Sans date.
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Bon état
Démons et Merveilles
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Bruxelles, Muquardt, Paris, Baillière 1875. in 8°, demi-maroquin vert à 5 nerfs, couverture usée conservée, envoi sur le faux titre, tampon ex-libris. 194 pp.- (1)f.
ÉDITION ORIGINALE. La vie de cette stigmatisée belge, née dans le Hainaut (1850-1883), a suscité de nombreuses controverses dès les débuts de sa vie mystique. Entrée dans le tiers ordre de saint François en 1867, elle ressentit les premiers stigmates l'année suivante. Ils n'apparaîtront plus désormais sur son corps que le vendredi pendant ses extases. Elle cessera de s'alimenter en 1871, ne se nourrissant plus que par la communion quotidienne. Elle mourra en 1883. Ses stigmates et ses expériences mystiques eurent très vite beaucoup de publicité et de nombreuses études furent publiées sur elle en Belgique, en France, en Angleterre et en Allemagne. La littérature s’empara d’elle également en Camille Lemonnier s’inspira de son cas pour son roman L’Hystérique. C’est à la suite d'une lecture faite par le docteur Charbonnier de fragments d’un essai intitulé la Maladie des mystiques: Louise Lateau, que l’Académie belge de Médecine s’empare du sujet et missionne une équipe pour l’examiner Louise. L’enquête durera sur place près de cinq mois. Warlomont en donne le détail. Le rapport conclut que stigmates et extases sont réels mais s’expliquent physiologiquement. Ils sont le fait d’une maladie de l’ordre des névroses du type «névropathie stigmatique».