‎SARKOZY NICOLAS‎
‎Témoignage‎

‎XO 2006 248 pages 14x21x2cm. 2006. Broché. 248 pages.‎

Reference : 500181770
ISBN : 9782845632875


‎Bon état‎

€3.00 (€3.00 )
Bookseller's contact details

Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot

contact@demons-et-merveilles.com

07 54 32 44 40

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Transfer
Others
Sale conditions

Rapidité d'envoi Tous nos articles sont expédiés le jour même de la confirmation de la commande Soin de l'emballage Un soin particulier est apporté à l'emballage, vos objets voyagent en toute sécurité. A votre écoute Si toutefois un incident devait survenir lors de l'acheminement de votre paquet, n'hésitez pas à nous contacter, nous mettrons tout en oeuvre pour vous satisfaire, en vous proposant un retour, un remboursement ou toute autre soluton à votre convenance. Professionnalisme Les livres que nous vendons sont pour la plupart des livres anciens, nous tâchons d'être le plus objectif possible quant à leur état.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎SECONDE GUERRE MONDIALE ]‎

Reference : 184374

(1980)

‎Témoignage Chrétien. 1941-1944. Tome II‎

‎ Témoignage Chrétien Témoignage Chrétien 1980, In-8 broché, 285 pages. Bon état.‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

Phone number : 05 65 42 95 21

EUR13.00 (€13.00 )

‎VERNET, Joseph.‎

Reference : LCS-18548

‎Collection des vues des ports de mer en France… Témoignage pittoresque de la vie portuaire en France au temps de la marine à voile.‎

‎Réunion très rare de l’ensemble des gravures des vues et ports de France, de Joseph Vernet, dans leur superbe tirage d’origine. Paris, J. P. Le Bas, [1760-1778]. In-plano oblong de (2) ff., 16 planches, reliure du temps à dos de veau fauve marbré orné de faux nerfs et de motifs dorés, cartouche de maroquin rouge avec dentelle en encadrement et titre dorés au centre des plats, non rogné. Reliure de l’époque. 800 x 550 mm.‎


‎[video width="996" height="1920" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/07/VERNET-bis.mp4"][/video] Superbe suite des 16 vues des ports d’après Joseph Vernet finement gravées par Charles-Nicolas Cochin et Jacques-Philippe Le Bas. L’exemplaire comporte les deux planches supplémentaires - la dernière (Le Havre) d’après Cochin - terminées à l’eau-forte par P. Martini. Joseph Vernet n’a pas peint de tableau représentant le port et la ville du Havre. La planche n°16, jointe à la série des gravures reproduisant les peintures de Joseph Vernet, a été dessinée par C. N. Cochin et gravée par J. Ph. Le Bas. Vernet reçut du marquis de Marigny, directeur général des bâtiments du roi et frère de la marquise de Pompadour, une commande de Louis XV pour la représentation des principaux ports de France, tâche à laquelle il s’attela en 1753. Après avoir peint Marseille et le golfe de Bandol, il partit pour Toulon, puis Antibes et Sète. De Bordeaux, où il reçut un accueil très brillant, il redescendit à Bayonne puis remonta vers La Rochelle et Rochefort. Installé à Paris en 1763, il se rendit à Dieppe, dernier port qu’il représenta. Nicolas Ozanne accompagna Joseph Vernet pendant une partie de son voyage. La commande royale concernait vingt ports, mais Vernet n’en peignit que neuf, plus la baie de Bandol, de 1753 à 1765, donnant lieu à quinze tableaux. La guerre de Sept Ans et les difficultés financières qui en découlaient suspendirent ses travaux. Liste des seize planches: Planche N°1. Le port neuf ou l’Arsenal de Toulon, vu de l’angle du parc de l’artillerie - peinture de 1755 - gravure de 1760. Planche N°2. L’intérieur du port de Marseille, vu du Pavillon de l’horloge du Parc - peinture de 1754 - gravure de 1760. Planche N°3. La Madrague ou la Pêche du Thon, vue du golfe de Bandol - peinture de 1754 - gravure de 1760. Planche N°4. L’entrée du Port de Marseille, vue de la Montagne appelée Tête de More - Peinture de 1754 - gravure de 1760. Planche N°5. Le Port vieux de Toulon, vu du côté des Magasins aux Vivres - peinture de 1756 - gravure de 1762. Planche N°6. La Ville et la Rade de Toulon vues à mi-côte de la montagne qui est derrière - peinture 1755 - gravure 1762. Planche n°7. Le Port d’Antibes en Provence, vu du côté de la Terre - peinture de 1756 - gravure de 1762. Planche N°8. Le Port de Cette en Languedoc, vu du côté de la mer, derrière la jettée isolée - peinture 1756-57 - gravure 1762. Planche N°9. Vue de la Ville et du Port de Bordeaux, prise du Côté des Salinières - peinture 1757-59 - gravure 1764. Planche N°10. Vue de la Ville et du Port de Bordeaux, prise du Château Trompette - peinture 1757-59 - gravure 1764. Planche N°11. Vue de la Ville et du Port de Bayonne, prise à mi-côte sur le Glacis de la Citadelle - Peinture de 1759-61 - gravure de 1764. Planche N°12. Vue de la Ville et du Port de Bayonne, prise de l’allée de Bouflers, près de la Porte de Mousserole - peinture de 1759-61 - gravure de 1764. Planche N°13. Le Port de Rochefort vu du Magasin des Colonies - peinture de 1761-62 - gravure de 1767. Planche N°14. Le Port de La Rochelle, vu de la petite Rive - peinture de 1761-62 - gravure de 1767. Planche N°15. Vue du Port de Dieppe - peinture 1763-65 - gravure de 1778. Planche N°16. Le Port et la Ville du Havre, vus du pied de la Tour de François premier, 1776. Les ordres du roi étaient clairs: «vos tableaux doivent réunir deux mérites, celui de la beauté pittoresque et celui de la ressemblance, autant que son intention: voir les ports du royaume représentés au naturel dans vos tableaux». A Toulon: le quai aux vivres est une véritable exposition de ce que l’on pouvait trouver à bord en matière de sacs, de jarres, de corbeilles, de paniers, de bouteilles et de futailles. Le vin, la viande salée, les fromages dont on voit des meules que l’on roule, les légumes secs, les épices, le bétail sur pied sont embarqués sur l’allège à quai qui chargera les munitions à bord d’un vaisseau en partance. A Marseille: sur le quai du vieil arsenal, au fond du port, s’active une foule animée et colorée de femmes et d’hommes du peuple auxquels se mêlent gentilshommes, femmes de qualité et religieux. Des levantiers, Turcs ou Barbaresques enturbannés arpentent aussi les quais. L’entrée du port est animée de multiples embarcations, canots, allèges, bateaux pêcheurs, tartanes. A Bordeaux, sur le quai des Salinières, nous voyons des jésuites, d’élégantes jeunes femmes en robes à panier, mais aussi des boulangers et un garçon vacher; un précieux tilbury lancé à vive allure contrastant avec un attelage de bœufs traînant un lourd charroi de tonneaux. Sur le fleuve, des bateaux de commerce viennent charger le vin contenu dans les tonneaux alignés sur le quai. A Rochefort, nous voici sur le quai aux vivres: les tonneaux de vin de Bordeaux, les chaudrons, les marmites sont destinés à l’approvisionnement des vaisseaux, de même que les bestiaux qui paissent dans la prairie. Les paquets de toiles à voiles et les gros écheveaux de chanvre vont alimenter les ateliers de l’arsenal dont la magnifique corderie qui s’étend sur la droite. A La Rochelle, au milieu des ballots, des panières, des fûts, des bois, des ancres, des femmes et des hommes travaillent, se reposent ou discutent, en un mot vivent sous nos yeux une attitude, un geste, un regard nous les rendent plus proches que de longs discours sur la société du XVIIIe siècle. Alors que bien souvent Vernet prend de grandes libertés face aux demandes très précises du roi pour le choix des sites ou du point de vue d’où il les dépeint, il répond pleinement à ses vœux en décrivant partout des scènes de la vie quotidienne: devant nos yeux vit tout un peuple au naturel. Témoignage pittoresque de la vie portuaire en France au temps de la marine à voile et de la douceur de vivre sous le règne de Louis XV le bien-aimé. Réunion très rare de l’ensemble des gravures des vues et ports de France, de Joseph Vernet, dans leur superbe tirage d’origine. Avec Joseph Vernet et sa descendance directe s'affirme une dernière fois la continuité de cette école d'Avignon qui, depuis le XIVe siècle, n'a cessé de se manifester par des artistes de talents et de caractères forts différents mais unis par d'indiscutables affinités. On peut faire remonter l'origine de cette école à l'époque où Bertrand de Goth, archevêque de Bordeaux, devenu pape sous le nom de Clément V, transporta la cour pontificale à Avignon. Dans cette «petite ville paisible, dont le charme ne pouvait leur échapper, les papes firent éclore un puissant foyer artistique, dont l'éclat devait se prolonger jusqu'au XIXe siècle. À Avignon, qui garde intacts tant de vestiges de son destin exceptionnel, le jeune Joseph Vernet pouvait à chaque pas rencontrer des monuments susceptibles de lui donner un avant-goût de la ville unique qui devait plus tard le révéler à lui-même. Face au Palais des Papes s'élève cet Hôtel de la Monnaie, construit par un cardinal Borghèse, légat du Pape, et qui porte sur sa façade le dragon et l'aigle, armes de la famille, enfin la colline des Dons, où la vue est si belle sur le Rhône et sur Villeneuve est une réduction de ces jardins du Pincio, qui forment avec la Villa Médicis l'un des plus beaux lieux de Rome et du monde. Cet appel de l'Italie, Joseph Vernet le ressentit de bonne heure, et son père, Antoine Vernet, fut assez heureux pour intéresser aux dons brillants du jeune peintre plusieurs nobles personnages de la ville, en particulier le marquis de Caumont et le comte de Quinson, qui lui ouvrirent leur bourse et lui permirent de partir pour Rome, qui offrait à cette époque aux artistes des ressources incomparables. Mais au cours de ce voyage pour rejoindre la Ville éternelle, dont la première étape le conduisit à Marseille, Joseph Vernet devait faire une rencontre capitale : celle de la mer ; en effet des hauteurs qui dominent la ville elle lui apparut pour la première fois dans toute sa beauté ; ce fut le coup de foudre, et lorsque quelques jours plus tard, après une tempête spectaculaire, Vernet arrive à Civita-Vecchia, son destin est fixé : il deviendra le peintre de la mer qui, désormais, sera présente dans presque toutes ses œuvres. La vie que mène à Rome le jeune artiste est des plus agréables ; il y a été fort bien accueilli et s'y est fait rapidement une clientèle avide de tempêtes et de naufrages. Les livres de raison de Vernet nous donnent sur ses travaux des renseignements précis : en 1743 il est reçu membre de l'Académie de Saint Luc, honneur assez rare pour un étranger, la mer l'attire de plus en plus, c'est avec joie qu'il se rend en pèlerinage à Naples, où le maître qu'il admire tant, Salvator Rosa, trouva la source principale de son inspiration. Cependant à Rome la popularité de Vernet croît de jour en jour ; sa clientèle devient européenne. En Italie, Joseph a trouvé la fortune, la gloire et l'amour ; aussi n'est-il pas pressé de quitter un pays qui l'a si bien reçu. Pourtant, sollicité par ses protecteurs français, il se décide à rentrer définitivement dans son pays, mais il retourne en Italie à plusieurs reprises et ce n'est qu'en 1753 qu'il se fixe en France pour toujours. Grâce au haut patronage de M. de Marigny, directeur suprême des Beaux-Arts et frère de Mme de Pompadour, qui avait à ce moment toute la faveur de Louis XV, Vernet obtint du roi une commande où il devait donner toute la mesure de son talent : Les Ports de France. La mer qui l'inspira si souvent dans ses œuvres antérieures va lui fournir encore un thème important, mais elle ne sera cette fois que le complément de ses compositions ; pour un moment il va cesser de peindre des tempêtes, des orages et des coups de vent. Ces ports de France seront des paysages où la vérité et la fantaisie se mêlent agréablement, témoin ce Port de Marseille lumineux et doré comme un Claude Gellée, qui nous montre au premier plan un groupe réuni pour un goûter en plein air, un autre pour un bal ; les robes et les ombrelles des femmes animent ce paysage aux lignes si nobles et lui donnent un air de fête familiale. Même procédé dans la Vue de la Ville et de la Rade de Toulon, où nous voyons à mi‑hauteur des collines qui dominent la rade, s'activer sur une terrasse monumentale, des cavaliers, des chasseurs, des joueurs de boules et des dames en grande toilette. Cette volonté d'humanisation du paysage se retrouve dans presque toutes les œuvres de J. Vernet, même dans celles où elle pourrait paraître artificielle; dans les tempêtes, les naufrages, les orages, nous verrons toujours l'homme opposer à la force aveugle des éléments son courage, son ingéniosité ou son désespoir. Cette introduction du drame humain au milieu des aspects pittoresques d'une nature hostile, c'est là la véritable originalité de Joseph Vernet. «C'est un grand magicien, que ce Vernet, écrit Diderot, on croirait qu'il commence par créer un pays et qu'il a des hommes, des femmes, des enfants en réserve, dont il peuple sa toile comme on peuple une colonie, puis il leur fait le ciel, le temps, la saison, le bonheur, le malheur qu'il lui plaît ». La production de J. Vernet est considérable et ses contemporains raffolèrent de lui. Dans cette œuvre consacrée presque exclusivement à la mer, aux tempêtes, et aux orages, on peut distinguer au moins deux périodes, une période romaine profondément marquée par les peintres napolitains, Salvator Rosa et Solimena, qu'il admirait sans réserve ; il leur doit ce sentiment dramatique de la nature et cette largeur de facture qu'il manifesta dès ses premières œuvres. À son retour en France, son art s'humanise et s'enrichit de détails savoureux qui, loin d'en altérer le caractère, lui confèrent une grande part de son charme. Certes, J. Vernet a entendu le message de Poussin et de Claude Gellée, mais au sublime de l'un et au mystère de l'autre, il a substitué un pathétique humain et familier, et s'il n'atteint pas leur grandeur, il garde avec son siècle un contact plus étroit et une audience plus large en lui tenant un langage plus accessible. Après les fêtes galantes de Watteau et les Bergeries de Boucher, la nature telle que la conçoit Vernet et si apprêtée qu'elle nous paraisse, est une nature vraie et non un décor d'opéra. Si Vernet eut une influence manifeste sur le goût de son temps, il est plus difficile de percevoir son passage dans la peinture moderne. Pourtant bien des œuvres qui nous ravissent toujours portent sa marque indiscutable ; comment ne pas penser à lui devant les Ruines et les Cascades d'Hubert Robert et plus près de nous, comment oublier le Ponte Rotlo en admirant les Corot d'Italie ? Heureusement la postérité si sévère envers les gloires récentes en apparence les plus solides et qu'elle précipite si volontiers en enfer ou en purgatoire, révise tôt ou tard ses jugements les plus définitifs ; et tandis que les grandes batailles d'Horace Vernet ne font plus recette, la gloire du grand peintre des Ports de France, si aimable et si française nous apparaît toujours aussi pure et aussi justifiée.» J. Dupuy. Très bel exemplaire à grandes marges relié en demi-veau fauve.‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR45,000.00 (€45,000.00 )

‎JOINVILLE, Jehan Sire de.‎

Reference : LCS-18437

‎Histoire de Saint Louis. Les Annales de son règne, par Guillaume de Nangis. Sa vie et ses miracles, par le Confesseur de la Reine Marguerite. Le tout publié d’après les Manuscrits de la Bibliothèque du Roi, & accompagné d’un Glossaire. Edition originale sortie des presses de l’Imprimerie royale du « premier exemple de littérature de témoignage ».‎

‎L’exemplaire relié à l’époque aux armes et chiffre du roi Louis XV. Paris, Imprimerie Royale, 1761. In-folio, 1 f. de titre, XXII-558 pages, clvvviii pages, 2 cartes dépliantes. Plein veau fauve marbré, triple filet doré autour des plats, armoiries du roi Louis XV frappé or sur les plats, dos à nerfs orné du chiffre royal couronné répété cinq fois par caisson, d’étoiles et de fleurs de lys, coupes décorées, roulette intérieure, tranches marbrées. Reliure royale de l’époque. 400 x 253 mm. ‎


‎Edition originale basée sur un manuscrit de Joinville acquis par le roi Louis XV, et provenant de la bibliothèque enlevée à Bruxelles par Maurice de Saxe. Elle donne le texte original de Joinville avec un minimum d'altérations. La langue a conservé toute sa robuste naïveté. Cette édition, imprimée sur papier vergé, est illustrée d'un fleuron sur le titre, gravé par Lemire, de 3 vignettes par Eisen et Gravelot, de 3 culs-de-lampe de Gravelot, gravés par Lemire et Sornique, de 3 lettres gravées et de 2 cartes dépliantes par d'Anville. Jean de Joinville (1224-1317), écuyer tranchant du comte de Champagne, sénéchal de Champagne, croisé en 1248 à la suite de Louis IX, participa à la prise de Damiette (1249) et à la bataille de Mansourah (1250) ; fait prisonnier avec le roi, malade, libéré et rapatrié à Saint-Jean-D'acre (1250), il prolongea son séjour en Terre Sainte avec Louis IX (1251-1254) qui le prit à son service et dont il devint le confident, l'admirateur et le conseiller. Ses "Mémoires" furent composés entre le 1er novembre 1305 et le 30 avril 1306, à la demande de la reine Jeanne de Navarre. Le récit commence peu de temps avant la septième croisade pour s'achever seize ans après, l'expédition proprement dite occupant les deux tiers de l'ouvrage. Ce livre d'histoire et de littérature documentaire, qui relate, avec le talent d'un peintre, ce que Joinville connaît par expérience personnelle, est aussi un ouvrage d'édification à desseins didactiques. Louis IX incarne en effet les valeurs du bon chrétien, du roi fort et juste, du chevalier preux et courtois ; il illustre un modèle à méditer, en donnant un certain nombre de leçons, dont la principale, à l'adresse des princes, consiste à mériter sa supériorité sociale. Le premier exemple de littérature de témoignage : cet ouvrage, qui fait revivre l'homme autant que le roi et le saint, est l'œuvre d'un témoin oculaire qui finit par écrire son autobiographie ; Joinville s'est mis lui-même dans son récit où il se détache en pleine lumière. (« Belle édition », Brunet, III-556-557 - Jean Dufournet, "En Français dans le texte", n°24 - Hauser, "Les Sources de l'histoire de France", III, 2537 - Quérard, "La France littéraire", IV, 230 - Cohen, 518-519 - Tchemerzine, III, 779). Fort bel exemplaire conservé dans sa reliure aux armes et chiffres royaux de l’époque.‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR4,500.00 (€4,500.00 )

‎[TEMOIGNAGE] VOLLERIN Alain‎

Reference : PEINTLYON611150620324

(2001)

ISBN : 9782912544162

‎Le groupe Témoignage de Lyon‎

‎Lyon, Editions Mémoire des Arts, "Groupes et mouvements", 2001, 21,5 x 21,5, 116 pages cousues sous couverture rempliée illustrée. Iconographie noir & blanc et couleurs. BILINGUE français-anglais. "Le galeriste et poète Marcel Michaud fut un passeur d'idées qui joua un rôle clef pour la reconnaissance de notre patrimoine artistique en Rhône-Alpes et à Paris. Ecoutons le définir l'état d'esprit de ses amis du Groupe Témoignage de Lyon : "Tous ces artistes pensaient qu'après les révolutions et les apports impressionnistes, cubistes et surréalistes, on ne pouvait plus revenir uniquement à la peinture de chevalet, de divertissement pictural et sensuel, mais qu'on devait s'efforcer de retrouver le mur, la collaboration avec l'architecture et s'élever, comme au Moyen Age, au Sacré et au Social. Pour cette raison, plusieurs de ces artistes reprirent les métiers d'art qui correspondent à l'exigence du mur : fresques, vitraux, tapisseries, et ils furent les premiers à le faire". Il faut retenir du Groupe Témoignage de Lyon la force de l'idéal d'une jeunesse en complet décalage avec une ville de province engoncée dans ses brouillards. Si elle ne parvint jamais à combler l'immense espace entre sa province originelle et Paris, miroir de ses vastes espérances, elle fit une trajectoire qui donna de l'ampleur à ce mouvement né entre Rhône et Saône. La passion avec laquelle, à Paris, comme à Lyon, ces jeunes talents affrontèrent leur époque, ses propositions et ses contradictions, restera exemplaire pour les générations à venir."‎


‎Très bon état.‎

Phone number : 04 78 58 44 04

EUR25.00 (€25.00 )

‎[Battle of the Little Bighorn, Bataille de Little Bighorn, Felice Orsini, Attentat contre Napoléon III en 1858, Charles Camillo De Rudio], Recueil de 9 autographes des 4 protagonistes dont Charles DeRudio qui devint officier lors de la fameuse bataille de Little Bighorn le 25 juin 1860, y survécut et dont le témoignage fut publié dès le 30 juin 1860.‎

Reference : 010941

‎[Battle of the Little Bighorn, Bataille de Little Bighorn, Felice Orsini, Attentat contre Napoléon III en 1858, Charles Camillo De Rudio], Recueil de 9 autographes des 4 protagonistes dont Charles DeRudio qui devint officier lors de la fameuse bataille de Little Bighorn le 25 juin 1860, y survécut et dont le témoignage fut publié dès le 30 juin 1860.‎

‎[Battle of the Little Bighorn, Bataille de Little Bighorn, Felice Orsini, Attentat contre Napoléon III en 1858, Charles Camillo De Rudio], Recueil de 9 autographes des 4 protagonistes dont Charles DeRudio qui devint officier lors de la fameuse bataille de Little Bighorn le 25 juin 1860, y survécut et dont le témoignage fut publié dès le 30 juin 1860. Reliés dans un volume in-8 avec une brochure du docteur Rougean, L'Attentat d'Orsini - étude de psychi-pathologie historique (Paris, Le François, 1934). L'attentat eut lieu le 14 janvier 1858. Felice Orsini (1819-1858), G Pieri (1808-1858), Charles de Rudio (1832-1910) & Antoine (Antonio) Gomez (né en 1825). Les trois premiers furent condamnés à mort le 26 février 1858 et Gomez aux travaux forcés à perpétuité. La peine de Rudio fut commuée en travaux forcés elle-aussi et il s'évada peu après alors qu'Orsini et Pieri furent exécutés le 13 mars 1858. Si on perd la trace de Gomez (probablement mort au bagne), Rudio arriva à Londres puis émigra à New-York. Il s'engagea dans l'armée et fait partie des survivants de la fameuse bataille de Little Bighorn (25 juin 1860). Son témoignage a été publié dès le 30 juin dans New York Herald. On compte ainsi : -2 autographes d'Orsini : une feuille de comptes et une L.A.S. à « M. Leveille, directeur de la conciergerie », en réalité Jean-François Lebel, datée du 2 mars 1858. -3 autographes de Pieri : une L.A.S., probablement jamais arrivée, au procureur général pour solliciter un rendez-vous, datée du 22 février 1858, et 2 reçus A.S. datés des 12 et 13 février 1858. -2 autographes de Gomez : 2 reçus A.S. datés des 9 février et 1er mars 1858. -2 autographes de Rudio : 2 reçus A.S. datés des 12 et 13 février 1858. Reliure demi-chagrin. Exceptionnel ensemble, extraordinaire même par la réunion des 4 protagonistes de l'attentat et par la présence même d'autographe d'un des protagonistes de Little Bighorn, évènement d'une importance capitale dans l'histoire des USA. ‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : +33 6 30 94 80 72

EUR8,000.00 (€8,000.00 )
Free shipping
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !