‎Stephania Rocca Clotilde De Bayser Guillaume Gallienne Laurent Grevill Maurice Benichou Niels Arestrup Stephania Rocca Clotilde De Bayser‎
‎Le Candidat‎

‎Lancaster 2010 19x14x2cm. 2010. DVD. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire‎

Reference : 68214
ISBN : 3700173223318


‎french édition - zone 2 Europe -en bon état. Envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis France‎

€2.99 (€2.99 )
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‎Collectif ‎

Reference : 13455

‎Louis Bonaparte candidat à la présidence de la République, ‎

‎Réunion de 20 feuilles, anti Louis Bonaparte candidat à la présidence de la République, recto et recto verso, certaines illustrée, Henri POTTIN, anti Louis Bonaparte, (1848) Chez tous les libraires. Imprimerie Lacrampe & Cie 1) les trois chapeaux dédiée à M Louis Bonaparte. Chanson avec gravures. Chez tous les libraires Imprimerie Lacrampe et fils & Cie 260x401mm (recto) 2) Le neveu de l’oncle par Louis VOITELAIN ouvrier imprimeur. Dédiée à Louis Bonaparte Chanson, gravures. Chez tous les libraires gravures. Imprimerie Lacrampe et fils & Cie 260x401mm (recto) 3) Conseils d’un vieillard donnés à M Louis Bonaparte avec figures Chanson avec gravures. Chez tous les libraires Imprimerie Lacrampe et fils & Cie 260x401mm (recto) 4) Désistement de M Louis Bonaparte à la candidature de la présidence. Ou quelle est l’opinion du père Austerlitz, ex grenadier de la vieille garde sur le Prince Louis Napoléon Bonaparte. Texte sur 3 colonnes. (En double exemplaire) Feuille recto verso avec figures 260x401mm 5) Histoire du Prince louis Napoléon racontée par l’aigle de Boulogne avant qu’il ne fut empaillé avec opinions des journaux sur la candidature du Prince Louis Napoléon Bonaparte feuille recto verso avec figures 260x401mm (en double exemplaire) 6) Histoire de M. Louis Bonaparte racontée par Athanasse Piedfort sergent à la 2ème du 3ème du 1er à Jérôme Gauvin , conscrit du Calvados, jeune homme sur lequel, on peut fonder les plus grandes espérances. Feuille recto verso, 260x401mm, (pas de figures) 7) Les grandes aventures du Prince Louis Napoléon . Complainte avec figures. Au verso opinion des journaux sur les tristes aventures de M Louis Napoléon Bonaparte 260x401mm. 8) Quelques mots sur la vie de M. Louis Bonaparte recto verso avec figures 260x401mm. 9) Grande complainte sur Louis Bonaparte avec figures, recto verso 260x401mm 10) Victoires et conquêtes de M Louis Napoléon Bonaparte racontes par l’aigle de Boulogne à l’aigle Impérial par Charles GILLE feuille recto. 260x401mm 11) Le gâteau des prétendants (gâteau des rois !) c’est la France feuille illustrée, recto verso 260x401mm 12) L’amoureux de la République ou Louis Bonaparte jugé par ses actes feuille recto verso 260x401mm 13) Simple histoire du Prince Louis Bonaparte fait Napoléon candidat à la présidence de la République française par lttle Jester. Feuille recto verso 260x401mm 14) Comme quoi Louis Bonaparte n’existe pas par Little Jester suivi de manifeste de louis caméléon Bonaparte prétendant à la présidence de la République française par Jule CHOUX 15) Louis Bonaparte jugé par les communistes et les phalanstériens. Extrait des écrit communistes et des phalanstériens feuille recto verso 260x401mm 16) Le Prince Louis apprécié par les journaux anglais sa vie à Londres- sa candidature à Paris. Feuille avec figures, 4 pages. 260x401mm 17) Boulogne et Strasbourg feuille recto verso 260x401mm 18) Aventures d’un Prince ambitieux racontées par le citoyen Chiffonneau dans une soirée chez Paul Niquet feuille recto verso avec figures 260x401mm 19) Le neveu de Napoléon à la façon de Barbari feuille 260x401mm 20) Le candidat feuille recto verso 260 x401mm. L’ensemble ‎


Charbonnel - Bar le Duc

Phone number : 03 29 79 40 63

EUR200.00 (€200.00 )

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎[J. J. Dubochet, Le Chevalier et Cie] - ‎ ‎REYBAUD, Louis ; GRANDVILLE, J. J. ‎

Reference : 65425

(1846)

‎Jérôme Paturot à la Recherche d'une Position Sociale [ Avec une lettre autographe signée de Louis Reybaud, candidat à la députation, qui soutiendra "Marquis" pour un poste, probablement une charge d'agent de change ? ] ‎

‎1 vol. in-4 cartonnage d'origine pleine percaline polychrome, toutes tranches dorées, J. J. Dubochet, Le Chevalier et Cie, Paris, 1846, 4 ff., 460 pp. avec 32 planches hors texte On joint une LAS de l'auteur, de 2 pp. et 4 lignes‎


‎Première édition illustrée, dans son cartonnage d'origine orné de l'amusant blason de Jérôme Paturot. Nous joignons une L.A.S. de Louis Reybaud dans laquelle il assure un ami de son soutien à un certain Marquis, manifestement candidat pour une charge d'agent de change : "les agents de change venus ici pour réclamer ont été fort mal reçus par le Ministre, de sorte que l'affaire suivra son cour naturel. J'ai vu Sénard, j'ai causé avec Mr. de la Coste, et avec Reynard. La conclusion de ces entretiens, si l'on m'a parlé avec sincérité, c'est que les choix du jury seront strictement confirmés. On semble s'être mis d'accord là-dessus afin de s'épargner les conflits d'influence. C'est du moins de cette façon que l'entend Sénard et il faudra qu'on lui force bien la main pour qu'il agisse autrement. Dans ce cas, le plus grand effort doit être fait à Marseille. Ce qui se fera dans le jury est décisif. J'ai pourtant déjà parlé de Marquis à Sénac : il a entendu son nom et ses titres. Il ne fallait pas insister, sous peine de nuire au candidat, devant la déclaration formelle du directeur de l'Intérieur. [... ] Député, je te garantirais l'affaire ; non député, je me remuerai pour l'enlever [...]". Louis Reybaud fut député des Bouches-du-Rhône d'août 1846 à février 1848, membre de la Constituante de juin 1848 à mai 1849 et à nouveau Député de mai 1849 jusqu'au coup d'état du 2 décembre 1851. Or l'on sait d'Antoine Sénard que, organisateur de l'un des banquets réformistes, qui marquèrent les débuts de la révolution de 1848, il siégea à l'Assemblée constituante qu'il présida et son appui au général Cavaignac pendant l'insurrection lui valut son poste de ministre de l'Intérieur de juin à octobre 1848. Cela permet de situer avec quelque vraisemblance ce courrier entre février et juin 1848. Etat très satisfaisant (une planche débroché, dos passé, bon état par ailleurs, 2 ex-libris en garde dont celui d'Albert Insinger). Vicaire, VI, 1100‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR450.00 (€450.00 )

‎Collectif‎

Reference : R300281947

(1979)

‎Le Résistant de Libourne et sa région - 34e année n°1721, Lundi 12 mars 1979 - Edition spéciale : Election au Conseil général, le 18 mars 1979, VOTEZ - André Teurlay, candidat d'Union et de Défense des Intérêts du Canton présenté par tous les groupes de‎

‎Le Résistant. 1979. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. Un page recto-verso en feuillet - 4 photos en noir et blanc dans le texte. Texte sur deux colonnes. Avec 2 pages en feuillets en supplément.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux‎


‎"Sommaire : Election au Conseil général, le 18 mars 1979, VOTEZ - André Teurlay, candidat d'Union et de Défense des Intérêts du Canton présenté par tous les groupes de la Majorité - Robert Boulin : ""Je souhaite la victoire au CG d'André Teurlay"" - André Teurlay : notre candidat. Celui, aussi, du Parti Radical Classification Dewey : 70.1-Journaux"‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎[s.n.] - ‎ ‎DUMAS FILS, Alexandre ; [ DIETZ, David ]‎

Reference : 56068

(1871)

‎[ Copie d'une lettre d'Alexandre Dumas Fils adressée à M. Veschoutre de Metz évoquant la condamnation à mort du communard Louis Rossel ] Puys, (Seine Inférieure) 18 août 1871. Monsieur, Rossel sera certainement condamné à mort, il ne peut pas ne pas l'être. Il a déserté, il a passé à l'ennemi, il a combattu des chefs et des camarades ; la loi militaire est formelle, et l'acquittement de Rossel serait du plus mauvais et du plus dangereux effet. Pour le principe, et surtout en des moments comme les nôtres, il faut que Rossel soit condamné à mort, et si j'étais un de ses juges, je n'hésiterais pas une seconde ; mais une fois la condamnation prononcée, je demanderais sa grâce et de cette grâce je ne doute pas un moment. Rossel excite déjà de grandes sympathies et c'est au maréchal Mac-Mahon qu'il doit de n'avoir pas été fusillé sommairement. S'il ne prend pas devant le conseil de guerre une mauvaise attitude, il aura pour lui toutes les indulgences possibles. Je ne suis pas dans le Secret des Dieux, mais je crois pouvoir vous rassurer d'avance sur le sort de votre ami. Du reste, le moment venu, je ferai de mon mieux et je ne serai pas le seul. Je retournerai justement à Versailles pour cette affaire là. Très affectueusement à vous". A. Dumas. On joint le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎

‎1 lettre recto verso, avec la mention en haut à gauche, de la main de l'ingénieur des chemins de fer et Président honoraire des "Patriotes de La Moselle" David Dietz : "Lettre adresse à Mr. Veschoutre de Metz. J'ai vu l'original". [ Copie d'une lettre d'Alexandre Dumas Fils adressée à M. Veschoutre de Metz évoquant la condamnation à mort du communard Louis Rossel ] Puys, (Seine Inférieure) 18 août 1871. Monsieur, Rossel sera certainement condamné à mort, il ne peut pas ne pas l'être. Il a déserté, il a passé à l'ennemi, il a combattu des chefs et des camarades ; la loi militaire est formelle, et l'acquittement de Rossel serait du plus mauvais et du plus dangereux effet. Pour le principe, et surtout en des moments comme les nôtres, il faut que Rossel soit condamné à mort, et si j'étais un de ses juges, je n'hésiterais pas une seconde ; mais une fois la condamnation prononcée, je demanderais sa grâce et de cette grâce je ne doute pas un moment. Rossel excite déjà de grandes sympathies et c'est au maréchal Mac-Mahon qu'il doit de n'avoir pas été fusillé sommairement. S'il ne prend pas devant le conseil de guerre une mauvaise attitude, il aura pour lui toutes les indulgences possibles. Je ne suis pas dans le Secret des Dieux, mais je crois pouvoir vous rassurer d'avance sur le sort de votre ami. Du reste, le moment venu, je ferai de mon mieux et je ne serai pas le seul. Je retournerai justement à Versailles pour cette affaire là. Très affectueusement à vous". A. Dumas On joint le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎


‎Très intéressant ensemble réunissant la copie d'une lettre d'Alexandre Dumas fils évoquant la condamnation à mort de Rossel (malgré l'optimisme de Dumas fils, Louis Rossel sera fusillé le 28 novembre 1871) et le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎

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