Hachette Tourisme 2010 11 43x1 27x19 05cm. 2010. Broché.
Reference : 500130888
ISBN : 2012449328
Etat correct
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Rouen, Édouard Frère, 1835, 2 tomes, 13 X 21 cm., reliés, VIII-524 ; 478 pages. Demi-basanes à nerfs comportant des épidermures, mors fragiles, coiffes du tome 2 absentes. Des rousseurs, plus prononcées en début et fin d'ouvrage. Dans le tome 1, un cahier de la table des matières a été relié au mauvais endroit.
Ouvrage écrit à la demande de l'éditeur, normand d'origine, pour faire suite à celui de Monsieur Licquet qui couvrait les temps les plus reculés jusqu'en 1066.
Paris, Librairie Henri LECLERC, 1906 et 1907, 3 catalogues reliés en un volume, 17 X 25 cm., relié, VIII + 62 + 86 + 24 pp. Préface biographique de Maurice TOURNEUX. Annotations manuscrites d'un bibliophile sur Léon SAPIN, libraire hors paire, et sur les estimations ou prix de vente des ouvrages. Reliure usagée à la Bradel en plein papier marbré. Les couvertures des catalogues ont été conservées.
S.l. [Saint-Denis], janvier-février 1921. Tapuscrit signé, petit in-folio (31 x 21 cm) de (1) f. et 80 pp. dactylographiées (ch. 1-37, 39-76, 78-82, sans manque); demi-toile noire, dos muet, étiquette sur le plat supérieur.
La production d’énergie hydraulique à la Réunion. Ingénieur des Ponts et Chaussées, Etienne Coste fut directeur du Chemin de fer et Port de la Réunion (C.P.R.) de 1920 à 1925. Dans ce mémoire, il propose, à partir d’une étude approfondie des cours d’eau et de la pluviométrie, d’installer des usines hydroélectriques sur les principales rivières de l’île (en particulier sur la rivière des Roches et la rivière Saint-Etienne), puis d’électrifier le chemin de fer ainsi que le port de la Réunion. Ce travail est divisé en 6 chapitres: I. Orographie, géologie, hydrographie et pluviométrie de l’île (pp. 3-29). - II. Rivières susceptibles d’être captées pour la production de l’énergie électrique (pp. 30-51). - III. Consommation de charbon par le chemin de fer et risques d’incendie des champs de canne à sucre qui bordent la ligne (pp. 52-55). - IV. Avantages à remplacer le charbon par l’électricité (pp. 56-59). - V. Frais d’établissement et prix de revient du kilowatt an et du kilowatt heure. Construction de l’usine centrale de la rivière des Roches. Transport de la force et électrification du C.P.R. Etablissement de l’usine centrale sur la rivière Saint-Etienne. Ligne reliant les deux centrales. Dépenses de premier établissement. Renouvellement de la voie de Saint-Paul à Saint-Pierre. Prix de revient du kilowatt an et du kilowatt heure pour chacune des usines. - VI. Etude de l’électrification au point de vue financier. L’illustration comprend 6 graphiques hors texte et 6 photographies in texte contrecollées. Les photographies, non signées, représentent la rivière des Roches (bassin la Mer d’après le croquis de l’auteur, bassin la Mer en crue, bassin d’Argent en crue, bassin la Paix en crue), et la rivière Saint-Etienne (2 vues). Les graphiques, tirés sur fond bleu, sont les suivants: Schéma théorique du thalweg des rivières à la Réunion. - Graphique indiquant le nombre de jours dans l’année pendant lesquels le vent souffle de diverses directions. - Schéma théorique des sources à la Réunion (coupe). - Rivière des Roches (avec l’usine desservie par un canal). - Altitude du canal de fuite de l’usine Pradel. - Altitude des principales villes entre Saint-Benoît et Saint-Pierre. Extrait: «La rivière des Roches près St-Benoît (île de la Réunion) est formée par les eaux permanentes du plateau de Bélouve (partie est et sud) et par celles d’un grand cirque qui s’étend de la Rivière du Mât à la Rivière des Marsouins. Son bassin d’alimentation est très important, ses pentes et hauts plateaux très boisés, sa situation géographique à l’ESE de l’île où règnent les vents généraux, lui assure en toute saison un débit minimum d’environ 2000 litres à la seconde et en font un des cours d’eau les plus importants de la région […]. L’utilisation industrielle de cette force hydraulique peut à mon avis être entreprise dans de bonnes conditions. Une dérivation de cette rivière au-dessus des rapides permettrait d’obtenir une chute d’environ 80 mètres et avec un débit de 2000 litres à la seconde, en basses eaux nous aurions une force de 1600 chevaux sur l’arbre des turbines. J’estime à environ 6 à 700000 francs la somme qui serait à dépenser pour avoir une station centrale d’électricité pouvant alimenter le chemin de fer et le port (600 chevaux), les usines à sucre et tapioca de la région de St-Benoît et de St-André (environ 700 chevaux) et éclairer les villages et les propriétés particulières de 6 heures du soir à 6 heures du matin…» (pp. 31-32). Exploité entre 1882 et 1976, le chemin de fer de la Réunion empruntait la côte pour relier Saint-Benoît à Saint-Pierre, en passant par Saint-Denis et Saint-Paul. Il devait permettre un acheminement plus rapide des marchandises vers un port en eau profonde (Le Port, situé à la Pointe des Galets), destiné à accueillir les nouveaux bateaux à vapeur qui devaient passer par le canal de Suez. Sur une page de garde, envoi autographe signé: «A Monsieur le Docteur Auber, sénateur de la Réunion. Hommage de l’auteur. Saint-Denis le 11 mai 1921». Il s’agit de Joseph Pierre Jules Auber (1867-1928), docteur en médecine et homme politique, ancien directeur du service de santé et d’hygiène de la Réunion. Plats de la reliure frottés, coins usés. Ryckebusch, Inventaire des ouvrages concernant l’île Bourbon, 2082 et 2083 (pour une étude similaire publiée en 1925).
René Robert et de Christian Barat avec la collaboration de Janine Cadet, Jean-Claude Carpanin Marimoutou, Michèle Marimoutou, François Moutou, Maurice Parmantier, Michel Robert, Daniel Vaxelaire et Michel Vignand et Gilbert Aubry, Idriss Issop Banian, Pierre Bosc, Florence Callandre, Katherine Chatel, Marylène Ferrère, Jacques Lougnon, Jean Mas, Richard Lee-Tin, André Marimoutou, Maud Payet et Rémy Payet
Reference : 324
(1991)
Dictionnaire illustré de la Réunion 7 volumes COMPLET Sous la direction de René Robert et de Christian Barat avec la collaboration de Janine Cadet, Jean-Claude Carpanin Marimoutou, Michèle Marimoutou, François Moutou, Maurice Parmantier, Michel Robert, Daniel Vaxelaire et Michel Vignand et Gilbert Aubry, Idriss Issop Banian, Pierre Bosc, Florence Callandre, Katherine Chatel, Marylène Ferrère, Jacques Lougnon, Jean Mas, Richard Lee-Tin, André Marimoutou, Maud Payet et Rémy Payet chez Diffusion Culturelle De France en 1991/2. Le livre est illustré de nombreuses photos. Le livre mesure 20x29 cm et pèse 7,600 kg (c) pour 180 pages. Reliure d'éditeur cartonnée. Le livre est en très bon état, rares rousseurs.
AVANT-PROPOS Le Dictionnaire Illustré de la Réunion est proposé au plus large public, à tous ceux qui aiment La Réunion et y vivent, aux élèves de l'enseignement secondaire ou supérieur désireux de mieux connaître le milieu réunionnais, la géographie, l'histoire, les traditions, les arts, les techniques et l'économie de l'île. Cet ouvrage constitue une somme spécifique dont la publication doit beaucoup aux nombreux travaux réalisés à La Réunion depuis le début du siècle par les membres des sociétés savantes, les chercheurs des organismes d'État, les scientifiques en mission, les analystes des services départe- mentaux et régionaux. CONCEPTION ET OBJECTIFS Le Dictionnaire Illustré de la Réunion a été conçu comme une synthèse de trois types de dictionnaires. Il se veut dictionnaire élémentaire de langue pour une meilleure connaissance des mots retenus. Il est, surtout, encyclopédique par l'importance des développements associés à chaque entrée. Il est enfin dictionnaire de langue, d'une manière originale, dans la mesure où les auteurs y introduisent non seulement les mots français, mais également les mots d'origines diverses suffisamment transformés pour être considérés comme créoles, et des mots non encore intégrés mais en usage dans la vie quotidienne de certaines communautés. D'autre part, une abondante iconographie illustre les articles et complète les sujets traités. La tâche première des maîtres d'œuvre a été de définir la liste des mots qui composeraient les entrées des sept volumes du Dictionnaire Illustré de la Réunion. On ne pouvait retenir tous les termes de biologie, d'histoire, de technologie... intéressant La Réunion en raison des contraintes d'ordre éditorial: la seule étude exhaustive de la flore et de la faune terrestres aurait par exemple suffi à occuper les sept volumes du D.I.R. ! Ce travail a été mené avec un double objectif : réaliser la description la plus complète de l'univers réunionnais et proposer au lecteur un certain nombre de termes non spécifiques à ce milieu mais indispensables à sa description et à l'analyse de ses rapports et de ses emprunts au reste du monde. Procédant par recherches thématiques, chaque rédacteur est parvenu à une première sélection. Par la suite, certains mots ont été supprimés et d'autres ajoutés, pour arriver à un total...
Paris, Guillaumin, 1881 - 1882 8 parties en un vol. in-8, 516 pp. [parties I-VII], 86 pp. [partie VIII], demi-chagrin havane, dos à nerfs orné de filets à froid, tranches mouchetées (reliure de l'époque).
Unique édition de cette importante série de documents sur une négociation avortée.L'avocat Léon Chotteau (1838-1895) avait quitté le barreau pour se lancer dans les affaires. Choisi comme délégué auprès du gouvernement américain en vue de la conclusion d'un traité de commerce franco-américain, il fit six voyages aux États-Unis afin de réaliser une alliance économique. Pour ce faire, il multiplia les conférences entre 1877 et 1885, mais son action n'aboutit pas en raison des tendances protectionnistes du Parlement français qui devait se manifester par plusieurs décisions : en 1882, la France refusa de reconduire le traité de libre-échange avec la Grande-Bretagne (traité Cobden-Chevalier) ; en 1892, le Parlement dénoncera même les accords douaniers antérieurs et vota le tarif Méline qui augmentait les droits de douane de 40 %. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT