marseille qui n’abrite pas encore de classe ouvrière particulièrement politisée. En cette même année 1840, Gustave Bénédit, professeur au conservatoire de Marseille et critique musical au Sémaphore, érige le nervi en personnage littéraire dans “Chichois vo lou nervi de Moussu Long” (“Chichois ou le nervi de Monsieur Long”). Il lui prête une mise recherchée mais outrancière, ainsi qu’un goût imparable pour l’indiscipline, le tapage et les plaisanteries douteuses. Le succès du portrait est tel, que le nervi devient bientôt un type marseillais incontournable. Ouvrier déviant, il n’est pas, jusqu’à la fin du Second Empire, un malfaiteur. Son personnage renvoie plutôt aux questionnements et aux inquiétudes identitaires polarisés sur l’idiome local, les usages, et les traditions, menacés par la modernité." (Laurence Montel, Marseille. Capitale du crime, 1820-1940) — "Les véritables titres de Bénédit à la notoriété sont ses poèmes en patois provençal : il a laissé dans ce genre de petits chefs-d'œuvre, notamment le Chichois, peinture spirituelle et exacte des mœurs populaires provençales." (François-Joseph Fétis et Arthur Pougin, Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. 1878-1880)