Robert Laffont Sans date.
Reference : 500148440
Bon état
Démons et Merveilles
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Laffont, 1965, gr. in-8°, 389 pp, 16 pl. de photos hors texte, cartes, reliure toile éditeur, vignettes photographiques au 1er plat, rhodoïd, bon état (Coll. Ce Jour-là), envoi a.s.
« Coulez le Tirpitz ! ! » C’est l’ordre que donne Winston Churchill le 18 janvier 1942, à Londres. Dès lors, avec l’obstination qui caractérise les Anglais, l’Amirauté, la Royal Air Force, les services secrets vont allier leurs efforts pour détruire le plus grand, le plus puissant cuirassé ennemi à flot. Embusqué au fond des fjords norvégiens, presque impossible à atteindre, le mastodonte menace les convois chargés de matériel en route vers la Russie et immobilise à Scapa Flow une grande partie de la Home Fleet. En vain, la R.A.F., aussi bien que l’aviation maritime attaquent sans relâche le Tirpitz. De même va échouer de justesse l’audacieuse opération « Title » : traversée de l’Atlantique Nord par un cotre norvégien, l’Arthur, qui transporte jusqu’au fjord de Trondheim deux engins, sortes de torpilles montées chacune par des hommes grenouilles qui doivent fixer des mines sous la coque du Tirpitz. L’Amirauté étudie alors l’opération « Source ». Le 22 septembre 1943, le Tirpitz est attaqué au fond de l’Atltafjord – le Kaafjord – près du Cap Nord, par des sous-marins type X, de minuscules bâtiments avec quatre hommes d’équipage. Après avoir traversé l’Atlantique Nord dans des conditions dramatiques, remorqués par de grands sous-marins, ils ont franchi les filets et déposé d’énormes mines sous le cuirassé allemand. La surprise est totale, les dégâts importants et, pratiquement, c’est la mise hors combat, jusqu’à la fin de la guerre, du redoutable cuirassé allemand. Mais Churchill veut avoir la certitude que plus jamais le Tirpitz ne pourra reprendre la mer. Le 12 novembre 1944, à Tromsoe, c’est vraiment la fin : écrasé par les bombes de six tonnes de la R.A.F., le cuirassé se retourne avec 1800 hommes d’équipage...
Laffont, 1965, gr. in-8°, 389 pp, 16 pl. de photos hors texte, cartes, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Ce Jour-là)
« Coulez le Tirpitz ! ! » C’est l’ordre que donne Winston Churchill le 18 janvier 1942, à Londres. Dès lors, avec l’obstination qui caractérise les Anglais, l’Amirauté, la Royal Air Force, les services secrets vont allier leurs efforts pour détruire le plus grand, le plus puissant cuirassé ennemi à flot. Embusqué au fond des fjords norvégiens, presque impossible à atteindre, le mastodonte menace les convois chargés de matériel en route vers la Russie et immobilise à Scapa Flow une grande partie de la Home Fleet. En vain, la R.A.F., aussi bien que l’aviation maritime attaquent sans relâche le Tirpitz. De même va échouer de justesse l’audacieuse opération « Title » : traversée de l’Atlantique Nord par un cotre norvégien, l’Arthur, qui transporte jusqu’au fjord de Trondheim deux engins, sortes de torpilles montées chacune par des hommes grenouilles qui doivent fixer des mines sous la coque du Tirpitz. L’Amirauté étudie alors l’opération « Source ». Le 22 septembre 1943, le Tirpitz est attaqué au fond de l’Atltafjord – le Kaafjord – près du Cap Nord, par des sous-marins type X, de minuscules bâtiments avec quatre hommes d’équipage. Après avoir traversé l’Atlantique Nord dans des conditions dramatiques, remorqués par de grands sous-marins, ils ont franchi les filets et déposé d’énormes mines sous le cuirassé allemand. La surprise est totale, les dégâts importants et, pratiquement, c’est la mise hors combat, jusqu’à la fin de la guerre, du redoutable cuirassé allemand. Mais Churchill veut avoir la certitude que plus jamais le Tirpitz ne pourra reprendre la mer. Le 12 novembre 1944, à Tromsoe, c’est vraiment la fin : écrasé par les bombes de six tonnes de la R.A.F., le cuirassé se retourne avec 1800 hommes d’équipage...
Cercle du bibliophile 1970 in8. 1970. Relié.
Bon état. rousseurs sur la tranche
Paris, R. Laffont (« Ce jour là »), 1965. in-8°, 389 pages, ill. hors texte N&B, carte, -, append., broche, couverture illustree plast. à rabats.
Bel exemplaire. [CJL*]