DX2-C393. """Librairie Victor Lecoffre, Paris ; Collection """"Les Saints""""""" 1901
Reference : 15789604633
Satisfaisant
Livres Anciens et Contemporains
M. Michel Lassalle
06 14 76 10 91
Vente de gré à gré
«On n’en connait pas d’exemplaires» (Brunet, I, 560-561). 2a. Tauola et capittoli del primo libro || sācto Augnstino de la cita dio. 13a. Queste illibro di sancto Augustino de || lacita didio ilquale ediuiso ī. xxii libri || Iquali sono īcōfusiōe delrito dilliddii de || pagani... comīcia ilprologo tracto || del secundo libro delere-tractaciōe de Au||gustino:... 333b. COLOPHON : DEO GRATIAS. [P]Armi con laiutorio didio ha||uere renduto il debito di que||sta grande opera. Adcui pare troppo : o || adcui pare poco miperdonino. Ma ad || cui basta non adme: ma adio congratu||landosi meco ne rendano gratie. Glo||ria et honore alpadre et al figliuolo et || allo spirito sancto omnipotente idio in || secula seculorum. Amen. Chancery folio, 322 leaves (of 324, without first and last blank leaves), a12 a-k L m-z10 A-G10 H12, double column, 47 lines, roman type, initial spaces (the first supplied in red, a few others supplied later in brown ink), book number supplied in manuscript at head of each recto (faded), eighteenth-century cat's-paw calf, spine gilt in compartments with red morocco lettering-pieces, red edges. Reliure du XVIIIe siècle. 286 x 198 mm.
Edition originale en italien de «La Cité de Dieu» de Saint-Augustin, rarissime. «On n’en connait pas d’exemplaires» (Brunet, I, 560-561). HC *2071; GW 2892; BMC VII, 1136; BSB-Ink A-865; CIBN A-691; Bod-inc A-534; Goff A-1248. First edition of the only medieval translation into Italian of Augustine's City of God, traditionally ascribed to the fourteenth-century Florentine Dominican Jacopo Passavanti, and which appeared shortly after the editio princeps of the Latin printed by Sweynheym and Pannartz. Cité De Dieu est l'apologie du christianisme, écrite par Saint Augustin (354-430) vers la fin de sa vie. C'est à la fois une philosophie de la société humaine dans son devenir historique, une métaphysique de la société et une interprétation de la vie individuelle et sociale, à la lumière des principes fondamentaux du christianisme. Le livre est écrit en réponse à l'accusation formulée en 410 par les païens, qui prétendent que le sac de Rome, infligé par les Goths d'Alaric, a pour cause l'abandon du culte des dieux traditionnels, abandon imposé par le christianisme. Augustin répond en rejetant l'accusation ; mais d'abord, pour avertir et rassurer les chrétiens eux -mêmes, qui n'avaient pas été sans s'émouvoir et sans souffrir de ce carnage, il explique quelle est la véritable nature du bien et du mal, et démontre comment ce dernier ne peut nous venir d'une violence extérieure, puisqu'il tire son origine de la volonté qui se soumet aux biens temporels. Les dévastations et les massacres perpétrés par les Goths n’ont pas porté atteinte à ce qui a une vraie valeur; ils ont été, tout au plus, une épreuve salutaire et un avertissement éloquent pour les chrétiens trop attachés aux biens terrestres (livre I). Dans son développement, Augustin a mis en valeur la tradition apologétique de Tertullien à Origène, en la revivant avec sa vaste expérience de penseur et d'évêque, en en élargissant les perspectives, en en faisant une interprétation de l'histoire de l'humanité. C'est pourquoi cette histoire a exercé une influence profonde sur toutes les époques et sur tous les individus curieux et inquiets de leur propre destin. C'est pourquoi, aussi, dans les polémiques du Moyen Âge entre la papauté et l'empire, on a voulu puiser dans cette œuvre (identifiant faussement la cité de Dieu avec l’Église empirique et la cité du monde avec l'État concret) ; c'est pourquoi, de Bossuet à Balbo, tous ceux qui se sont à nouveau penchés sur le problème de l'histoire se sont tournés vers saint Augustin ; c'est pourquoi, malgré le développement des sciences théoriques, La Cité de Dieu reste encore un livre vivant, qui ne cesse de trouver des lecteurs. Ce fut le premier livre imprimé en Italie (1467, à Subiaco) et nous savons combien ensuite l'humanisme en sentit le charme profond, comme le sentirent aussi les Réformateurs, Pascal, Kierkegaard. Many incunable catalogues continue to express uncertainty about whether this edition was printed in Venice or in Florence, and about its date. But the research by Tommaso Accurti and Roberto Ridolfi has established clearly that this edition was printed by Antonio Miscomini in Venice, during the years of his activity there, 1476-78. By 1480, Miscomini had moved to Nonantola, from where he migrated to Florence. During the years of his first shop in Venice he did not use his surname in his colophons, referring to himself as Antonius Bartholomaei, and Antonio da Bologna. «In quire q the text is almost free from contractions and the pages of the inner opening are short, with a blank space of nearly a column between two chapters. This book was assigned to Miscomini's Florentine press by Procter (n° 6145) but is here taken to have been printed by him at Venice because (I) of the numerous watermarks several (scales in circle, large oxhead with shaft ending in cross and rosette, etc.) are characteristically Venetian but none characteristically Florentine ; (2) the heavy a with head curled to left which is occasion-ally found occurs elsewhere only in the Venetian Virgil of ‘1486’, IB. 20447, vol. v, p. 240. The considerations that one of the Bodleian copies belonged to the Jesuates of Venice and that, according to R. Lier & Co.'s Catalogue IX (1926), no. 8, at least two copies in original Venetian bindings are known point in the same direction. On the other hand, the frequent combination of the article with its substantive in one word is rather a Florentine characteristic. Wherever it was printed, the book cannot be later than 1483, as is shown by the inscription in the Bodleian copy : Questo libro e dipoueri Iesuati da uenegia. 1483. The only well authenticated early edition.» (BMC, VII, 1136). Très bel exemplaire. Hauteur 286 mm contre 241 pour l’exemplaire Théordore Low Devinne.
Superbe exemplaire sur grand papier de Hollande revêtu de reliures en maroquin de l’époque à dentelle. Paris, de l’Imprimerie Royale, 1758. 3 volumes in-12, plein maroquin vert olive, riche dentelle dorée sur les plats, dos lisses richement ornés, doublures et gardes de tabis rose, tranches dorées. Reliure de l’époque. 166 x 93 mm.
Jolie édition sortie des presses de l’imprimerie royale de la traduction préférée des Confessions de Saint Augustin. «Les Confessions avaient précédemment été traduites par Arnauld d’Andilly mais on préfère la traduction de Dubois» (Brunet, I, 561). «Ecrites au cours de l’une des périodes les plus dramatiques de l’histoire de l’humanité, les Confessions constituent la base de toute la pensée moderne. C’est une véritable épopée de la conversion chrétienne, résumée dans le drame intérieur d’un homme, drame dans lequel s’expriment tous les éléments passionnels et théoriques d’une telle expérience. Dans la littérature de tous les temps, rares sont les œuvres qui, comme celle-ci, montrent dans leur unité indissoluble, le développement d’une expérience spéculative en même temps que celui d’une expérience religieuse et humaine». (T.F. Œuvres Complètes, Vivès, 1869-1878). Superbe exemplaire, l’un des rares imprimé par l’imprimerie royale sur grand papier de Hollande, chacun des titres portant les armoiries gravées du roi Louis XV, revêtu de très élégantes reliures en maroquin vert olive à dentelle de l’époque.
Les sermons de Saint Augustin sur les psaumes sont une collection de discours et d'homélies prononcés par Saint Augustin, l'un des Pères de l'Église et l'un des plus grands théologiens de l'histoire chrétienne. Saint Augustin a consacré une partie importante de son ministère à l'interprétation et à l'explication des Écritures, y compris les Psaumes, qui sont un livre biblique poétique et spirituel. Dans ses sermons sur les psaumes, Saint Augustin explore les thèmes, les enseignements et les significations spirituelles des différents psaumes. Il offre des réflexions profondes sur la relation entre Dieu et l'humanité, la prière, la louange, la repentance, la confiance en Dieu et d'autres sujets théologiques. Les sermons de Saint Augustin sur les psaumes ont été transcrits et préservés par des auditeurs et des disciples, et ils constituent une importante source de sa pensée et de son enseignement. Ils démontrent sa capacité à interpréter les Écritures de manière allégorique, morale et spirituelle, en soulignant l'importance des psaumes dans la vie spirituelle des chrétiens. Cette édition permet aux lecteurs de plonger dans la pensée théologique et l'interprétation biblique de Saint Augustin en ce qui concerne les psaumes. Ils offrent un aperçu précieux de la manière dont il a appliqué la sagesse des Psaumes à la vie spirituelle et à la relation avec Dieu. Nouvelle édition, Tome II, psaume XXI-XXXII, volume in8, 18x10, relié pleine basane époque, très bon état, 537pp. Paris, Jacques Barois, fils 1739 ref/149
Au bureau de la revue. 2003. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 55 + 49 pages - nombreuses photos et illustrations en couleurs dans le texte. Texte sur plusieurs colonnes, en français et en arabe.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Saint Augustin - Augustin, mon compatriote - Saint Augustin d'Hippone dans l'Afrique de son temsps - Un colloque contre l'oubli - Le paysage de l'Algérie à l'époque d'Augustin - Ecrivains algériens de l'Antiquité - De la pédagogie... selon Saint Augustin - Augustin sur les routes d'Afrique - Le riche patrimoine des mosaïques d'Hippone. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
A Paris, chez Guillaume Desprez, 1756. In-12 reliure plein veau du temps, dos à nerfs à caissons dorés et pièce de titre bordeaux, tranches rouges, xxxj f., 503 pages. Manque à la coiffe inférieure et usures sur deux coins. Les soliques 164 pages, le manuel de Saint Augustin de la pages 168 a la page 503.
Augustin d’Hippone, ou saint Augustin, né en Algérie le 13 novembre 354, philosophe et théologien d'origine berbère. Évêque d'Hippone, c'est aussi l’un des quatre Pères de l'Église latine (avec saint Ambroise, saint Jérôme et Grégoire Ier), et l’un des 35 docteurs de l’Église. Orateur et rhéteur redoutable, il mène durant sa vie une série de controverses orales et surtout écrites d'abord contre les manichéens, puis contre les donatistes et enfin contre le pélagianisme. Il laisse derrière lui une œuvre considérable tant en quantité qu'en qualité.