Presses de la Cité 1971 1971.
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Presses de la Cité, 1971, fort in-8°, 479 pp, 32 pl. de photos et documents hors texte, 23 cartes, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Tome II seul (sur 4). — "L’Indochine française, soumise de février 1940 à août 1945 à l’occupation japonaise, connaît, dès septembre 1945, la période chinoise, l’installation du Viêt-minh, puis la « convention préliminaire » signée à Hanoi le 6 mars 1946 et la demi-rupture à la conférence de Fontainebleau au mois de septembre de la même année. Le premier livre de mes mémoires relate cette époque jusqu’au départ de France de Hô Chi Minh pour rejoindre son pays. Le président est rentré chez lui ; des incidents où nous déplorons des morts se produisent au Tonkin et en Cochinchine. Je demeure sans commandement mais ne puis me désintéresser de ce qui se passe là-bas, et c’est malheureusement inactif que je suis les événements. Des camarades, à leur retour, m’informent. Je rencontre à Paris, venu en mission, le colonel Trocard, chef du 2ème bureau du commandant supérieur des forces françaises d’Extrême-Orient, ancien officier du service de renseignement inter-colonial que je dirigeais en 1937-1939. – C’est une guerre qui s’annonce, lui dis-je, prenez vos dispositions... Trocard sera tué quelques semaines plus tard. Mon vieux camarade, le général Valluy, dans ses lettres, me fait part de ses craintes. Le général Leclerc me demande souvent d’aller le voir à l’hôtel Continental où réside son état-major. Il me dit combien il se désespère de n’avoir pas été écouté. Puis le 19 décembre 1946, c’est l’attaque soudaine de Hanoi par le Viêt-minh. Des semaines difficiles commencent. Bien que je n’en ai pas été le témoin direct, je les décris en me basant sur les documents que j’ai recueillis. Le début de l’année 1947 passe. Valluy me demande de revenir pour mener une offensive contre les forces Viêt-minh, dont le gros s’est replié en haute région dans le Cao-Bac-Lang (provinces de Cao-Bang, Bac Kan, Langson ) que je connais bien. J’accepte et en mai je repars. Désormais, il faudra se battre... les combats menés par les forces françaises se termineront par la signature des accords de Genève le 22 juillet 1954. Je quitte Saigon le 9 octobre suivant. Nous avions perdu l’Indochine, le plus beau fleuron de l’Empire Français. C’est la période qui va d’octobre 1946 à octobre 1954 que je décris dans ce tome de mes mémoires. A la fin de cet ouvrage, en quelques pages, je donne mon sentiment sur la phase actuelle de la guerre et sur la situation présente du Viêt-nam... cette guerre qui dure toujours. Elle avait commencé le 19 décembre 1946, il y a un quart de siècle. La prédiction d’Hô Chi Minh : « Nous irons vers une guerre de cent ans... » Va-t-elle se réaliser ?" — "... Le général Salan ne devait pas cesser, ensuite, d'être impliqué dans le conflit ; aux plus hautes responsabilités, puisqu'il fut l'adjoint du général de Lattre et exerça le commandement en chef par intérim à deux reprises, notamment de novembre 1951 à mars 1953 ; et jusqu'à la fin, puisqu'il retourna en Indochine en juin 1954, comme adjoint du général Ely, diriger les opérations d'évacuation du Nord. Ses souvenirs intéressent avant tout l'histoire militaire proprement dite et composent une chronique vivante des activités du haut et des principales opérations. (...) En dehors même de son intérêt pour l'histoire militaire, ce volume de Mémoires, témoignage « de l'intérieur » sur la vision des hauts responsables français en Indochine, n'est pas à négliger." (Daniel Hémery, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1973)
Presses de la Cité, 1971, fort in-8°, 479 pp, 32 pl. de photos et documents hors texte, 23 cartes, cart. éditeur, sans la jaquette, bon état
Tome II seul (sur 4). — "L’Indochine française, soumise de février 1940 à août 1945 à l’occupation japonaise, connaît, dès septembre 1945, la période chinoise, l’installation du Viêt-minh, puis la « convention préliminaire » signée à Hanoi le 6 mars 1946 et la demi-rupture à la conférence de Fontainebleau au mois de septembre de la même année. Le premier livre de mes mémoires relate cette époque jusqu’au départ de France de Hô Chi Minh pour rejoindre son pays. Le président est rentré chez lui ; des incidents où nous déplorons des morts se produisent au Tonkin et en Cochinchine. Je demeure sans commandement mais ne puis me désintéresser de ce qui se passe là-bas, et c’est malheureusement inactif que je suis les événements. Des camarades, à leur retour, m’informent. Je rencontre à Paris, venu en mission, le colonel Trocard, chef du 2ème bureau du commandant supérieur des forces françaises d’Extrême-Orient, ancien officier du service de renseignement inter-colonial que je dirigeais en 1937-1939. – C’est une guerre qui s’annonce, lui dis-je, prenez vos dispositions... Trocard sera tué quelques semaines plus tard. Mon vieux camarade, le général Valluy, dans ses lettres, me fait part de ses craintes. Le général Leclerc me demande souvent d’aller le voir à l’hôtel Continental où réside son état-major. Il me dit combien il se désespère de n’avoir pas été écouté. Puis le 19 décembre 1946, c’est l’attaque soudaine de Hanoi par le Viêt-minh. Des semaines difficiles commencent. Bien que je n’en ai pas été le témoin direct, je les décris en me basant sur les documents que j’ai recueillis. Le début de l’année 1947 passe. Valluy me demande de revenir pour mener une offensive contre les forces Viêt-minh, dont le gros s’est replié en haute région dans le Cao-Bac-Lang (provinces de Cao-Bang, Bac Kan, Langson ) que je connais bien. J’accepte et en mai je repars. Désormais, il faudra se battre... les combats menés par les forces françaises se termineront par la signature des accords de Genève le 22 juillet 1954. Je quitte Saigon le 9 octobre suivant. Nous avions perdu l’Indochine, le plus beau fleuron de l’Empire Français. C’est la période qui va d’octobre 1946 à octobre 1954 que je décris dans ce tome de mes mémoires. A la fin de cet ouvrage, en quelques pages, je donne mon sentiment sur la phase actuelle de la guerre et sur la situation présente du Viêt-nam... cette guerre qui dure toujours. Elle avait commencé le 19 décembre 1946, il y a un quart de siècle. La prédiction d’Hô Chi Minh : « Nous irons vers une guerre de cent ans... » Va-t-elle se réaliser ?" — "... Le général Salan ne devait pas cesser, ensuite, d'être impliqué dans le conflit ; aux plus hautes responsabilités, puisqu'il fut l'adjoint du général de Lattre et exerça le commandement en chef par intérim à deux reprises, notamment de novembre 1951 à mars 1953 ; et jusqu'à la fin, puisqu'il retourna en Indochine en juin 1954, comme adjoint du général Ely, diriger les opérations d'évacuation du Nord. Ses souvenirs intéressent avant tout l'histoire militaire proprement dite et composent une chronique vivante des activités du haut et des principales opérations. (...) En dehors même de son intérêt pour l'histoire militaire, ce volume de Mémoires, témoignage « de l'intérieur » sur la vision des hauts responsables français en Indochine, n'est pas à négliger." (Daniel Hémery, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1973)
Presses de la Cité, 1972, fort in-8°, 445 pp, 48 pl. de photos et documents hors texte, 9 cartes, index, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Tome III seul (sur 4). — "Dans les deux premiers volumes de mes mémoires j’ai dit nos combats pour garder l’Indochine dans l’union française, et notre échec dû à l’incapacité et à l’incompréhension gouvernementales. J’ai fermé nos cimetières d’Hanoi... La lente dislocation de notre Empire commençait. J’en poursuis la triste histoire dans le présent livre qui a pour objet notre action en Algérie. Après avoir évoqué en détails et avec plusieurs documents inédits la sinistre affaire du bazooka, je donne de la bataille d’Alger, qui, aujourd’hui encore, passionne l’opinion, un tableau véridique et explicite. Je dis ensuite les efforts de nos soldats, « vieille garde d’Indochine », pleine d’amertume, et jeunes du contingent, pour ramener à nous les populations musulmanes. C’est pour eux une grande réussite. Malheureusement, beaucoup de ces jeunes hommes ne reviendront pas à leurs foyers, nombreux seront les mutilés, ou ceux marqués par la maladie. Et voilà qu’on leur refuse le titre de « combattant »... J’évoque enfin nos problèmes frontaliers qui me conduisirent à bombarder Sakiet Sidi Youssef, déterminant ainsi le gouvernement à faire appel aux « bons offices » de l’étranger. Cette décision, qui ulcère profondément les Français d’Algérie, est à la base de ce grand mouvement d’union nationale que fût le 13 mai 1958 et auquel je consacre la dernière partie de ce livre. J’y explique quelles circonstances m’amenèrent à prononcer le nom du général de Gaulle et dans quelles conditions celui-ci reçut l’investiture le 1er juin. Les pages finales de ce volume racontent par le menu le voyage du général en Algérie et comment il nous mit au cœur un espoir qui devait être déçu, lors de son discours de Mostaganem où retentit le cri célèbre : Vive l’Algérie française !"
PRESSES DE LA CITE. 1970. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 442 Pages - Quelques planches photos et cartes en noir et blanc - Contres plats et pages de gardes illustrés de cartes en noir et blanc. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 965-Algérie
Classification Dewey : 965-Algérie
PRESSES DE LA CITE. 1970-72. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 442 + 479 + 444 pages. Nombreuses photos en noir et blanc, hors textes. 3 jaquettes en bon état. Cartes en noir et blanc sur tous les contreplats. Titres, auteur, tomaisons et édition dorés aux dos.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires