‎Luquet Maurice‎
‎Le Terre-Neuve‎

‎ Sans date.‎

Reference : 500143501


‎Bon état‎

€4.00 (€4.00 )
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Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot

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‎LE BRETON (Louis).‎

Reference : LBW-8047

(1845)

‎ [TERRE-NEUVE] Pêche à la morue sur le Grand Banc de Terre-Neuve. Les embarcations élongeant les lignes.‎

‎Paris, F. Sinnett, [circa 1845]. 370 x 501 mm.‎

‎Belle vue lithographiée en couleurs d'après un dessin de Louis Le Breton, figurant une scène de pêche à la morue au large de Terre-Neuve. La vue montre au premier plan une mer agitée dans laquelle des matelots, à bord de petits canots, tendent (élongent) des lignes de pêche, retenues à leurs extrémités par des bouées surmontées d'un drapeau. Près de ces canots se tient un trois-mâts voiles affalées, battant pavillon français. En arrière-plan, on aperçoit trois autres canots et trois navires. Lancée dès le milieu du XVIe siècle, la pêche à la morue dans les Grands Bancs de Terre-Neuve connut son apogée au XIXe siècle. Chaque année, plus de 10 000 pêcheurs, que l'on appelait les Terre-Neuvas, quittaient les régions littorales françaises pour les bancs de Terre-Neuve et le long de la côte française de Terre-Neuve. À la fin du XIXe siècle, la pêche intensive avec des moyens modernes conduisit à une quasi-disparition de la ressource en morue et à une interdiction de pêche par les autorités canadiennes. Peintre de marines, aquarelliste et chirurgien de marine, Louis Le Breton fut l'un des artistes les plus prolifiques de son temps et le témoin de toutes les scènes maritimes du XIXe siècle. Embarqué à 19 ans comme aide-chirurgien sur l'Astrolabe dans l'expédition de Dumont d'Urville, il sera nommé dessinateur de l'expédition à la mort de Ernest Goupil, décédé en Tasmanie. C'est à Louis Le Breton que reviendra la tâche de rassembler l'iconographie du voyage qui sera publiée dans l'Atlas pittoresque. Il a réalisé deux autres estampes sur le Pacifique, plus précisément sur Tahiti, lors de l'annexion française par le contre-amiral du Petit-Thouars en 1842. Bel exemplaire.‎


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Phone number : 33 01 43 29 72 59

EUR1,300.00 (€1,300.00 )

‎[MANUSCRIT]. [TARADEAU (Antoine-Henri de Commandaire de)].‎

Reference : 234368

‎Expédition de Terre Neuve en 1762.. Journal historique par Monsieur de Lisle officier des colonies embarqué sur la frégatte du Roi La Licorne‎

‎S.l., s.d. in-4, [6] ff. n. ch., dont le titre, couverts d'une écriture très fine et lisible (environ 55 lignes par page), un f. vierge, en feuilles, cousu. Feuillet de titre sali.‎


‎Très intéressante relation inédite d'un épisode maritime de la Guerre de Sept ans. "Monsieur de Lisle" est un pseudépigraphe sous lequel se cache l'enseigne de vaisseau Commandaire de Taradeau, comme d'ailleurs on peut s'en assurer par la mention portée sur le premier feuillet : "Expédition de Terre-Neuve en 1762. Rédigée par Tarado [sic]".Il importe de citer intégralement l'introduction placée au début du document, car elle indique de façon particulièrement claire le propos de l'auteur : "Je ne m'attendois pas, quand je partis de Versailles pour aller prendre possession d'une compagnie dans le Régiment de Foix, pour lors à Saint-Domingue, que je servois de masque à une opération qu'il étoit nécessaire de veiller [voiler], pour en assurer la réussite, et en m'embarquant sur La Licorne, je ne supposai à cette frégatte et à la division dont elle faisoit partie d'autre destination que celle que j'avois moi-même. Ainsi je ne fus pas médiocrement surpris lorsque je me trouvai entraîné vers le nord. Quoique cet événement contrariât absolument toutes mes vues, je ne puis être fâché d'avoir fait une campagne si intéressante et si variée, et où les succès, et les revers se sont si rapidement succédé, les uns dus aux circonstances, les autres amenés par des fautes : je vais en faire l'histoire avec impartialité, et c'est peut-être de moi seul qu'on doit l'attendre, placé entre deux corps qui se sont mutuellement accablés de reproches ; je tiens assez à l'un et à l'autre pour juger de leurs manoeuvres, et ne suis assez attaché à aucun pour épouser sa querelle, ce n'est même que plusieurs années après que j'écris tous ces détails, présents encore à ma mémoire dans les principaux événements ; qu'on ne s'étonne donc point si la pluspart des dates sont omises, il est assez indifférent de savoir quel jour un fait s'est passé pourvu qu'il soit fidellement raconté".Lancée en 1756, La Licorne, frégate de 32 canons, participa à plusieurs combats dans l’Atlantique durant la Guerre de sept ans et la Guerre d’indépendance américaine. Elle fut finalement capturée par les britanniques en 1778 ; mais, en cette année 1762, elle faisait partie d'une escadre comprenant, en sus, Le Robuste, L'Éveillé, et La Garonne, avec quelques troupes de débarquement (750 hommes, dont 161 Irlandais recrutés à Terre-Neuve), le tout sous le commandement général du chevalier Charles-Henri-Louis d'Arsac de Ternay (1723-1780) pour la marine, et sous celui de Joseph-Louis de Cléron d'Haussonville (1737-1806), pour l'infanterie. Ternay avait reçu de Choiseul l'ordre d'attaquer les forces anglaises stationnées à Terre-Neuve, dans le secteur de Saint-John, le tout dans le but de réaffirmer la présence française en Amérique du Nord et à terme d'attaquer le Canada un an après, en 1763. Ayant quitté Brest le 6 mai 1762, l’escadre arriva aux abords de l'île le 22 juin. Les troupes françaises s'emparèrent assez facilement du fort Saint-Jean (27 juin), puis de la plupart des batteries et des places anglaises, l'ennemi ayant consacré ses forces à la prise de La Havane. C'est alors qu'il détruisit systématiquement tous les établissements de pêche ennemis tout en capturant ou coulant 460 bateaux de toutes tailles. Mais en septembre de la même année, les Anglais reprirent l'avantage (Bataille de Signal Hill, le 15 septembre) et forcèrent les Français à battre en retraite. L’escadre fit alors route vers la Bretagne, poursuivie par deux navires anglais, mais, fuyant la flotte britannique, relâcha à La Corogne et c’est là que lui fut annoncée la cessation des hostilités le 3 janvier 1763. Ternay avait abandonné sur place Haussonville, qui dut capituler face aux Britanniques, mais ayant sauvé sa flotte, il ne sera pas sanctionné. Il existe d'ailleurs de cette bataille une gravure intitulée Vue perspective de la descente des Francois à l'Isle de Terre Neuve du côté de Saint Jean à l'Occident : aux ordres du Chevalier de Ternay, Capitaine de vaissaeux de sa Majesté Très Chrétienne.Mais ce qui constitue surtout l'originalité de cette relation, c'est le ton très libre et très critique avec lequel Taradeau juge les deux belligérants. Son appréciation finale est en effet fort sévère pour son camp, critiquant les troupes françaises et spécialement leurs chefs, se montrant beaucoup plus indulgent en revanche envers l’ennemi : "Nous ne fûmes que des déprédateurs et des incendiaires ; ils furent des hommes intrépides, soit par leur constance sur mer, soit par leurs actions sur terre. Leurs chefs sur l'un et l'autre élément ont mérité les plus grands éloges, tandis que les nôtres ont mis tout leur art à rejetter le blâme l’un sur l’autre. Si l'on demande lequel des deux a le plus contribué au mauvais succès, je dirai que les fautes de Mr. Desfonville sont plus graves, et plus flétrissantes et que celles de Mr. de Ternay sont aussi réelles et d'une plus grande importance ". Aucun exemplaire de ce manuscrit n'est signalé au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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Phone number : 06 46 54 64 48

EUR3,000.00 (€3,000.00 )

‎Le Brun (Dominique), ed. - Loïc Josse, préface - Guillaume Parcou - René Convenant - Pierre Demartres - Michel Desjardins - R.P. Yvon‎

Reference : 87229

(2015)

‎L'aventure à Terre-Neuve - Les héros de la Grande Pêche témoignent - Dunkerque, Fécamp, Granville, Saint-Malo , Préface de Loïc Josse (Un mousse de Paimpol, à Terre-Neuve et à Islande - Le mousse orphelin deviendra capitaine (Cancale) - Le témoignage d'un grand reporter (Erminie de Saint-Malo) - A bord du dernier voilier de Fécamp -Le témoignage de l'aumonier des bancs (Pêcheurs de Terre-Neuve et du Groenland)‎

‎Editions Bibliomnibus , Aventure Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2015 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur turquoise foncé, illustrée d'une photographie d'un navire terre-neuvas (goélette morutière à la cape) In-8 1 vol. - 201 pages‎


‎ 1ere édition, 2015 Contents, Chapitres : Loïc Josse : Préface - Guillaume Parcou : Un mousse de Paimpol, à Terre-Neuve et à Islande - René Convenant : Le mousse orphelin deviendra capitaine (Cancale) - Pierre Demartres : Le témoignage d'un grand reporter (Erminie de Saint-Malo) - Michel Desjardins : A bord du dernier voilier de Fécamp - R.P. Yvon : Le témoignage de l'aumonier des bancs (Pêcheurs de Terre-Neuve et du Groenland) bel exemplaire, frais et propre‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR10.00 (€10.00 )

‎LECERF (Jean).‎

Reference : 52513

(2001)

ISBN : 9782842732714

‎L'Aviso Ville d'Ys en 39-40. Journal de bord d'un appelé du contingent. Terre-Neuve, Groenland, Antilles, Saint-Pierre-et-Miquelon.‎

‎ Nantes, Editions du Petit Véhicule, 2001, in-8°, 307 pp, 28 photos, fac-similé d'un article de presse de l'époque, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s.‎


‎"Ce livre est unique en son genre : il n'en a été écrit aucun, ni sur la "Ville d'Ys", ni sur la période de guerre 39-40 sur les Bancs de Terre Neuve. C'est le texte original et intégral, complété par quelques renvois explicatifs, du Journal de Bord écrit chaque soir pendant la période douloureuse de 39-40. La "Ville d'Ys" était le dernier navire au charbon de la Marine Nationale. Station Navale de Terre Neuve, il était affecté à l'assistance aux voiliers et chalutiers de la Grande Pêche. Embarqué le 5 avril 1939, j'ai fait à son bord la campagne de pèche 1939 à Terre Neuve et au Groenland. Je décris la terrible vie des Terre Neuvas et les beautés du Soleil de Minuit. L'hiver 39-40, hivernage aux Antilles avec plusieurs missions allant de la surveillance avec blocus des pétroliers allemands à Curaçao au maintien de l'ordre à Marie-Galante. En avril 40, reprise de la mission d'aide et assistance sur les Bancs de Terre Neuve. Ces marins étaient peu ou mal informés du déroulement de la guerre et même de l'envahissement de la France, armistice compris. En juin 40, nous sommes bloqués à Saint Pierre et Miquelon et y restons jusqu'en novembre 40. Au jour le jour, j'ai retracé les difficultés matérielles et surtout morales endurées par l'équipage pendant plus de six mois, sans autre information que celles rares de Radio Paris, plus ou moins germanisé, sans courrier ni nouvelles de nos familles, mais aussi sans savoir ce qui s'était exactement passé en France ni quelle orientation choisir : France Libre ou Pétainisme ? surtout après les évènements de Mers el Kébir et de Dakar. Finalement, je choisis et obtins l'accord du Commandant de me faire démobiliser à Saint Pierre. Le double jeu du Commandant m'en empêcha. La "Ville d'Ys" rallia Fort de France d'où je fus rapatrié d'office. J'ai vécu une belle mais difficile aventure. A 83 ans, j'ai décidé de la publier. Sans l'avoir recherché, je m'aperçois avoir fait oeuvre de modeste historien." (Quartier Maître Jean Lecerf) — "Soixante ans... C'est le temps qu'il a fallu à un certain Jean Lecerf, ancien secrétaire militaire de l'aviso Ville d'Ys pour retrouver celui qui avait été son chef par intérim, pendant quelques semaines début 1940, avant d'être rapatrié à son tour pour embarquer sur un sous-marin. A vrai dire, sous la poussière accumulée par les ans, le nom de Lecerf était totalement oublié. « De mon débarquement de la Ville d'Ys à Fort-de-France, en février 1940, je n'avais gardé que peu de souvenirs, en particulier aucun de Jean Lecerf. "Les peuples heureux n'ayant pas d'histoire", il faut croire que nos rapports avaient été harmonieux. Et maintenant, ce vieux jeune homme de 82 ans me demande de préfacer un ouvrage basé sur ses impressions de matelot de 1940 consignées dans son journal de bord. Il m'a montré son manuscrit, écrit au jour le jour, avec le style primesautier, spontané, plein de fraîcheur et parfois de naïveté de la jeunesse.» C'est ainsi que Jean Vessières, Officier des Pêches de la "Ville d'Ys", évoque dans sa préface le travail de mémoire de Jean Lecerf : précis, exact, attentif, mesuré comme une boussole." ‎

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EUR30.00 (€30.00 )

‎GOBINEAU (Joseph Arthur, comte de).‎

Reference : 43162

(1861)

‎Voyage à Terre-Neuve.‎

‎Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, 1861. Petit in-8 de (4)-309-(2) pp., demi-basane blonde à coins (Franzini relieur Marseille). ‎


‎Édition originale. Ouvrage publié dans la Biblothèque des Chemins de fer. Nommé en 1949 chef du cabinet du ministre des Affaires étrangères Alexis de Tocqueville, Gobineau (1816-1882) fut envoyé, en mars 1859 à Terre-Neuve comme chargé de mission afin de délimiter, en concertation avec deux commissaires britanniques, les zones des pêcheries de morue respectivement réservées aux pêcheurs français et anglais. « De ce voyage de six mois, qui conduit Gobineau à Saint-Pierre, Sydney (sur l'île du Cap-Breton, où il visite la forteresse de Louisbourg), Truro et Halifax en Nouvelle-Écosse, puis tout autour de Terre-Neuve avant de se fixer à Saint-Jean, il tirera un remarquable récit, Voyage à Terre-Neuve et une nouvelle, La Chasse au caribou. Il semble également que sa mission ait été conduite avec succès et au bénéfice des pêcheurs français : une petite baie de Terre-Neuve porte le nom d'Anse de Gobineau ». (J. Boissel, Gobineau, biographie). Carteret, I, 345. ‎

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