NOUVELLES PLUMES 2014 147 pages poche. 2014. Poche. 147 pages.
Reference : 58900
ISBN : 9782298083521
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Démons et Merveilles
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CASTERMAN. 1990. In-4. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 159 pages. Livre pour enfants avec de nombreux dessins en couleurs.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Contient : Jean-Lou et Sophie dans l'ile de lumière, Jean-Lou et Sophie au jardin de Lilliput, Jean-Lou et Sophie au bord de la rivière, Jean-Lou et Sophie à la montagne, Jean-Lou et Sophie en Bretagne, Jean-Lou et Sophie construisent une cabane, Jean-Lou et Sophie à la course des tacots, Jean-Lou et Sophie et coeur de paille. Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Hachette, 1977, fort in-8°, 439 pp, préface d'Yves Berger, 12 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
1851- Théodore Bost, Suisse francophone et de père français, quitte son pays natal. Il a dix-sept ans et s'embarque pour l'Amérique. Il vivra là-bas jusqu'à sa mort, en 1920. Qu'allait-il donc chercher au Nouveau Monde ? Et avec lui les immigrants, par dizaines de milliers ? Les lettres qui composent ce livre le disent : « De l'ouvrage, du terrain et de la liberté. » L'Amérique ou le mythe de la terre promise... Longue, minutieuse chronique de la vie quotidienne, pleine de soucis d'argent, de spéculations sur les récoltes à venir, de voeux rarement accomplis, d'espoirs si souvent fauchés, ces lettres racontent l'acharné combat, jamais gagné, toujours recommencé, mille fois perdu, que les pionniers livrent à la nature... — "Les lettres de Théodore Bost et Sophie Bonjour illustrent bien la vie des pionniers au milieu du XIXe siecle. Leur intérêt tient d'abord à la durée inaccoutumée de cette correspondance (1851-1920) dont seuls sont publiés des extraits. Elle tient aussi au caractère des deux personnages, lui, le dixième enfant d'une famille de onze, fils de pasteur contestataire rejeté par sa congrégation, condamné à une errance qui va le mener à travers la Suisse et la France jusqu'à un petit village de Dordogne, elle, aussi, d'ascendance suisse et protestante. L'itinéraire de Théodore et de Sophie les conduit de New York dans le Minnesota, puis en Californie, ou ils meurent, lui à 86 ans en 1920, elle à 87 ans en 1922. Que de choses ils ont vues, qu'ils racontent dans leurs lettres : la guerre de Secession, les guerres indiennes, la mise en valeur du Middle West, la Grande Guerre. De bons textes de liaison et des notes rendent la lecture de cette correspondance facile et agréable." (Claude Fohlen, Revue Historique) — "Le 26 février 1851, à Serrières, près de Neuchâtel, en Suisse, Théodore Bost, prend la diligence pour Genève. Le 20 avril suivant, il débarque à New York. Il a dix-sept ans. Théodore est le dixième des onze enfants d’un pasteur suisse d’origine française. A treize ans, malade, il a dû quitter l’école pour aller travailler dans des fermes. C’est alors qu’il a formé comme des centaines de milliers d’Européens de l’époque, le projet d’aller défricher des terres en Amérique. Du jour de son arrivée à New York jusqu’à celui de sa mort, survenue en 1920, en bon fils, bon frère et bon cousin qu’il est, Théodore écrira plusieurs fois par semaine aux membres de sa famille. Ses lettres et celles de sa femme, Sophie Bonjour, qu’il épouse en 1858, ont été retrouvées, classées, annotées, présentées par Charles Marc Bost, son petit-neveu (...). Un document unique et passionnant." (Le Nouvel Observateur, 1er août 1977) — "Le pasteur Ami Bost (1790-1874), d'une famille du Dauphiné réfugiée à Genève, joua un rôle important dans le Réveil en France. Il eut dix fils, dont six furent pasteurs, et une fille. Parmi ces enfants, John Bost, fut le fondateur des asiles de La Force et le dixième, Théodore Bost (1834-1920) s'établit en Amérique comme fermier. C'est de sa correspondance que sont extraites les lettres publiées ici par son petit-neveu, Charles-Marc Bost, fils du pasteur Charles Bost, historien du protestantisme. Ces lettres écrites par un jeune homme très religieux, montrent un aspect inhabituel de l'Amérique des années 1850. Parti dans le nouveau monde en 1851, à l'âge de 17 ans, Théodore a d'abord quelques occupations de courte durée : il travaille dans une ferme ; il enseigne ensuite le français dans une mission baptiste au Canada, puis sous forme de cours particuliers dans le Vermont. Il colporte des livres religieux pendant quelques mois et il part pour l'Ouest en 1855. Après avoir travaillé à la construction d'une route, sans pratiquement se faire payer, puis avoir été employé d'un marchand de bois, il achète pour 300 dollars un « claim » (c'est-à-dire un terrain non défriché, qui n'a pas encore été vendu par le gouvernement) avec de l'argent prêté par ses parents, dans le Minnesota. Alors commence la partie la plus étonnante de ce récit, racontant la vie, rarement décrite, du défricheur. Il mène une vie incroyablement dure, lors des premiers hivers, mais bénéficie de l'aide de ses voisins. Peu à peu il met en culture une partie de ses 160 acres. Naturalisé américain en 1856, il paye 200 dollars et devient réellement propriétaire de sa ferme en 1857. Depuis 1856, il correspondait avec Sophie Bonjour, avec qui il souhaitait se marier. Celle-ci arriva en Amérique en 1858, et le mariage put enfin être célébré. Théodore et Sophie continuent à mettre en valeur le domaine, défrichant, améliorant la maison d'habitation, élevant un petit troupeau de bovins. Ils subissent les aléas de l'agriculture, victimes de calamités naturelles ou des fluctuations de cours des produits agricoles, et sont à plusieurs reprises aidés par des prêts de la famille Bost. Ils jettent un regard critique sur l'Amérique, se plaignent de la dureté générale des habitants, bien qu'ils aient vécu au milieu d'un petit groupe de chrétiens dont ils étaient les piliers. Anti-esclavagistes de toujours, ils applaudissent au début de la guerre de Sécession, puis s'indignent de la conduite de certains politiciens du Nord. Ils décrivent sans sympathie la révolte des indiens, rapidement réprimée, en 1863. Cette même année, les Bost construisent une nouvelle maison, plus confortable, sur leur domaine. La mauvaise santé de Théodore l'incite à abandonner les gros travaux de la terre, et il développe la plantation d'arbres fruitiers, et se lance dans l'apiculture, ayant 57 ruches en 1867 et jusqu'à 90 en 1872. En 1870, il était retourné en Europe pour soigner sa santé et voir sa famille, ce que bien peu d'émigrants ont pu accomplir. En 1874, il devient marchand à Excelsior, puis vend sa ferme ; mais il ne peut s'adapter à cette nouvelle condition et retourne sur une autre ferme qu'il achète près de l'ancienne en 1877. A partir de ce moment, les lettres s'espacent de plus en plus. En 1887, les Bost s'installent en Californie, d'abord comme fermiers, puis retraités, auprès de leurs nombreux enfants et petits-enfants. Lors de l'affaire Dreyfus, Théodore se montre favorable au capitaine ; pendant la première guerre mondiale, il décrit l'évolution de l'opinion américaine, et, s'enthousiasme lors de l'entrée en guerre des Etats-Unis. Sa dernière lettre est d'avril 1920, deux mois avant sa mort à quatre-vingt-six ans. Sophie lui survivra deux ans. L'intérêt de ces lettres réside dans ce que leurs auteurs avaient une plus grande cuture que la plupart des pionniers, et qu'ils décrivent le développement de l'Amérique avec leurs yeux d'Européens, faisant parfois preuve d'un certain humour pour décrire leurs difficultés. Ils n'ont jamais été parfaitement intégrés à ce pays où la dureté et l'égoïsme étaient la loi générale, ce qui était trop contraire à leurs convictions chrétiennes. Certes, ils n'ont pas fait fortune, et ne sont pas devenus de ces riches « cousins d'Amérique » que l'on imagine généralement, mais le récit de leur lutte de tous les jours ne manque pas de grandeur. Il présente certainement un aspect plus caractéristique de la vie américaine au XIXe siècle que lés images traditionnelles de cow-boys ou de millionnaires." (J. Thierry du Pasquier, Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français, 1978)
GAIL (Sophie, née Edmée Sophie Garre) compositrice française. Elle fut l’épouse de l’helléniste français Jean-Baptiste Gail (1775-1819)
Reference : 61C25
Elle reconnaît avoir reçu de la part de sa tante, 150 livres, « sur les revenus de Nemours ».
, Sophie Legros, 2020 Original publishers paper-covered boards, . ISBN 9782930685526.
Sophie Legros (1976), eerste laureaat van de 'Prix de la cr ation' van de stad Luik in 2014, is een beeldend kunstenares en kunstdocente die zich sedert meerdere jaren toelegt op de verkenning van twee en drie dimensies in de kunst. Zonder gebruik te maken van een ladder, klimt de kunstenares tot boven in haar installaties om daar stukken ruw of geschilderd hout te bevestigen. Zo transformeert ze haar installaties - voornamelijk in gerecycleerd hout -, tekeningen, foto's en schilderijen tot performatieve werken. Deze voornamelijk efemere werken, in de tijd beperkt tot de looptijd van een tentoonstelling, de renovatie van een flat of de inrichting van een galerie, krijgen in haar boek En qu te de formes een nieuw bestaan. Via zorgvuldig samengebracht beeldmateriaal worden drie actie-installaties, uitgevoerd tussen oktober 2016 en september 2017, omstandig belicht. Vanuit haar onderzoek formuleert de kunstenares po tische, soms ook theoretische stellingen. Wat naar voor treedt is een verrassend "en qu te de soi". Een zelfonderzoek dat de kunstenares ertoe brengt om, tijdens haar korte verblijven in het Middellandse Zeegebied, en haar eigen existenti le of emotionele invraagstellingen, nieuwe betekenissen te geven aan oude mythologie n - dwaalwegen "die uiteindelijk de hoofdweg aanwijzen". Een veeleisend parcours dat via deze boekpublicatie een prachtig uitgewerkte vorm bereikt. Premier prix, en 2014, du prix de la Cr ation de la Ville de Li ge, plasticienne et enseignate en arts plastiques, Sophie Legros (1976) explore depuis plusieurs ann es l'articulation des formes en deux et trois dimensions. Entre dessins, photographies, peintures et installations - la plupart constitu es d'assemblage de bois de r cup ration- elle n'h site pas transformer ses oeuvres en performances physiques, lorsqu'elle grimpe aux cimaises, sans chelle, pour tendre vers les sommets et y fixer ses morceaux de brois bruts ou peints. A ces oeuvres qui restent pour la plupart ph m res, le temps d'une exposition, d'un appartement en r novation, d'une galerie en chantier, elle donne aujourd'hui une nouvelle existence, celle d'un livre En qu te de formes. S'il s'agit au d part de t moigner de trois actions-installations r alis es entre octobre 2016 et septembre 2017, travers une constellation d'images soigneusement mises en page et reta ant sous tous les angles ce permanent "work in progress", l'artiste y livre aussi les propositions, tant t po tiques, tant t th oriques, de sa recherche. Ce qui transpara t des installations se r v le en fait une surprenante "en qu te de soi", o l'artiste, au gr de courts s jours vers la M dit rran e et de ses propres questionnements existentiels ou sentimentaux, redonne un sens nouveau d'anciennes mythologies, des chemins d' garement "qui finissent par riger la voie principale". Un parcourt exigeant, qui trouve ici une forme aboutie d' l vation. Alain Delaunois,
1865 Paris, chez tous les libraires,, 1865 Grand in-8 de 235pp. (1)p. de table. Rel. demi-chagrin de l'époque, plats recouverts de papier marbré, dos à nerf, titre doré Edition originale. Deux portraits hors-texte. Marie Thérèse Sophie Richard de Ruffey, marquise de Monnier (9 janvier 1754 8 septembre 1789), dite Sophie de Monnier, fut la maîtresse de Mirabeau
bel exemplaire dans sa reliure du temps, en ecellent état