Le Livre de Poche 1986 192 pages 18x11x1cm. 1986. Poche. 192 pages. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire
Reference : 67964
ISBN : 2253038563
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Stéréotype d'Herhan 1805 in16. 1805. Relié. l'école des maris les facheux école es femmes la critique de l'école des femmes l'impromptu de Versailles la princesse d'Elide le mariage forcé
Etat correct couverture frottée tache coin sup. droit en début de livre
PLON. 1920. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 445 Pages - Frontispice en noir et blanc - Un tampon sur la page de titre. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Sommaire : Sganarelle - Don garcie de Navarre - L'école des maris - Les facheux - L'école des femmes - La critique de l'école des femmes.... Classification Dewey : 792-Théâtre
1946 1946. Tirage argentique de l’époque. Un coin frotté. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard.
1946 1946. Tirage argentique de l’époque. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard.
1946 Sans date [1946]. Tirage argentique de l’époque. Un coin frotté. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard.