PM-DX2-C336, La Bonne Presse 1942
Reference : 12610958546
Satisfaisant
Livres Anciens et Contemporains
M. Michel Lassalle
06 14 76 10 91
Vente de gré à gré
Club francais du livre / les portiques 1963 in8. 1963. reliure editeur. 979 pages. Etat correct reliure légèrement usagée
Club francais du livre 1963 14x22. 1963. reliure editeur. 979 pages. Bon Etat intérieur propre dos de couverture insolé
Paris, FURNE, LIBRAIRE-EDITEUR quai des augustin n°37, 1728-1728; in-8, XV-394-409-514-393 et 397 pages, cartonnage de l'éditeur. Les 5 volumes. État correct- reliure demi cuir coiffes du haut abimées ou manquante sur le dos du tome 2 un manque dos a nerfs reliure frottée, tranches marbrés, rousseurs - contenant ce qui s'est passe de remarquable en France pendant les dernières années du règne de Louis XIVreliure de l'époque. " Retz commença ses Mémoires en 1675 et les abandonna en 1677 ; le début a disparu, et le récit s'arrête en 1655. Voltaire a pu en dire : " Les Mémoires du cardinal de Retz sont écrits avec un air de grandeur, une impétuosité de génie et une inégalité qui sont à l'image de sa conduite ". Guy Joli commença par servir Retz, dont il fut le secrétaire ; puis il s'en sépara pour devenir libelliste à la solde de la Cour. Fille du duc de Longueville, la duchesse de Nemours avait été entraînée malgré elle dans la Fronde ; les portraits qu'elle dresse des principaux frondeurs rivalisent avec ceux de Retz et les corrigent.".
État correct- reliure demi cuir coiffes du haut abimées ou manquante sur le dos du tome 2 un manque dos a nerfs reliure frottée, tranches marbrés, rousseurs - contenant ce qui s'est passe de remarquable en France pendant les dernières années du règne de Louis XIVreliure de l'époque. " Retz commença ses Mémoires en 1675 et les abandonna en 1677 ; le début a disparu, et le récit s'arrête en 1655. Voltaire a pu en dire : " Les Mémoires du cardinal de Retz sont écrits avec un air de grandeur, une impétuosité de génie et une inégalité qui sont à l'image de sa conduite ". Guy Joli commença par servir Retz, dont il fut le secrétaire ; puis il s'en sépara pour devenir libelliste à la solde de la Cour. Fille du duc de Longueville, la duchesse de Nemours avait été entraînée malgré elle dans la Fronde ; les portraits qu'elle dresse des principaux frondeurs rivalisent avec ceux de Retz et les corrigent.".
A Paris, Chez Etienne Ledoux, 1820. With portrait and facsimile. 6 volumes. (4), xxv, (1), 531, (1) pp.; (4), 515, (1) pp.; (4), 441, (1) pp.; (4), 448 pp.; (4), 506 pp.; (4), 496 pp. 8vo. Contemporary half calf, spines gilt in compartments, marbled boards, red and green labels with gilt lettering. Bourgeois & André 797. Important French autobiography and important historical account on the period of the Fronde. François Paul de Gondi, Cardinal de Retz, (born September 1613, Montmirail, France-died August 24, 1679, Paris), one of the leaders of the aristocratic rebellion known as the Fronde (1648-53), whose memoirs remain a classic of 17th-century French literature.While still a student, he sympathized with the opposition to Cardinal de Richelieu, chief minister of Louis XIII from 1624 to 1642, who sought to weaken the power of the nobility. In 1643 Gondi was ordained a priest and was appointed coadjutor (acting deputy and successor-designate) to his uncle, Jean-François de Gondi, who was the archbishop of Paris.Gondi received the opportunity to play a major political role with the outbreak of the Fronde, a rebellion against the government of Anne of Austria (who was regent for her son, Louis XIV) and her chief minister, the Italian-born Cardinal Mazarin. Throughout the Fronde, Gondi worked primarily to advance his own interests, shifting his allegiance between the rebels and the government. During an interlude in the civil war he was persuaded to support the government's arrest of the powerful Prince de Condé in January 1650. But, reversing his position and that of his followers, he helped obtain the release of Condé and the temporary exile of Mazarin (February 1651). In an attempt to win his support, Anne nominated Gondi to the cardinalate on September 22, 1651. His nomination was accepted by Pope Innocent X on February 19, 1652, and from that time Gondi styled himself Cardinal de Retz. But his political maneuvering cost him his popularity in Paris, while the government mistrusted him and waited for revenge.After the end of the Fronde, and with the government victorious, and unable to gain favour with King Louis XIV, Retz lived away from court, on his estates or in his French abbeys. Claiming a religious conversion, he lived his last years in penance. Retz's Mémoires, written during his retirement, is an account of his life to 1655 and contains a description of his role in the events of the Fronde, portraits of contemporaries, and maxims drawn from his experiences.The Florentine banking family of the Gondi had been introduced into France by Catherine de' Medici; Catherine offered Jérome (Girolamo) de Gondi in 1573 the château that he made the nucleus of the Château de Saint-Cloud; his hôtel in the Faubourg Saint-Germain of Paris became the Hôtel de Condé in the following generation. The Gondi acquired great estates in Brittany and became connected with the noblest houses of the kingdom. François Paul de Gondi had little influence under Richelieu, used his later influence against Mazarin which in turn helped lead to the outbreak of the Fronde.
Phone number : 31 20 698 13 75
Amsterdam, 1718. Trois volumes in-12 (166 x 92 mm), 2 ff. n. ch., XVIII pp., 427 pp.; 1 f. n. ch., 426 pp.; 1 f. n. ch., 408 pp. Maroquin vieux rouge, filet d’encadrement à froid, dos à nerfs avec filets à froid, pièces de titre et de tomaison en maroquin brun, roulette dorée sur les coupes et sur les chasses, tranches dorées sur marbrures, dos uniformément et légèrement passé, légères épidermures sur un plat, rares petites rousseurs, petite déchirure sans manque aux pages 19, 51 et 217 du tome III, feuillets intervertis dans les cahiers C à K (reliure de l’époque).
Les Mémoires d’un des plus grands conspirateurs du XVIIe siècle. Ces Mémoires furent écrits entre 1675 et 1677. «Publiés au début du XVIIIe siècle en pleine Régence, dans un climat de réaction contre le Grand Siècle, ils effraient encore l’honnête homme par le modèle d’aventurier génial qu’ils proposent à la postérité bien avant ceux de Stendhal, de Malraux, de T.E. Lawrence» (Beaumarchais, Couty & Rey, Dictionnaire des écrivains de langue française). Cette édition parut un an après l’originale, très rare, publiée à Nancy en 1717. Jean-François Paul de Gondi (Montmirail 1613-Paris 1679), cardinal de Retz, fut un brillant orateur, l’un des grands acteurs de la Fronde et l’une des meilleurs plumes de son temps. Destiné à accéder au siège archiépiscopal de Paris que son oncle occupait, il fut confié aux Jésuites du collège de Clermont où il devint un élève brillant. Il écrivit à vingt-cinq ans la Conjuration du comte Jean-Louis de Fiesque (1638), véritable épopée de la transgression qui deviendra son bréviaire de sédition. Il participa la même année à la conspiration menée par le comte de Soissons contre Richelieu. En 1643, il fut nommé coadjuteur de l’archevêque de Paris par Anne d’Autriche. En 1648, il fut au premier rang des frondeurs contre Mazarin. En 1650, il s’allia à la reine contre Condé lorsque celui-ci fut défait par Turenne et fut promu cardinal de Retz. Au retour de Mazarin, il fut désavoué et emprisonné. En 1654, il devint de droit successeur de son oncle, décédé, sur le siège archiépiscopal ; Mazarin réclama sa démission en vain. Le cardinal de Retz réussit à s’évader. Il mena une vie errante dans toute l’Europe. En 1661, il accepta de démissionner pour retourner en France et fut exilé à Commercy qu’il ne quittera guère que pour participer aux conclaves en 1662, 1665, 1668 et 1670. C’est au cours de cet exil qu’il écrivit ses Mémoires. Bel et rare exemplaire en maroquin janséniste de l’époque.