‎Zola Émile‎
‎Le vœu d'une morte‎

‎LES CIVILISATIONS DE LA MER MORTE.‎

‎Albert Guillot Collection "Hauts lieux de l'histoire", 1958. Grand in-8 relié de pleine toile sous jaquette illustrée, 169 pages, photographies hors-texte. Bon exemplaire.‎

‎DELLA PENA DI MORTE.‎

‎ per Giuseppe Richino Malatesta, Milano, 1777. In-8 p. (mm. 207x169), cartonato rustico coevo (dorso restaur.), pp. (12),LXII, fregio tipografico xilografato al frontespizio. "Prima edizione", dedicata dall'A. al Barone Giuseppe De Sperges e Palenz (Cavaliere dell'Insigne Reale Ordine di Santo Stefano d'Ungheria, etc.). Trattato suddiviso in 16 paragrafi che contengono: Della necessità, del fine, e della misura delle Pene in generale - Di alcune Nazioni, le quali non hanno dato la Pena di Morte - Pretesa contradizione della Pena di Morte - Se la Religione diminuisca l'impressione della Pena di Morte - Incovenienti della troppo grande estensione della Pena di Morte - Delle leggi, le quali decretano la Pena di Morte contro il Furto, ecc.. Il milanese Paolo Vergani (1750-1821) approfondì gli studi in storia e diritto canonico divenendo prelato. Si formò nell'ambiente intellettuale e culturale milanese dei fratelli Pietro e Alessandro Verri, oltre che di Cesare Beccaria, dal quale successivamente in parte prese le distanze. D'impronta moderata e illuminista, nel 1777 pubblicò con l'editore Malatesta "Della pena di morte", in cui si poneva l'obiettivo di elaborare una sorta di difesa del sistema criminale allora vigente, nella convinzione dell'ineluttabilità della pena di morte. La sua posizione oscillava, tuttavia, tra la necessità che la pena di morte venisse inflitta esclusivamente nei casi di maggiore gravità, in presenza di prove certe, e l'effetto intimidatorio insito nella stessa per la repressione dei reati. Anche per Vergani le leggi penali dovevano avere come fine l'utilità sociale ma, diversamente da Beccaria, sosteneva quanto le disuguaglianze delle condizioni sociali potessero giustificarne l'inflizione.. Ricevette per quest'opera il plauso su riviste come il Journal encyclopédique. Così Diz. Biograf. Ital., vol. 98. Fresco esemplare ben conservato, con bell'ex-libris al risguardo.‎

‎JAMES ENSOR ET LA NATURE MORTE EN BELGIQUE (1830-1930) : Rose, Rose, Rose Mes yeux ‎

‎, Mercatorfonds, 2023 PB, 260 x 210 mm, Edition Fr., 176 p, 160 illustrations en couleur, Nouveau, . ISBN 9789462303614.‎

‎Ce livre propose un voyage unique travers l'histoire de la nature morte en Belgique au 19e si cle et au d but du 20e, avec Ensor comme guide. La nature morte a jou un r le important dans l'ouvre du peintre expressionniste et symboliste belge James Ensor (1860-1949). La qualit et l'importance de ses natures mortes complexes et intrigantes apparaissent clairement lorsqu'elles sont replac es dans le contexte plus large de l' volution du genre en Belgique entre 1830 et 1930. La nature morte, qui avait d g n r au d but du 19e si cle pour devenir un genre d coratif sans contenu ni importance artistique, a t revaloris e de diverses mani res tout au long du 19e si cle : par la monumentalisation, l'animation de l'image avec des poup es et des masques, l'exotisme ou l'int gration dans un int rieur. cet gard, l'ouvre d'Ensor est particuli rement inventive. En outre, sa longue carri re a renforc son impact sur de nombreux artistes, qui se sont tourn s vers le modernisme partir de 1880. Ses natures mortes tardives - souvent des transformations d'ouvres ant rieures - sont peu connues et fascinantes. Outre un aper u de cette partie importante de l'ouvre d'Ensor, l'ouvrage propose un panorama de la tradition acad mique belge du 19e si cle en mati re de peinture d corative, avec des ouvres intrigantes de peintres peu connus comme Jean Robie, Hubert Bellis, Frans Mortelmans et Henri De Braekeleer, et de femmes artistes oubli es comme Berthe Art et Alice Ronner. Au d but du 20e si cle, des artistes comme Louis Thevenet ont continu d velopper le genre de la nature morte de mani re traditionnelle, tandis que des innovateurs comme James Ensor, L on Spilliaert, Marthe Donas, Walter Vaes et Gustave Van de Woestyne en ont donn des interpr tations tr s personnelles. Cette tradition de la nature morte s'ach ve avec des artistes comme Jean Brusselmans et Ren Magritte, qui ont d construit l'espace pictural du "th tre des choses"‎

‎James Ensor et la nature morte en Belgique (1830-1930): Rose, Rose, Rose à mes yeux.‎

‎<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Le genre de la nature morte a joué un rôle essentiel dans l'oeuvre de James Ensor (1860-1949). Initialement formé au sein des mouvements impressionniste et symboliste, le peintre belge d'avant-garde a progressivement élargi son champ d'expérimentations, jusqu'à devenir un précurseur essentiel de l'expressionnisme. Son ingéniosité artistique s'est révélée déterminante au sein du mouvement de rénovation de la nature morte en Belgique, qui avait décliné, au début du 19e siècle, devenant un genre mineur à seules fins décoratives et sans contenu.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Au cours de sa longue carrière, Ensor a profondément influencé de nombreux artistes qui, à partir de 1880, se sont orientés vers le modernisme. Ce catalogue et l'exposition qu'il accompagne proposent un voyage exceptionnel dans les pas d'Ensor à travers l'histoire de la nature morte en Belgique de 1830 à 1930. Outre l'analyse de ce genre chez le maitre ostendais, cet ouvrage explore la tradition académique de la peinture décorative belge au 19e siècle et le renouvellement de la nature morte, au début du siècle suivant, par des artistes tels Léon Spilliaert, Jean Brusselmans ou Gustave Van De Woestyne.</span> Bruxelles, 2023 Fonds Mercator 192 p., illustré, broché. 21 x 26‎

‎Neuf‎

‎LE GRAND SIECLE DE LA NATURE MORTE EN FRANCE. LE XVII SIECLE, Office du Livre,Fribourg/ Société Française du Livre, Paris, 1974, grand in-4, pleine toile éditeur, jaquette, étui, monographie de référence sur la nature morte en France au XVIIs., richement illustré, très bon état; ‎