Julliard 1973 1973.
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P., Librairie des Champs-Elysées, 1947, in-8°, 262 pp, 24 documents reproduits (fac-similés, croquis et photos), broché, couverture de relais des éditions Arthème Fayard (lég. salie), bon état
Tome 2 seul (sur 3) — Chef des services spéciaux des 9e et 10e armées, Pierre Nord (1900-1985, de son vrai nom André Brouillard) est fait prisonnier par les troupes allemandes en 1940. Il s'évade et devient un des animateurs de l'Armée secrète. Après avoir appartenu au réseau de résistance “Travaux ruraux”, il sera, sous les ordres de son ami, le commandant Hubert de Lagarde, en 1943-1945, le second du réseau “Éleuthère”. Les renseignements fournis par ce réseau permettront à l'aviation alliée de pulvériser dans la nuit du 4 au 5 mai 1944 la division blindée 9e Panzerdivision SS Hohenstaufen regroupée dans la région de Mailly-le-Camp/Châlons-sur-Marne. À la Libération, Pierre Nord quitte l'armée avec le grade de colonel pour se consacrer à la littérature. Il publie de très nombreux romans policiers, d'aventure et surtout d'espionnage. Il est aussi l'auteur d'ouvrages historiques et de récits sur la guerre secrète dont “Mes camarades sont morts” (qui retrace en fait l'histoire des réseaux “Travaux ruraux” et “Éleuthère”, explicitant notamment les manœuvres des Alliés pour tromper Adolf Hitler sur le projet de débarquement en Normandie et l'aide apportée aux Alliés par les réseaux de la Résistance. – “Comment fut-il possible au capitaine Bardin de noyauter les « Services » de Vichy qui traquaient les résistants pour les livrer à la Gestapo ? C'est à ces questions que répond Pierre Nord dans le second tome de “Mes Camarades sont morts” où il explique le rôle du contre-espionnage et les voies tortueuses de l'intoxication. Protéger les réseaux et leurs services de renseignements contre la Gestapo et ses espions, contre les traîtres et les délateurs : tel était le rôle des organisations clandestines de contre-espionnage. Induire l'ennemi en erreur, influencer ses décisions, saper son moral : voilà ce que fut l'intoxication.”
Casterman, 1976, gr. in-8°, 256 pp, annexes, biblio, index, broché, couv. à rabats, bon état
"Lors de son service militaire en 1922, le milicien Joseph Doudot fut, en raison de sa parfaite connaissance de la langue allemande, mis à la disposition des services spéciaux de l'armée française. Il devait y rester pendant quarante ans. À la section du contre-espionnage, son action devint si efficace que Pierre Nord a pu écrire : « Le colonel Doudot ramassait les espions allemands à la pelle. » Comment s'y prenait-il ? C'est ce que nous dévoilent les souvenirs qu'il a confiés à son ami Henri Koch-Kent, journaliste luxembourgeois dont il avait pu apprécier l'action entreprise à titre privé, dès 1933, contre les agissements allemands au Grand-Duché. Ces souvenirs sont d'autant plus précieux que le narrateur a voulu démystifier une image par trop romanesque d'un métier ingrat. Il aime rappeler la phrase d'un de ses chefs : « Si James Bond avait été affecté à nos services, il aurait été flanqué à la porte au bout d'un mois. » La grande spécialité de celui que P. Nord considère comme « un des maîtres du contre-espionnage français » était l'intoxication et la pénétration des services allemands. « Doudot, alias Toussaint, alias Gaston, alias Carlier, et j'en passe, écrit Nord, réussit avant la guerre à se faire recruter sous des identités différentes par trois postes de l'Abwehr à qui il se fit un devoir de livrer de faux renseignements. À leur réunion annuelle de 1968, les anciens de l'Abwehr rendirent d'ailleurs hommage à Doudot en l'invitant en Allemagne. Avoir appartenu, en même temps, à trois postes de l'Abwehr sans éveiller les soupçons était à leurs yeux un exploit qui méritait un coup de chapeau. » Le présent ouvrage ne se borne pas à nous montrer en action les méthodes originales, les astuces, les audaces d'un officier du contre-espionnage, exemplaire au témoignage de ses chefs le général Rivet et le colonel Paillole comme à celui des services américains et britanniques avec lesquels il a travaillé à partir de la libération de l'Afrique du Nord en 42; il situe aussi les faits dans leur cadre politique et stratégique. Avec Doudot, c'est tout un aspect mal connu de la guerre 39-45 et de ses prodromes qui nous est révélé."
1934 Paris, Payot, 1934, in 8° broché, 303 pages ; couverture légèrement fanée.
Tome premier seul. ...................... Photos sur demande ..........................
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Tallandier, 1974, in-8°, 231 pp, reliure toile brique de l'éditeur, titres en noir au 1er plat et au dos, jaquette, bon état
WikiLeaks : le “Guardian”, le “New York Times”, le “Spiegel”, le journal “Le Monde” en parlent : Jacques Bergier pourtant nous mettait en garde dans son livre "L'Espionnage politique, des tables d'écoute au chantage" dès 1973... — "Il n'y a pas de vie privée. Bientôt, il n'y aura plus de liberté. Dans tous les pays, quelles que soient leurs structures politiques apparentes, toutes les ressources de l'espionnage ont été tournées par les gouvernements contre les citoyens. La vie privée de ceux-ci est espionnée, surveillée, manipulée. Ouverture du courrier, écoutes téléphoniques, surveillances par microphone et télévision, constitution de dossiers utilisés pour le chantage ou la manipulation : tel est notre monde moderne. L'auteur décrit ces phénomènes en prenant comme exemple principal l'affaire Watergate dont il dévoile les ressorts secrets, jusqu'à présent inconnus en France. Mais ce livre ne se borne pas à cette affaire. Il décrit également l'espionnage politique dans tous les pays du monde et il pose la question : si cela continue, qu'allons-nous devenir ?"
Albin Michel, 1973, in-8°, 231 pp, broché, bon état
WikiLeaks : le “Guardian”, le “New York Times”, le “Spiegel”, le journal “Le Monde” en parlent : Jacques Bergier pourtant nous mettait en garde dans son livre "L'Espionnage politique, des tables d'écoute au chantage" dès 1973... — "Il n'y a pas de vie privée. Bientôt, il n'y aura plus de liberté. Dans tous les pays, quelles que soient leurs structures politiques apparentes, toutes les ressources de l'espionnage ont été tournées par les gouvernements contre les citoyens. La vie privée de ceux-ci est espionnée, surveillée, manipulée. Ouverture du courrier, écoutes téléphoniques, surveillances par microphone et télévision, constitution de dossiers utilisés pour le chantage ou la manipulation : tel est notre monde moderne. L'auteur décrit ces phénomènes en prenant comme exemple principal l'affaire Watergate dont il dévoile les ressorts secrets. Mais ce livre ne se borne pas à cette affaire. Il décrit également l'espionnage politique dans tous les pays du monde et il pose la question : si cela continue, qu'allons-nous devenir ?"