‎Morin Edgar‎
‎Sociologie‎

‎INITIATION A LA SOCIOLOGIE DE L'ILLUSIONNISME SOCIAL‎

‎Format moyen, couverture souple.211 pages†.bon Ètat 1983 Èditions le Mascaret‎

‎OUTSIDERS. …tudes de sociologie de la dÈviance‎

‎Format moyen, couverture souple.247 pages. Inscriptions sur la premiËre page, pour le reste en bon Ètat 1985 Metailie‎

‎SOCIOLOGIE DES RELATIONS RACIALES‎

‎format moyen, couverture souple. 437 pages. Bon Ètat. Une expÈdition par Mondial Relay pourra vous Ítre proposÈe 1967 Payot‎

‎La Cité Humaine - Esquisse d'une sociologie dialectique - 2 tomes (complet) - Tome 1. Histoire des systèmes sociologiques - Tome 2. Cinématique, statique et dynamique sociales , dans les Cahiers de Synthèse Dialectique‎

‎Librairie Philosophique J. Vrin , Cahiers de Synthèse Dialectique Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1927 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bordeaux In-8 2 vol. - 694 pages‎

‎ 1ere édition, 1927 Contents, Chapitres : Tome 1. Avant-propos, xii, Texte, 313 pages - Tome 2, 369 pages - Tome 1. - La phylogenèse sociologique : Introduction : Le phénomène sociologique, Auguste Comte et Platon - 1. La cité divine : Période orientale (La sociologie sémitique - La sociologie hindoue - La sociologie iranienne) - Période gréco-romaine (Sociologie platonicienne - Sociologie aristotélicienne - Sociologie stoïcienne) - Période chrétienne (Pouvoir spirituel de l'Eglise, Saint Augustin - Pouvoir temporel du sacerdoce, Les Décrétales - La conciliation du sacerdoce et de l'empire, Saint Thomas d'Aquin - 2. La cité naturelle : La phase morale (Sociologie de Hobbes - Sociologie de Montesquieu - Sociologie de Rousseau) - La phase économique (Sociologie d'Adam Smith - Sociologie de Condorcet - Sociologie de Hegel) - La phase politique (Sociologie d'Auguste Comte - Sociologie de Karl Marx - Sociologie de Durkheim) - 3. La cité humaine - Tome 2. L'ontogenèse sociologie - Introduction : Les trois branches de la sociologie dialectique, cinématique, statique et dynamique sociales - 1. La cinématique sociale : Nature des mouvements sociaux - Siège des mouvements sociaux - Nature de l'organisme social) - 2. La statique sociale : Les valeurs éthiques (Institutions religieuses - Institutions juridiques - Les institutions morales) - Les valeurs économiques (La production des richesses - La répartition des richesses - La circulation des richesses) - Les valeurs politiques (Institutions domestiques - Institutions professionnelles - Institutions gouvernementales) - 3. La dynamique sociale : Dynamique du mouvement (Les influences civilisatrices - Le providentialisme historique - Le géographisme historique - L'humanisme historique) - Dynamique de l'espace (Peuplement de la Terre - Les peuples et la psychologie collective - Les races et l'anthropologie - Les nations et l'ethnologie) - Dynamique du temps (Le devenir des civilisations - L'antéhistoire - La préhistoire - L'histoire) - Conclusion "bon ensemble complet en 2 tomes homogènes de la 1ere édition de 1927, infimes traces de pliures sur les bords des plats qui sont un peu effrangés sans aucune gravité, dos brunis, intérieur sinon frais et propre, imprimé sur papier de qualité, cela reste un bel exemplaire de ce vaste panorama de la sociologie - couvertures pliées, froissées, souillées; soulignages crayon"‎

‎Traité de sociologie.‎

‎ PUF, 1962-1963, 2 vol. gr. in-8°, 514 et 466 pp, seconde édition corrigée, reliures toile décorées de l'éditeur, jaquettes illustrées (lég. frottées), bon état‎

‎Tome 1 : Introduction. Problèmes de sociologie générale. Problèmes de morphologie sociale. Problèmes de sociologie économique. Problèmes de sociologie industrielle - Tome 2 : Problèmes de sociologie politique. Sociologie des oeuvres de civilisations. Problèmes de psychologie collective et de psychologie sociale. Problèmes de rapport entre sociétés dites archaïques et sociétés historiques. — "Le premier tome du Traité de sociologie dirigé par G. Gurvitch se partageait à peu près exactement par moitié entre les problèmes généraux de la sociologie et de ses rapports avec les sciences connexes d'une part, l'étude de certaines branches de la sociologie, d'autre part : morphologie sociale, sociologie économique, sociologie industrielle. Le deuxième volume est tout entier consacré aux problèmes spéciaux. On peut même dire que c'est à travers ce deuxième volume que se déploie la variété des secteurs sociologiques et aussi – il faut bien le dire – leur hétérogénéité. En effet, fidèle au principe énoncé dès les premières pages, le Traité ne fait pas œuvre systématique a priori. Pour chaque branche de la discipline sociologique, les questions sont posées telles qu'elles se présentent aux spécialistes. D'où une diversité non réduite par une toise commune, d'où l'absence de ces fausses fenêtres que présentent trop souvent les manuels, d'où enfin, et c'est fatal, des lacunes et des discordances. La sociologie politique formait un bloc où pouvait s'articuler l'étude sociologique des régimes et des partis (M. Duverger) et la « Sociologie électorale» (F. Goguel et G. Dupeux). Ce dernier marque la différence d'orientation entre les études françaises, prenant les élections dans leurs dimensions historico-géographiques, et les études anglo-saxonnes, visant davantage l'analyse des facteurs déterminants. Puis viennent les multiples domaines où la vie sociale marque de quelque façon son empreinte, « Œuvres de civilisation », tel est le titre commun sous lequel se trouvent rangées des matières apparemment aussi diverses que la religion (G. Le Bras), la connaissance, la vie morale, le droit (G. Gurvitch) et le crime (H. Lévy-Bruhl) ; l'éducation (J. Piaget), le langage (G. Granai), l'art (P. Francastel avec un appendice sur la musique de R. Bonnot), la littérature (A. Memmi). Cette section se clot sur une évocation par R. Bastide, des « Problèmes de l'entrecroisement des civilisations et de leurs œuvres ». G. Gurvitch ouvre la section consacrée aux « Problèmes de psychologie collective et de psychologie sociale » par l'introduction de la notion de « phénomènes psychiques totaux », corrélative de celle de « faits sociaux totaux ». J. Stoetzel traite de la « psychologie des relations interpersonnelles », cependant que F. Bourricaud s'attache essentiellement, à propos de la « psychologie des groupes », à marquer l'importance et les limites de la notion de popularité... Il faudrait analyser, une par une, chacune de ces études ; tel ne peut être ici notre propos. Au reste, il s'agit d'un de ces ouvrages qu'il faut avoir sous la main pour le consulter et le reconsulter. De par sa méthode, dont nous signalions au début les avantages, l'ouvrage apparaît d'abord comme un excellent révélateur du caractère non systématique du développement de la sociologie et de la diversité des angles d'approche..." (F.-A. Isambert, Revue française de sociologie, 1961) ‎