Editions Hachette, Paris, 1963. In-4, reliure pleine toile éditeur sous jaquette illustrée en couleur, 295 pp. Les origines - Les rois français - Grandeur et décadence de la féodalité - Les Tudors ou le triomphe de la monarchie - Le triomphe du parlement - Monarchie et oligarchie - De l'aristocratie à la démocratie - Index - ...
Reference : 2114
Nombreuses illustrations en noir et en couleur. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Archives du nord - Librairie ancienne et moderne
M. François Legrand
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Robert Laffont Relié 1955 In-8 (14.7 x 20 cm), relié demi-toile, couverture d'origine illustrée conservée, 335 pages ; des taches et marques d'usage aux plats d'origine, légères rousseurs, par ailleurs bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris : H. Nicolle, 1814 - in-8 demi-basane dos lisse, orné de filet et fleurons, titre, dorés (reliure de l'époque), XV, 486 pages - bon état -
GOLDSMITH (O.)Marie Catherine Brissot Jean-Pierre Brissot de Warville
Reference : 22806
(1786)
1786 Londres, 1786, 2 vol. in-8°, rel. pl. bas., mors fendus, coiffes émoussées, petits manques et épidermures sur les plats,texte bon. Le tome 2 contient des propos relatifs au règne de George III et la Révolution Américaine, description des colonies anglaises avant la révolution, guerre des colonies, constitution de l'Amérique
Première édition de cette traduction due à Marie Catherine Brissot et accompagnée de notes originales du conventionnel Jean-Pierre Brissot de Warville (1754-1793). Le tome II de cet ouvrage contient de nombreuses données sur l'Amérique (Canada) et particulièrement sur la guerre d'indépendance et l'organisation politique des nouveaux Etats-Unis. Olivier Goldschmidt (1728-1774), littérateur et historien anglais, est l'auteur du célèbre Vicaire de Wakefield.Cet ouvrage est intimement lié à Brissot de Warville (1754-1793), célèbre révolutionnaire. En effet, c’est lui qui en assura la diffusion. À la différence de nombreux autres révolutionnaires, la vie de Brissot (qui rajouta Warville à son patronyme, du nom du village – Ouarville – en Beauce, dans lequel il était né : Soboul, p. 153) n’a pas commencé avec la révolution : « emporté dans un tourbillon d’aventures médiocres, écrivain à gages, emprisonné pour dettes puis embastillé pour des pamphlets contre la reine publiés à Londres, compromis dans un complot organisé au Palais-Royal, il passe souvent la Manche (…) » (Tulard, p. 602). Sa rencontre avec le banquier Clavière aura une influence déterminante sur lui. On connaît ensuite le Révolutionnaire, fondateur de la Société des Amis des Noirs, membre de la Législative puis de la Convention, proche des Girondins, ce qui lui valut de monter sur l’échafaud. Intellectuellement, sans doute en raison de ses voyages, Brissot s’intéressa beaucoup au monde anglo-saxon. En témoignent diverses publications, dont cet ouvrage, paru une première fois en 1786, puis en 1790. Un double doute est né à propos de ce texte : sur son auteur, comme sur son traducteur. Paru en Angleterre sous le nom de Lord Lyttleton (v. par ex., en ce sens, Barbier, t. 3, p. 1284 ; Biographie Universelle, t. 5, p. 571 ; même Brissot y participe puisqu’il les attribue à « un pair d’Angleterre qui se distinguait par son éloquence dans la Parlement », v. préface, p. XXI), il est aujourd’hui communément admis que le livre est de Goldsmith (Chassang, Dictionnaire universel, p. 1145 ; Quérard, t. 1, p. 519 ; Michaud, t. 23, p. 34 ; Encyclopédie moderne, 2nde éd., p. 61). L’on s’est aussi interrogé quant au point de savoir si la traduction n’était pas de l’épouse de Brissot qui avait elle-même déjà traduit certains ouvrages (not. Quérard, t. 1, p. 521). Cependant, Brissot lui-même, dans ses mémoires, reconnaît avoir traduit l’ouvrage .L’ouvrage prend la forme de 74 lettres d’un père à son fils dont Brissot qu’il considère « comme le tableau le plus philosophique des révolutions qui ont agité l’Angleterre » (préface, p. XX). Elles retracent toute l’histoire de l’Angleterre, selon un plan chronologique après une première lettre fort intéressante sur « l’étude de l’histoire en général » (v. égal. la 3e sur l’origine des anglais). Ce recueil épistolaire est une véritable galerie de portraits : Guillaume le Conquérant, Richard Cœur de Lion, Richard III, Jean Sans Terre, Elisabeth, Charles Ier. L’on note également les très intéressants développements sur « les colonies anglaises avant la révolution » (t. 2, p. 332) et sur la guerre qui s’ensuivit. Etude très complète de l’Angleterre – et des colonies – traduit par un célèbre révolutionnaire : Brissot de Warville.
A l’administration de l’Histoire Pittoresque d’Angleterre 1834 In-8 relié 27,5 cm sur 17,5. 448, 443 pages. Très bon état d’occasion.
L’histoire de l’Angleterre de la conquête romaine, lorsque l’île s’appelait Britannia, au règne de Guillaume IV. Sa nièce, Victoria, lui succéda. Le Grand Siècle britannique s’ouvrait. Très bon état d’occasion
Hatier, 1972, gr. in-8°, 223 pp, préface de François Bédarida, 6 cartes, biblio, broché, bon état (Coll. d'Histoire contemporaine - Histoire de l'Angleterre, sous la dir. de F. Bédarida)
L'ouvrage analyse la montée irrésistible de la puissance britannique à partir de la révolution industrielle. Il retrace les impressionnants succès économiques obtenus malgré les secousses intérieures et extérieures de la période 1760-1790, la victoire militaire et diplomatique couronnant le long conflit avec la France révolutionnaire et napoléonienne, enfin le difficile retour à la paix et la non moins difficile quête de stabilité de 1815 à 1832. Un manuel clair, précis, solide, sur une période très agitée.