La Simarre & Christian Pirot 2000 128 pages 21x13x1cm. 2000. Broché. 128 pages.
Reference : 97463
ISBN : 9782868080653
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Belgique 1970 GALLIMARD Hardcover As New
Bibliotheque de la Pleiade ; Rabelais Oeuvres complètes (Alb Pleiade) 1033 pp, 18 x 12 cm, reliure d'éditeur avec boïte, jacquet et rhodoid. Bel exemplaire.
Nice 1973 Publications De La faculté Des Lettres et Sciences Humaines De Nice Paperback 1st Edition
Le Moyen Age Dans Le Gargantua De Rabelais, 24 x 16 cm, 583 p, très bon état
Précieuse édition des Œuvres de François Rabelais, l’une des dernières parues au XVIIe siècle. S.l. [Rouen], 1659 (1669) [mais 1675]. 2 tomes reliés en 4 volumes in-12 de : I/ (12) ff., 262 pp. ; II/ pp. 263 à 488, (5) ff. de table ; III/ 210 pp. ; IV/ pp. 211 à 459, (9) pp. de table et 1 figure dans le texte p. 347. Maroquin brun olive, filet estampé à froid encadrant les plats, dos à nerfs, roulette dorée sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 151 x 85 mm.
Précieuse édition des Œuvres de François Rabelais, l’une des dernières parues au XVIIe siècle. « C’est une contrefaçon antidatée. Elle contient les mêmes pièces que les deux éditions précédentes, avec, en plus, une ‘Clef du Rabelais’, qui trahit la fausseté de la date. Cette ‘clef’, en effet, a paru pour la première fois en 1675. Dans le « Bulletin du bibliophile’ de juin-juillet 1851, M. J. Chenu a publié une note sur cette édition, qu’il croit véritablement imprimée par les Elzevir. La simple inspection de la sphère imprimée sur les titres démontre l’impossibilité de cette hypothèse. L’édition que nous décrivons – fort élégante, d’ailleurs, autant au point de vue typographique qu’à celui de la qualité du papier – nous parait avoir été imprimée à Rouen. Elle a été elle-même contrefaite plusieurs fois, probablement à Bruxelles. Nous en avons sous les yeux trois différentes imitations (avec la date de 1659 sur les deux tomes), mal imprimées et sur mauvais papier ». Plan, Les Éditions de Rabelais, 130. « C’est une contrefaçon du Rabelais Elzevir, qui est postérieure à l’édition de 1675. Elle a été elle-même contrefaite plusieurs fois sous les adresses de Bruxelles, Henri Prix, ou d’Amsterdam, Adrian Moetjens ». (Tchemerzine, V, 318). Elle est précédée d’une notice sur la vie de Rabelais. Le tome second comporte en outre un alphabet en 77 pages consacré à l’explication des termes utilisés par Rabelais dans ses Œuvres ainsi qu’une Clef. L’édition est ornée d’une figure à pleine page représentant la Dive bouteille. Les éditions anciennes des Œuvres de Rabelais sont toutes fort recherchées. Très séduisant exemplaire, d’une grande pureté, de cette élégante édition des Œuvres de Rabelais, conservé dans sa reliure en maroquin olive de l’époque, condition des plus rares pour les éditions anciennes de Rabelais.
Superbe exemplaire à grandes marges. Paris, Charles de Sercy, 1651. In-8 de (20) ff. préliminaires y compris le frontispice gravé, 75 pp. chiffrées, (9) ff. de table, 197 pp. mal chiffrées 191 et (18) ff. non chiffrés, le dernier blanc. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs orné, filets or sur coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure signée de Trautz-Bauzonnet, vers 1860. 166 x 108 mm.
Edition originale de ces lettres adressées par Rabelais à Godefroy d’Estissac, evesque de maillezais, lors de son voyage en Italie. Tchemerzine, V, 323; De Backer, I, 287. Vers 1520, Rabelais est moine chez les Cordeliers de Fontenay-le-Comte. Persécuté dans son couvent, il entre au monastère de Maillezais en Poitou, protégé par Geoffroy d’Estissac, prieur et évêque de cette abbaye bénédictine. Devenu à son tour bénédictin, Rabelais s'attache à la personne de Geoffroy d'Estissac dont il sera le secrétaire jusqu’en 1526. Il gardera des rapports épistoliers réguliers avec celui qu’il considère comme son premier protecteur. En 1530 Rabelais arrive à Montpellier, étudie la médecine, et devient médecin en 1532 à l’Hôtel-Dieu à Lyon. C’est au début de 1534 que Rabelais quitte Lyon pour l'Italie, comme médecin attaché à la personne du Cardinal Du Bellay. D’aout 1535 à mai 1536, Rabelais séjourne encore à Rome dans le but de demander au pape l’autorisation de poursuivre la médecine et de réintégrer l’ordre des bénédictins après la condamnation dont furent frappés Gargantua et son auteur. Le recueil, édité par les frères de Sainte Marthe, se compose des lettres adressées d'Italie par Rabelais à son premier protecteur. Divisées en 16 chapitres elles évoquent autant les rapports du Pape avec Charles V, les différends opposant les familles Médicis et Strozzi, que les combats opposant le Roi de Perses aux Turcs,... Des détails beaucoup plus intimes révèlent ainsi l'envoi de graines du jardin secret du Pape au Belvédère, à l'évêque de Maillezay : « les salades de Legugé, me semblent pourtant bien aussi bonnes, & quelque peu plus douces & amiables à l'estomach, mesmement de votre personne, car celles de Naples me semblent trop ardentes & trop dures... ». «Ce volume est orné d’un beau frontispice de F. Chauveau, offrant le portrait de Rabelais à mi-corps assis devant une table et écrivant». (De Backer) Superbe exemplaire à grandes marges.
«Un rire des dieux, suprême, inextinguible…» Claudel. Les Œuvres de M. François Rabelais Docteur en Médecine. Dont le contenu se voit à la page suivante. Augmentées de la vie de l’Auteur & de quelques Remarques sur sa vie et sur l’histoire. Avec la Clef & l’explication de tous les mots difficiles. Tome I. M.DC.LIX (1659). Le faux-titre, en noir, porte : Rabelais M.DC.LXIX. (1669). Le titre du premier tome est imprimé en rouge & noir. Celui du second, en noir, ne porte que ces lignes: Les Œuvres de M. François Rabelais, Docteur en Médecine. Tome II. m.dc.lxix (1669). 2 volumes grand in-12 : I/ (12) ff., 490 pp. mal ch. 488, (5) ff.; II/ 459 pp., (9) pp., 1 figure p. 347, qq. mouillures marginales. Plein maroquin rouge, plats ornés d’un encadrement à la Duseuil, dos à nerfs orné, coupes décorées. Reliure de l’époque. 157 x 87 mm.
Précieuse édition des Œuvres de François Rabelais parue au XVIIe siècle. «Jolie édition imprimée avec des caractères elséviriens, mais que nous croyons sortie des presses d’un imprimeur de Bruxelles. C’est bien certainement une copie de celle de 1663, dont elle reproduit le texte page pour page et presque toujours ligne pour ligne. Par suite d’une faute typographique, le frontispice du premier volume porte la date m.d.lix, tandis que sur celui du second volume se lit la date m.d.lxix, qui doit être la véritable, puisqu’il se trouve des exemplaires dans lesquels l’erreur a été rectifiée; et dont les deux titres sont de 1669. – Le premier volume a 12 ff. préliminaires, 488 pp. et 5 ff. pour la table. Les pages 215 et 216 sont répétées de même que dans l’édition de 1663. Le second volume contient 459 pp., la table occupe 7 pp., et la Clef du Rabelais, laquelle ne se trouve ni dans l’édition de 1663, ni dans les réimpressions qui en ont été faites en 1666, en 1675 et en 1691, est renfermée en 2 pp.» (Brunet, IV, 1059). «Dans le Bulletin du bibliophile de juin-juillet 1851, M. J. Chenu a publié une note sur cette édition, qu’il croit véritablement imprimée par les Elzévir. La simple inspection de la sphère imprimée sur les titres démontre l’impossibilité de cette hypothèse. L’édition – fort élégante, d’ailleurs, autant au point de vue typographique qu’à celui de la qualité du papier – nous paraît avoir été imprimée à Rouen. Elle a été elle-même contrefaite plusieurs fois, probablement à Bruxelles. Nous en avons sous les yeux trois différentes imitations (avec la date de 1659 sur les deux tomes), mal imprimées, sur mauvais papier. On en trouve d’autres, sous la même date, & l’indication: A Bruxelles, chez Henri Frix, vis-à-vis la Madeleine, & Amsterdam, Adrien Moetians, à la Librairie Française; d’autres encore, portant les dates 1721, 1724 & 1734, à Bruxelles, chez Nicolas Langlois, proche la Madeleine.» (P. P. Plan, Bibliographie rabelaisienne). Dans toutes ses œuvres, l’homme doit se faire coopérateur avec Dieu. Cette morale de l’effort et la confiance en la grâce de Dieu s’opposent à la doctrine de la prédestination de Calvin, que condamne Rabelais, et à l’athéisme que le positivisme du début du siècle, effarouché par les plaisanteries sur la religion, pourtant de tradition monacale, a voulu voir en Rabelais. Par-delà cette quête de soi-même, cette propédeutique de la connaissance symbolisée par le voyage du Quart Livre, l’œuvre de Rabelais est aussi une dénonciation violente de tous les vices sociaux, une satire des conformismes: critique des moines, des pèlerinages, de la confession, des cultes des saints à la suite d’Érasme; critique des vices de la papauté dans l’épisode des Papimanes ou de l’île Sonante; critique des sorbonnards des sophistes; de la justice. Elle est aussi traité pratique de pédagogie, véritable institution du prince, utopie sociale avec l’harmonie des thélémistes. Séduisant exemplaire finement relié en maroquin rouge de l’époque, condition des plus rares pour les éditions anciennes de Rabelais.