Quai Voltaire 2011 336 pages 22x14x3cm. 2011. Broché. 336 pages.
Reference : 53899
ISBN : 9782710365167
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Planche 144 de La Caricature N° 71.La Caricature, 8 mars 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. coloriée sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune -
Titre en bas au centre : « Le juste milieu se crotte. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°71.) », en ht à dte : « Pl. 144 »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie vero dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « C.J. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès]Description iconographique:Lors d’un carnaval, deux hommes transportent, sur leur épaule, un bâton au milieu duquel une grosse poire est accrochée par le sommet. Il s’agit d’une incarnation du juste-milieu, c'est-à-dire de la politique menée par la monarchie de Juillet. Les deux transporteurs sont vêtus en costumes de carnaval. A gche, Périer, porte l’habit et le chapeau de Pierrot, et à dte, Louis-Philippe est travesti en Arlequin. Son visage est caché au spectateur car la tête est tournée vers l’arrière de la scène, mais il est reconnaissable aux favoris et à la forte corpulence. Ils pataugent dans la boue d’un égoût, et leurs vêtements, surtout celui du Pierrot, en sont maculés en partie inf. Un enfant du peuple, débraillé, poursuit les deux hommes et semble leur crier quelque chose, certainement une moquerie. Périer se retourne à peine et affiche un air inquiet et honteux, voire triste. Enfin, à l’arrière-plan se trouvent des silhouettes d’hommes portant des chapeaux haut de forme. Par le biais de cette pl., La Caricature se moque de la capacité qu’a le régime de juillet à se salir dans toutes les affaires auxquelles il participe. L’explication évoque les affaires étrangères de la Pologne, de la Belgique et de la Russie desquelles la France n’est pas sortie glorieuse, mais au contraire, couverte de honte et d’opprobre. Le peuple, voyant passer dans la ville ce cortège à travers les rues de Paris, se demanda ce que pouvait être cette masse transportée et, « ayant remarqué la boue qui la couvrait, on pensa que ce devait être le juste-milieu » (in explication). Ainsi c’est la saleté couvrant la forme qui permet de reconnaître en cette dernière l’incarnation du juste-milieu.Personne / Personnage représenté:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 10 mai 1832 (Planche n°161),pli central ,tache - Œuvre : Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image :Hauteur: 24cm xLargeur: 22cm- Titre en bas au centre : « Enigme. // Plusieurs têtes de fous dans un bonnet de coton blanc formant la // poire……….devinez ! // c’est le juste-milieu. »- Dans la lettre : « Lith de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]
iconographie:Ressemblant à une poire (allusion à Louis-Philippe, et plus largement au juste-milieu), un seul et même bonnet de coton blanc couvre la tête de cinq personnages, membres du gouvernement : baron Louis, Barthe, Périer, Soult, d’Argout (protagonistes du gouvernement Périer). Le bonnet de coton est traditionnellement considéré comme un symbole de la folie. Il est aussi un bonnet de nuit d’ « épicier » (in explication), couvrant le ministère du 13 mars : ainsi, c’est la tonalité bourgeoise du gouvernement qui est dénoncée iciPersonnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Périer, Casimir; Barthe, Félix; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron
1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 2 février 1832, (Planche n°134);taches en marge.LithographieDimensions - Œuvre: Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 27.4cmx Largeur: 23cm - Titre en bas au centre : « Naissance du juste milieu. / Après un enfantement pénible de la Liberté. » ; légende plus bas au centre : « Le parrain de l’enfant montre au peuple cet embryon monstrueux. Casim.. P.. veut donner un coup de pouce / à l’accouchée souffrante. Guiz.. tient le forceps, Dup.. le Docteur se frotte les mains de plaisir, Lancelot tient / ses adoucissans [adoucissants] tous préts [prêts] le baron Ath.. porte les lettres de faire part Sébast.. et sa nourrice. Schon.. toujours à / genoux. le petit Th… et le grand poulet Gaulois au quel [auquel] il fait la nique. » ; indications, en ht à gche : « N°66 », en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « Pl. 154. »- Dans la lettre : « Lith de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « J.J. Grandville / E. Forest » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur la feuille reposant sous la main de la Liberté, les dates des trois journées révolutionnaires de Juillet : « 27.28.29. » juillet 1830 ; sur le drapeau à l’arrière-plan à gche: « 1831 » ; sur le drapeau à l’arrière.-plan à dte : « 1[…]0 [1830] » ; sur la bourse accrochée à la taille de Thiers : « 100.000 ». A l’arrière-plan à gche, un blason surmonté d’une couronne. Il porte les symboles caricaturaux du régime de Juillet : un bonnet de coton (folie), deux seringues à clystère entrecroisées, un sac d’argent et un coq (?)
Parodie de la "Naissance d’Henri IV" par Eugène Devéria (1827, Pau, musée des Beaux-Arts). Louis-Philippe de dos (mais reconnaissable aux favoris), portant un bonnet de coton, montre l’enfant. Casimir Périer tend sa main au-dessus de la Liberté (sous les traits d’une jeune femme) qui vient d’accoucher (allongée et portant le bonnet phrygien à cocarde tricolore). Elle semble lasse et épuisée. François Guizot tient le forceps. Charles Dupin au fond à dte se réjouit. Lobau tient une seringue à clystère. Athalin au deuxième plan porte des faire-part. Horace Sébastiani se trouve juste à côté, à dte. Schonen à genoux. Adolphe Thiers au premier plan, menaçant le coq gaulois par un geste de la main (il lui promet, par ce geste, de lui couper le coup. Assassinat de la république et des libertés). Soult, un cierge à la main, à côté de Lobau. Le duc d’Orléans se tient derrière la nourrice. Sa tête semble auréolée d’un arc-en-ciel. Au fond à gche, des membres de la garde nationale. La pl. dénonce le reniement des principes républicains par le gouvernement. Celui-ci s’est servi de la révolution de juillet pour mettre en place le régime de son choix, incarné dans le nouveau-né, celui-ci ne correspondant pas aux idéaux républicains. La pl. symbolise la déception des républicains d’assister à la naissance et au développement d’un type de régime qu’ils n’ont pas désiré
FER - Attribué à Ferogio, François-Fortuné-Antoine (Marseille, 02–04–1805 - Paris, en 1888)
Reference : 25139
Planche coloriée n° 311 du journal La Caricature n°149 du 12 septembre 1833,pli horizontal,Lithographie. 220 x 275. . bon état,plis en coins
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 12 septembre 1833 (Planche n°311)Marques, inscriptions, poinçons:Inscription - Titre en bas au centre : « Obélisque de Luxe-nez » ; légende plus bas au centre : « Pyramide nasicale du juste milieu. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°149. », en ht à dte : « Pl. 311. »Inscription - Dans la lettre : « chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « F. F. » [François-Fortuné-Antoine Ferogio, dessinateur ?]Description iconographique:Sur la place de la Concorde, dont on aperçoit les chevaux de Marly, ainsi que le palais des Tuileries à l’arrière-plan, est érigé un obélisque « pour faire pendant au grand obélisque de Luxor » (in explication). En 1831, le vice-roi d'Égypte, Méhémet Ali, offrit à la France les deux obélisques qui marquent alors l'entrée du Temple de Louxor à Thèbes. Seul le premier d'entre eux fut transporté vers la France et arriva à Paris le 21 décembre 1833. La pl. se saisit de cette actualité pour créer l’image d’un obélisque revu et corrigé à la lumière du contexte politique de l’époque. Il s’agit du nez de d’Argout qui est pris pour cible et qui constitue l’obélisque. Le reste du visage du ministre constitue la base du monument, lequel porte à son faîte une petite poire à figure humaine. Il est gravé de hiéroglyphes, lesquels « résumeraient les faits principaux du régime-citoyen » (in explication) de ht en bas : un essaim de petites poires en chérubins, un coq gaulois, une poignée de mains surmontant une inscription illisible en partie (sont seulement lisibles les 3e et 4e lignes : « PONT D’ARCOLE » // « ETAT DE SIEGE »), une représentation de la chambre des députés surmontée d’une inscription (« CHAMBRE [ ?] »), une forteresse entourée de l’inscription « PAIX A TOUT PRIX » et deux canons se faisant face autour d’un tas de boulets de canons, censés évoquer les emprisonnement (« EMBASTILLEMENT »). Plus bas, une représentation de la charte en deux volets, entourée du visage de Louis-Philippe en poire et de Marie-Amélie. Puis suivent deux petits pistolets « philantropes [philanthropes] » (in explication), un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore. Une seringue à clystère et un parapluie entrecroisés, deux sacs d’écus, une clé, des insignes de la légion d’honneur, des sergents de ville, et enfin deux hommes portant la main sur le sommet d’une poire portée par des canards. « On sait que dans la langue hiéroglyphique, la poire est le symbole de l’astuce, et le canard celui de la duperie » (in explication). Le monument est entouré d’une barrière dont les pilones sont en forme de sacs d’argent. L’obélisque rassemble ainsi une grande partie des symboles satiriques rencontrés dans "La Caricature" afin de dénoncer les travers du régime de Juillet.Personne / Personnage représenté:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Françaisportrait charge, Louis-Philippe, ministre, obélisque Description: Obélisque faisant office de nez à un visage. Référence à l'obélisque de Louxor érigé sur la place de la Concorde en 1836 sous la Monarchie de Juillet. Au sommet de l'obélisque, le pyramidon doré est remplacé par une tête en forme de poire, caricature de Louis-Philippe. Fait référence à Victor de Persigny
L'Automobiliste. 1976. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 629.2-Automobile
"Sommaire : ""Hotchkiss"" la marque ""aux canons"" - Celles du ""Juste milieu"" : AM et AM-2 - Les ""Delage"" D-8S - Les origines des mascottes de radiateur - Pour garnir vos vitrines - etc. Classification Dewey : 629.2-Automobile"