‎Bras Hervé Le‎
‎Les trois France (avec signature)‎

‎Seuil 1986 266 pages in8. 1986. Broché. 266 pages.‎

Reference : 500097349
ISBN : 9782020091657


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‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎CAYET (Pierre-Victor-Palma):‎

Reference : 05-2010

(1602)

‎L’Heptameron de la // Navarride // ou Histoire entière // du Royaume de Nauarre // depuis la commence- // ment du monde. // Tirée de l’Espagnol de Dom-Charles Infant // de Nauarre. // Continuée de l’Histoire de Pampalonne de N. // l’euesque, iusques au Roy Henry d’Albret, & // depuis par l’Histoire des France iusques au //Roy Tres-Chrestien Henry IIII. Roy de // France & de Nauarre. // Le tout fait & traduit par le Sieur de La Palme // Lecteur du Roy. A Paris, chez Pierre Portier, 1602. In-12, sans faux-titre, (12) ff. [*] - (6) ff. [**] - 666 pp. [***] - (33) ff. [****], demi-chagrin poli brun à petits coins, dos lisse orné de faux-nerfs et de fleurons dorés, pièce de titre ocre, plats encadrés d’un filet à froid (seconde reliure, vers la fin du XVIII° siècle : marges supérieures courtes à très courtes, voire absentes ; rarement, le titre courant a été « scalpé ») État : petit accroc au dos ; charnières, coiffes et plats un peu frottés, coins , supérieurs faibles ; à l’intérieur, déchirure sans manque (feuillet Vv iij) ; travaux d’insectes – antérieurs à la reliure- en « coups d’épingle » ou galeries très fines, dans les marges, essentiellement dans le premier tiers de l’ouvrage ; dans le texte, courtes galeries généralement entre deux vers [sic !], (pp. 55-76, 237-252, 707-726, etc.), avec parfois de petites atteintes au texte sans trop altérer la lisibilité. Exemplaire assez décoratif. COLLATIONNEMENT DÉTAILLÉ: [*] : Titre (non signé), [Epistre] AV ROY, Dédicaces diverses,un sonnet de Saluste du BARTAS,écrit « A Navarrins dans le Bearn-apres la bataille de Coutras. Saluste de Barthas » [ )(10), verso]; un feuillet blanc : signés )( ij-iij , puis )( ii [par erreur, pour )( iiij], la suite sans signature. [**] : Epitres diverses, en vers, en hébreu, grec et latin, dont, intercalé, un « Quatrain », en français, signé A. Béhotte, la dernière page : « Préface de la Nauarride », anonyme : signés *1-4, les suivants sans signature. (***] : Texte, paginé de (1) à 666 [et non pas 866, comme souvent rencontré], pour 870 ; cahiers signés A-Z, puis Aa-Nn, (i)-(xij), Oo (i)-(iij) ; quelques erreurs de pagination, d’autres de signatures, rapidement rectifiées, n’affectent pas le nombre total de pages. [****] : les (66) dernières pages sont composées comme suit : « Annotations », (21) pp. (les deux premières occupant le feuillet Oo (iiij) du texte ; « Indice », (28) pp. ; « Omissions », (9)pp. ; « Errata »,(5) pp. ; «Privilège, Approbation», (2) pp. ; la dernière page est blanche. Avec quelques signatures parfois curieuses. Le collationnement de ce rare ouvrage pose trois problèmes : - les feuillets liminaires : 12, 18, 20, - le nombre de pages : 666, 869, 870, 880, - les derniers feuillets: 32, 33, - quant au texte, notre collation montre bien que le nombre de pages est de 870 : 26 cahiers de 24 pp., suivis du petit dernier (6 pp.) ; de plus, ce texte débute sur un recto et se termine sur un verso, sans page blanche non chiffrée, donc le total ne peut être qu’un nombre pair. - accessoirement, le nombre de vers: près de 18600, « casi 20.000 versos », plus de 24.000. 870, multiplié par 28 (nombre de lignes par page entière), donne un total de 24.304 vers que l’on devra amputer des mots intercalés dans le texte : « livre » (6) et « Chant » (47), ramenant le nombre de vers par page à 26, sans omettre la première (14 vers) et la dernière (16 vers)….. Le total serait donc (sauf erreurs et/ou omissions), de 24.228 vers. ‎

‎MON DÉNOMBREMENT, via INTERNET : - sauf mention contraire, tous les exemplaires signalent 666pp. -feuillets non chiffrés, non signalés (ff. nc ?) -sans précisions (s.p.) Dans les fonds publics (France) : 1- Paris, B N F (30209475) : ff. lim. [40]p. 2- Pau, Méd. (fonds Manescau, 2241) : mq [6]f. préface : inc. 3- Bayonne, A. D. des Pyrénées Atlantiques (BIB 2993 : ff. nc 4- Aix-en-Provence, B.M. (Bibl. Méjanes, 3804) : mq [6]f. préface : inc. 5- Lyon, BM (SJ IF220/86), numérisé : mq [6]f. préface : inc. 6- Grenoble, BM-Etude Patrimoine (L4768) : s. p. 7- Amiens, BM (H3231A ) : s. p. 8- Paris, Mazarine (8°21726) : 8 et 9 (mêmes références au CCFr) :[40] pp… 9- Lille, Institut catholique (02357): … lim. ; manque cahier Xx . inc. 10- Toulouse, BM, ff. nc ? incomplet ? (Mf 1940) 11- Coutances , Médiathèque communautaire, s. p. (7742) Dans les ventes aux enchères (depuis 2010) : 12- 16/12/2010 (n°26) et 19/11/2014 (n°142), ensuite Librairie B*** (n° 11 de son catalogue), certainement le même exemplaire : 880pp. 13- Paris, 25/05/2024 (n°17) : absence de collation, erreur (induite) de pagination ( près de 20.000p.); sous réserve, suspicion autour d’un cahier en double... 14- mon exemplaire. Ouvrage dont le collationnement est d’une complexité diabolique, ce qui est normal pour un texte dont la dernière page, est chiffrée 666…. Ce Nombre n’a aucun rapport avec la pagination réelle (NOTE *) ; il est source de nombreuses erreurs ; parfois logiquement rectifié en 869, puisque le recto est chiffré 868 ; mais, les versos sont habituellement des nombres pairs, sauf raison valable. Ici, ce n’est pas le cas : en amont, une dernière cascade d’erreurs de pagination [du feuillet Nn(7) à la fin] montre que la page 862 n’existe pas et que trois pages successives, chiffrées 864 ont décalé la numérotation… ERREURS, OMISSIONS, ABSENCES : l’ouvrage est divisé en trois parties, feuillets liminaires, texte du poème, feuillets annexes, seul le texte est paginé. Sur les quatorze exemplaires recensés, cinq ne donnent aucune précision sur le collationnement ; quatre sont incomplets ; quatre ont un nombre de pages erroné. Feuillets liminaires : absence du second cahier « * » (6 ff.) Lyon BM. ; absence des deux cahiers [ou oubli…] Toulouse BM ; en revanche, 2 ? cas curieux : signatures « )(12)- * (6) », soit 18 ff., le nombre de pages annoncé est… 40 ! Feuillets annexes : manques en fin de volume annoncés (3 ou 4 ff., fin du cahier Xx) 2 exemplaires. Deux autres exemplaires fournissent une précision chirurgicale qui, malheureusement, s’interrompt après le cahier Vv ; il manque le dernier, Xx, soit 6 ff. Texte : c’est une mine de fautes de pagination, généralement sans conséquence, puisque corrigées quasi immédiatement ; la seule importante, c’est celle de la dernière page, ce « 666 » qui en a abusé plus d’un, libraire ou bibliothécaire… ‎


‎RARETÉ : l’exemplaire (n°13 de ma liste ) vient de migrer de Paris (Drouot) vers Pamplona. Les acquéreurs navarrais sont enthousiasmés par cette chronique de « casi 20.000 versos » [faux !], « El volumen se volvió a encuadernar en el siglo XVIII o XIX » [faux!]: ornée de petit fers , dorés et à froid, aux lettres « BB » entrelacées face à face , monogramme du grand collectionner suisse Jean-Paul BARBIER-MUELLER (Genève, 1930-2016). Accompagnée de son ex-libris, la reliure est signée [Jean-Luc] HONEGGER, célèbre relieur helvète installé à Bernex, près de Genève ; elle doit n’avoir qu’une bonne quarantaine d’années ! En plus, le catalogue en ligne de la vente de mai 2024 (virtuel et dans sa version papier numérisée) ne donne pas de collationnement : une seule information, le « livre F » traduit en « cahier F » dans la version papier est « dupliqué » (en double). Or, on sait, ou devrait savoir, qu’un cahier en double entraîne quasi systématiquement l’absence du précédent (ou du suivant). Enfin, dans le commentaire espagnol, est assénée, comme vérité première, cette phrase péremptoire : « La particularité de ce volume, dont il n'existe aucun exemplaire en l'État (…): il n'en existe que cinq autres connus dans le monde » [faux !]. On est, dans la rareté, loin du compte. QUESTION: pour quelle(s) raison(s) surgit ici ce nombre apocalyptique : 666 ? Il n’a absolument aucun rapport avec la pagination de ce volume. Voire… Partant de la dernière page chiffrée, (869) : 8x6x9 = 432. Aucun rapport. Voire… 6x6x6 = 216. Aucun rapport. Voire… 216x2 = 432. Vu ! De là à y voir une manifestation de la Bête… Sinon, hasard ou nécessité ? j’arrête ici mon délire monodmaniaque. Plus sérieusement, si l’on examine le parcours politico-religieux de Palma Cayet, semblable à celui de son Maître, Henri de Bourbon, roi, de Navarre, puis de France, il est très possible que certaines personnes, tant du parti parpaillot que du parti papiste, devaient lui en vouloir (pour le roi, on sait comment l’aventure finira, quelques années plus tard). Un prote malveillant, ou l’Imprimeur lui-même, aura(it) pu utiliser , bien sûr par mégarde, ces trois caractères sulfureux. CONCLUSION De ce qui précède, il résulte que je propose à la vente un exemplaire, loin d’être parfait qui, dans une vie antérieure a été visité par de petits diablotins affamés, lesquels ont commis des dégâts somme toute relativement minimes : la disparition de quelques mots et la présence de quelques labyrinthes . En revanche, ce livre est sobrement relié sur un exemplaire faisant partie du rarissime nombre de ceux qui sont COMPLETS. (NOTE *) un comptage « à la louche », à partir d’une page standard de 28 lignes, donne les totaux approximatifs suivants : 666 pp. /18.648 vers, 870 pp./24.360 vers. (BUR JDB3) ‎

Roland Gautier - Jurançon

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