FAYARD 2008 120 pages 21 6x1 8x13cm. 2008. Broché. 120 pages.
Reference : 500095570
ISBN : 2213636338
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Reference : 54417
Paris, 1788-1824, 250x195mm, cartonnage bleue, titre au dos manuscrit. - Discours prononcés dans la séance publique tenue par l’Académie Française, pour la réception de M. l’Archevêque de Paris, le 25 novembre 1824. 30 p. - Discours prononcés dans la séance publique tenue par l’Académie Française, pour la réception de M. l’Evêque d’Hermopolis, le 28 novembre 1822. 17 p. - Institut Royal de France. Discours prononcé dans la séance publique tenue par l’Académie Française, pour la réception de M. Villemain, le 28 juin 1821. 24 p. - Institut Royal de France. Réponse de M. Roger, Directeur de l’Académie Française, à M. Villemain, successeur de M. le Marquis de Fontanes. 18 p. - Institut Royal de France. Discours prononcé dans la séance publique tenue par l’Académie Française, pour la réception de M. Laya, le 30 novembre 1817. 16 p. - Réponse de M. le Duc de Levis, Directeur de l’Académie Française, à M. Laya, successeur de M. le Comte de Choiseul-Gouffier. 7 p. - Institut Royal de France. Discours prononcé dans la séance publique tenue par l’Académie Française, pour la réception de M. Roger, le 30 novembre 1817. 21 p. - Réponse de M. le Duc de Levis, Directeur de l’Académie Française, à M. Roger successeur de M. Suard. 10 p. - Discours prononcés dans la séance publique tenue par la classe de lalangue et de la littérature françoises de l’Institut de France, le mercredi 6 mai 1807 pour la réception de S.E. Mgr. le Cardinal Maury... 1807, 98 p. - Discours prononcés dans la séance publique tenue par la classe de la langue et de la littérature françoises de l’Institut National, le 11 florial de l’an XIII, pour la réception de M. Dureau-Delamalle. 1805, 76 p. - Discours prononcés dans l’Académie Françoise le mercredi XIV mai MDCCLXXXVIII à la réception de M. de Florian. 1788, 30 p.
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1885 LESSEPS (Ferdinand de). Très intéressant volume sur la préparation de son discours de réception à l’Académie Française, le 23 avril 1885, qui révèle l'implication d’Edouard Pailleron (1834-1899) dans cette composition.Edouard Pailleron, l’un des plus importants collaborateurs de La Revue des Deux Mondes, avait été élu à l'Académie en 1882, puis reçu le 17 janvier 1884. Version de F. de Lesseps :- Copie manuscrite de secrétaire, 15 ff in-4, recto, avec ajouts autographes de Ferdinand de Lesseps : 3 ff. in-8 manuscrits au recto, interfoliés en bis avec corrections ; plusieurs passages biffés ; ajout p. 1 ; autres corrections au crayon.Sans doute la première version de son discours, intéressante car très éloignée du discours final. Lesseps se présente à travers ce qu’est son public mais, se qualifiant d’ “homme de lettres in partibus”, il dit n’être pas un maître de la littérature, de la poésie ni de l’éloquence. Puis il expose sa carrière : “Il a fallu que le hasard des événements politiques ait arrêté ma carrière des affaires étrangères pour permettre de séparer par un Bosphore l’Afrique de l’Asie et de préparer, au centre de l’Amérique, un passage maritime entre les deux océans… plus diplomate qu’ingénieur, j’ai cherché, en rapprochant les distances à solidariser les intérêts et à préparer de loin la paix universelle.” Pailleron fera disparaître néanmoins ce passage d’importance dans les versions suivantes. Lesseps rend ensuite un long hommage à ses deux prédécesseurs et amis : Henri Martin et Adolphe Thiers : “M. Thiers se délassant des soucis de l’homme d’état en écrivant des œuvres considérables ; Henri Martin entreprenant, achevant, sans une minute de défaillance, ces 20 volumes de notre histoire qui constitue un monument impérissable.” “Tout ce qui concourait à la grandeur de la France passionnait M. Thiers et Henri Martin.” Sollicitation de Lesseps :- LAS de Ferdinand de Lesseps à Édouard Pailleron, datée Paris, 7 février 1885, 1 p. in-12 : "J'ai mis de côté mon premier projet de discours. J'ai alors été en Égypte et j'ai consulté le Sphinx. Voici ce qu'il m'a lâché. Renan en a été content mais ce n'est pas tout pour moi. Je veux que vous me corrigiez et que vous ajoutiez avec votre plume fine, spirituelle et sympathique, une phrase finale que je ne trouve pas. Tout à vous".Lesseps sollicite Pailleron, qui en fait réécrira grandement ce discours :Version de É. Pailleron :- Brouillon manuscrit de la main d’Édouard Pailleron, envoyé à Lesseps pour proposition : 8 feuillets in-8 montés sur onglets écrits à l’encre noir et au crayon, contenant de nombreuses biffures ; sur divers papier : f. libre avec l’adresse d’Edouard Pailleron ; f. à en-tête de l’Académie Française. - Nouvelle version, mise au propre du brouillon, sans doute de la main de Lesseps : 8 feuillets in-8 montés sur onglets, à l’encre noir au recto seul, contenant de nombreuses biffures. Remerciements de Lesseps :- LAS à Édouard Pailleron, datée 20 février 1885 : "Cher ami, c'est parfait, je ne changerai pas un mot. Je mets entièrement de côté mes projets. Vous avez une serviable manière de faire parler vos personnages, c'est pour cela que le public est à vous et vous applaudit toujours."Ces versions mettent en lumière tout le travail de préparation effectué par les deux hommes et leurs échanges jusqu’à la version finale, dans laquelle Lesseps se compare à ses prédécesseurs tout en leur rendant hommage : p. 35 : “Ils étaient plutôt hommes d’étude, je suis plutôt homme d’action ; ils étaient historiens, et je suis géographe... à ma manière. Mais si je diffère d’eux par bien des points, il en est un par lequel j’ai la prétention de leur ressembler. Tous deux ont aimé passionnément leur pays…” Lesseps finit son discours par un passage qu’il avait d’abord mis au début : “M. Thiers disait : je vous remercie de m’avoir admis à siéger dans cet asile de la pensée libre et calme. Je vous remercie, à mon tour, de m’avoir admis dans cet asile de la pensée libre et calme, bien que je n’ose vous promettre de rester tranquillement assis dans mon fauteuil.”Version imprimée jointe.Ex-libris M (avec deux ailes) avec la devise "In libro pax in pace felicitas". Cachet Marie-Louise , fille d'Édouard Pailleron et de Marie Buloz.Reliure frottée.
Paris, A la Librairie Economique, An IX (1800-1801), 1 volume, in-12 (12,8 cm), relié, 203 p. + 12 p. ( catalogue de l'éditeur). Tome 22 des Oeuvres complètes. Les pages en chiffres romains en début de volume sont la vie de l'auteur, la pagination s'arrête à la p. XLII, les pages XLIII à XLVIII ont été délibérément enlevées avant que l'ouvrage ne soit relié, elles correspondaient au discours de réception à l'Académie française, le texte de l'oeuvre commence à la page 49. Gravure en frontispice dessinée et gravée par Queverdo, manque les 4 gravures annoncées. Reliure d'époque, demi basane fauve clair, dos lisse avec pièces de titre et de tomaison rouges, manque à la pièce de titre, petite usure aux coins.
L'absence du discours de réception à l'Académie française et des quatre gravures est logique, une édition séparée est parue en même temps, le texte est identique, l'éditeur a vendu ce volume des Oeuvres complètes délibérément sans le discours de réception ni les gravures. /// Florian est surtout connu pour ses fables, le reste de l'oeuvre est tombé dans l'oubli. /// La légende de Guillaume Tell remonte à la fin du XVe siècle, il n'est pas possible de savoir si Guillaume Tell a réellement existé ou s'il n'est qu'une légende, les premiers textes relatent des faits historiques réellement advenus et des faits relevant de légendes. Le premier ouvrage paru en France est celui de la tragédie d'Antoine-Martin Lemierre en 1766, le texte de Florian paru ensuite pour la première fois en 1794, la légende devint internationale avec l'ouvrage de Schiller de 1804 qui se diffusa dans toute l'Europe. Très bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
P., Librairie Académique Perrin, 1921 ; in-12. 55pp. - 40pp. Percaline bordeaux, dos lisse muet, insolé. Bon état.
Ces deux textes en édition originale, sur papier du tirage courant, avec chacun un envoi autographe de l'auteur au même dédicataire.Auteur prolifique, R. de Flers s'est illustré aux côtés de Gaston Arman de Cavaillet puis de Francis de Croisset, par sa production de vaudevilles. Il s'est engagé en faveur de Dreyfus, et bien qu'il eut raillé l'Académie dans une comédie : L'habit vert, 1912, il fut admis dans cette assemblée en 1920 au fauteuil de PIerre de Ségur.
Bureau de la revue. 15 juillet 1928. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 57 à 84. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Une page du tapin : une souvenir de la rue d'Ulm par Paul Bourget, Le chapeau neuf par Pierre Ladoué, Réponse de M. Edouard Estaunié, au discours de réception a l'académie française de M. Emile Male par Edouard Estaunie, Confidences d'auteur : l'inexprimable par Jérome et Jean Tharaud Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux