France Loisirs 2005 604 pages in8. 2005. relié. 604 pages. Dans le chaos des années 30 et de la Seconde Guerre mondiale un magnifique roman sur le destin bouleversant d'une jeune fille malmenée par la vie. A douze ans à peine Adele assiste impuissante à la mort accidentelle de sa petite s?ur. Brutalisée par sa mère qui la rend responsable du drame elle est conduite dans un sinistre orphelinat avant de trouver refuge chez sa grand-mère Honour. D'abord hostile la vieille dame se laisse séduire par la fillette et l'élève de son mieux. Adele trouve enfin un peu du réconfort et de la chaleur qui lui ont si cruellement manqué. Et quand à quatorze ans elle découvre l'amour avec son jeune voisin Michael Bailey elle se prend même à rêver d'une vie heureuse. Hélas ! les horreurs de la guerre et le terrible secret révélé par sa mère vont venir briser son bonheur si durement gagné
Reference : 72316
ISBN : 9782744187773
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Paris, Édition du monde illustré, (Rennes, Imprimerie Oberthur, août) 1908 1 vol. (120 x 190 mm) de XII et 292 pp. Demi-chagrin vert, dos à nerfs orné, titre doré, couvertures conservées. Edition originale. Monté en tête : 5 feuillets manuscrits du premier jet de la préface (avec nombreuses variantes et corrections). Précieux exemplaire. Dos insolé et coins émoussés.
Ce premier jet - avec nombreuses variantes et corrections - présente les circonstances précises de la naissance du roman : la visite d'un admirateur qui lui livre le canevas de Secrets d'État. Le reste ? Un pari : " Alors pour me débarasser de lui, j'écrivais un matin délibérement sur la première page : Chapitre I, et pour ne pas m'ennuyer pendant trois cents pages, je résolus de m'amuser le plus que je pourrais, et je me mis à raconter cette histoire, ma foi ! avec assez de plaisir...". Fils d'architecte, Paul Bernard (il prendra pour pseudonyme Tristan, du nom d'un cheval sur lequel il avait misé avec succès aux courses, en 1891, lorsqu'il commence à collaborer pour La Revue Blanche, se fait rapidement connaître pour ses jeux de mots et ses pièces, ainsi que pour ses mots croisés, il contribue aussi au genre policier avec Amants et Voleurs (1905), L'Affaire Larcier (1907) et Secrets d'État, publié en 1908 : le récit d'un complot contre le souverain de l'État imaginaire de Bergenslan, dans lequel un jeune professeur de français - engagé par l'ambassade pour traduire et informer le gouvernement des nouvelles de son pays - vient à rencontrer le chancelier, le roi et tous les personnages importants de ce petit État. Toutes ces sympathies lui permettent de découvrir une sordide lutte de pouvoir, et le mettent en danger. Le roman contient aussi un des premiers réquisitoires contre la peine de mort, lorsque Bernard fait dire au bon roi philosophe Charles XVI que « la boutade bien connue : " Que messieurs les assassins commencent " est une des paroles les plus misérables qu'on ait pu prononcer. Le plus coupable n'est pas celui qui commence, mais celui qui continue, et la société est beaucoup plus coupable que l'assassin, parce qu'il est ignorant et corrompu, tandis qu'elle est savante et policée. En attendant qu'elle veuille bien commencer à être civilisée, la société se ravale au niveau de cet être barbare. Si la suppression de la peine de mort augmente dans quelques années le nombre des crimes, tant pis : tout vaut mieux que de propager pendant des temps infinis cette monstrueuse idée que la société intelligente a le droit de tuer ». Pendant l'Occupation, menacé comme Juif, Tristan Bernard se réfugie à Cannes, où il vit à l'hôtel Windsor. À son ami, le scénariste Carlo Rim qui le pressait de venir se cacher chez lui la nuit, il répond : "À mon âge, on ne découche plus !" et d'ajouter : "Savez-vous que je figure dans le Petit Larousse ? On n'arrête pas quelqu'un qui figure dans le Petit Larousse". Son ami Roland Dorgelès le pressait aussi de venir se cacher chez lui à la campagne, et il est arrêté par les Allemands en 1943 alors qu'il venait d'acheter les billets de train pour le rejoindre. Il est interné au camp de Drancy : « jusqu'à présent nous vivions dans l'angoisse, désormais, nous vivrons dans l'espoir. » Il est libéré trois semaines plus tard grâce à l'intervention de Sacha Guitry et d'Arletty. Il refuse une première fois sa libération, ne voulant pas laisser sa femme, Mamita ; ils sortent finalement tous les deux quelques jours après, accueillis par Guitry à Paris.
P., Veuve Duchesne, 1772 ; in-12. XXIV-333 pp.-(3 pp.). Basane brune de l'époque, dos à nerfs orné, pièce de titre rouge. Petit manque à la coiffe inf., un coin frotté. Bon exemplaire cependant.
Faisant référence au "Livre des secrets d'Albert Le Grand", sorte de recueil de recettes de magie ou de talismans contre toutes sortes de maux, "Le Nouvel Albert" est avant tout un livre de recettes de médecine ou pharmacopée populaire. La première partie touche la santé, la seconde, intitulée "L'utilité" s'intéresse aux affaires domestiques : la cire pour les chaussures, les moyens d'enlever une tache, l'écriture invisible... mais aussi l'entretient des volailles, les chevaux, les légumes, contre les renards, les vers, pour faire du mastic... Dans la troisième partie titrée "L'agrément" il s'agit de recettes pour faire des liqueurs et du ratafia, pour produire au mieux des fleurs, pour peindre et faire des couleurs, des vernis, des teintures, de la manière amusante d'attraper les corbeaux... L'auteur, P.-A. Aletz un un polygraphe touche-à-tout et compilateur ; il rédigea un dictionnaire du cultivateur publié en 1760 dans lequel on trouve déjà nombre de conseils sur le jardinage, l'élevage, la médecine vétérinaire, la chasse, la cuisine, la vigne et le vin.
Dauphin.2005.In-8,couv.souple ill.en couleurs.589 p.77 planches en couleurs.TBE.
Paris, Buisson, 1791 ; 2 vol. in-8. 2ff.-XXXII-420pp. (mal chiffrées 484) - 2ff.-571pp. Basane fauve marbrée, dos à nerfs ornés, pièces de titre fauves, pièces de tomaison brunes. , tranches marbrées. Très légers frottements, petite épidermure sur le plat inférieur du tome 1, de rares rousseurs. Bel exemplaire. Vignette ex-libris "De la bibliothèque de Pierre Chollet-Beaufort, aîné, à Aigueperse". (Homme politique né à Aigueperse (Puy-de-Dôme) en 1772, et décédé à Paris en 1803. Avocat, il a été élu député du Puy-de-Dôme au Conseil des Cinq-Cents,en 1799. Il siègea au Corps législatif jusqu'en 1802. [Dictionnaire des parlementaires français]).
Edition originale posthume. Duclos, déjà membre de l'Académie française grace au soutien de Madame de Pompadour et de madame de tencin, avait été nommé "historiographe de France" en 1750, en remplacement de Voltaire quiaprès la mort d'Emilie du Châtelet partait rejoindre la cour de Frédéric II en Prusse. Il publia dans la foulée ses "Considérations sur les murs de ce siècle" (1751) et prépara ces "Mémoires secrets" se protégeant de la censure en en faisant circuler secrêtement des copies. Le manuscrit ne sera publié qu'au moment de la Révolution, profitant sans doute d'un sentiment anti-monarchiste.