Sans date.
Reference : 500143642
Bon état
Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot
contact@demons-et-merveilles.com
07 54 32 44 40
Rapidité d'envoi Tous nos articles sont expédiés le jour même de la confirmation de la commande Soin de l'emballage Un soin particulier est apporté à l'emballage, vos objets voyagent en toute sécurité. A votre écoute Si toutefois un incident devait survenir lors de l'acheminement de votre paquet, n'hésitez pas à nous contacter, nous mettrons tout en oeuvre pour vous satisfaire, en vous proposant un retour, un remboursement ou toute autre soluton à votre convenance. Professionnalisme Les livres que nous vendons sont pour la plupart des livres anciens, nous tâchons d'être le plus objectif possible quant à leur état.
Plon, 1893, gr. in-8°, vii-656 pp, biblio, broché, état correct. Edition originale
"« Napoléon ne fut ni un Dieu, ni un monstre, mais simplement – selon la célèbre formule classique qu'on peut lui appliquer – il était homme, et rien d'humain ne lui était étranger. Le haut sentiment familial, en effet, la bonté, La gratitude, la cordialité furent ses qualités essentielles. » Ainsi s'exprime M. Arthur-Lévy, dans la préface de son récent livre “Napoléon intime”. Ce récit est d'ailleurs fort agréable. L'auteur voit Napoléon en beau, un peu comme le voyait la reine Hortense. Ce grand homme était complexe : aujourd'hui aimable, demain dur et brutal, tyran de génie, mais tyran." (A. Aulard, La Révolution française : revue historique)
Calmann-Lévy 1932 in12. 1932. Broché.
Bon état général sous papier de soie garniture du dos abîmée couverture ternie intérieur propre
Calmann-Lévy 1932 in12. 1932. broché.
Bon état sous papier de soie couverture défraîchie pages non coupées intérieur propre
Calmann lévy 1927 in12. 1927. Broché.
Bon Etat jauni des taches et écornures dos réparé
Calmann-Lévy, 1932, pt in-8°, 216 pp, broché, bon état (Nouvelle collection historique)
"Avec ce livre, Arthur-Lévy, l'éminent historien, nous fait pénétrer dans la piquante intimité, souvent troublée, de ce cercle de famille où le grand Empereur rencontra l'ingratitude et parfois la défection." (Le Figaro, 18 février 1932) — « Inhumain avec ses frères, incestueux avec sa sœur Pauline et sa belle fille, Hortense de Beauharnais », telles sont les expressions usitées par les détracteurs de Napoléon, pour définir ses rapports avec sa famille. La première de ces appréciations est facile à réfuter ; les documents, les témoignages abondent ; ils permettent de juger d’où venaient les torts dans cette famille qui fut absolument désunie parce que chacun de ses membres se tenait pour méconnu et maltraité par l’Empereur, alors que tous n’avaient qu’à se laisser vivre dans une opulence fastueuse. Le malheur des frères et des sœurs de Napoléon prend sa source dans une foi qui leur était commune : ils se croyaient tous rois de droit divin, elles se croyaient toutes reines de naissance. Leur état d’esprit se résume parfaitement dans une boutade de Napoléon : « En vérité, à les entendre, on dirait que j’ai mangé l’héritage de notre père ! » Ces récriminations furent constantes ; elles se représentaient avec une persistance intolérable, mettant ainsi à l’épreuve la plus irritante une longanimité fraternelle qui a fait dire à un contemporain : « Napoléon avait plus de mal à gouverner sa famille que son empire ». A un concert quasi-journalier de supplications, de reproches le plus souvent connus du public, l’Empereur, assailli de tant et de si graves préoccupations, n’opposait qu’une résistance passagère, bientôt vaincue par sa faiblesse naturelle. Pendant que tous, sans exception, s’appliquèrent à lui susciter des embarras continuels, pendant que toute sa vie fut contristée par les réclamations des uns et les écarts des autres, Napoléon déploya, à l’encontre de tant de calomnies travestissant les faits les plus simples, à leur égard une munificence et une indulgence inépuisables. Cette vérité s’imposera lorsque nous aurons montré l’Empereur dans ses rapports individuels avec chacun des membres de sa famille. Nous aurons également à examiner la monstrueuse accusation d’inceste, rééditée de nos jours avec tant de complaisance, insinuation constante de la chronique scandaleuse et pamphlétaire des ennemis de Napoléon depuis le Consulat. Les aveux des coupables faisant toujours défaut, il ne reste, en réalité, que les commérages des gens qui n’ont rien vu. Que les bruits abominables qui ont fait de Napoléon une sorte de vampire hystérique soient le fruit de la diffamation à outrance ou de la déconvenue de certaines espérances féminines, il faudra leur faire l’honneur de les discuter en face des documents authentiques, des témoignages contradictoires et les rapports réels de l’Empereur avec celles qui auraient été ses complices de ce crime de lèse-nature afin de les réduire à néant. (Arthur-Lévy)