‎H. De Balzac‎
‎La cousine Bette‎

‎Balzac jugé par George Sand, Balzac jugé par Lamartine, Balzac jugé par Victor Hugo, La muse du département, Béatrix, Un prince de la Bohême, La cousine Bette.‎

‎ Reliure cuir noir de l'éditeur avec titre doré, 21X14 cm, signet, 1965, XXXIX+1207+XLIII pages, papier bible, tome 9 de l'oeuvre de Balzac publiée sous la direction d'Albert Béguin et de Jean A. Ducourneau présentée par des écrivains d'aujourd'hui et illustrée par Daumier Bertall Johannot Monnier Meissonier Staal Gavarni Doré Lampsonius, le club français du livre. Très bon état.‎

‎Histoire des Parens Pauvres - La Cousine Bette et les deux musiciens - Le Cousin Pons ou les deux musiciens‎

‎Paris Imprimerie de Boniface / Le Constitutionnel 1847 Paris, Le Constitutionnel, 1847. 364 pp. Reliure de l’époque, demi-veau vert foncé. Dos lisse, titre doré, filets dorés. Fente de 1 cm au mors inférieur. Coiffe inférieure émoussée. ÉDITION ORIGINALE de l'un des chefs d'oeuvres de l'auteur. "Edition fort rare" selon Carteret. Avant leur publication en volumes chezChlendowski et Pétion en 1848, Balzac fit paraître La Cousine Bette dansLe Constitutionnel du 8 octobre au 3 décembre 1846, puis Le Cousin Pons dansles livraisons du 18 mars au 10 mai 1847. Balzac intègrera ensuite Les Parens pauvres dansles Scènes de la vie parisienne, tome XVII du 1er tome supplémentaire de l'édition de 1842-1848 de La comédie humaine. Exemplaire dans une jolie reliure de l'époque, complet du texte de Rabou Grands danseurs du Roiqui précède le texte de Balzac et s'ouvra par un illustration de J. Lecurieux. Les grands danseurs du roi (p2 - p84) Histoire des parens pauvres - La cousine Bette (p85 - p246) Histoire des parens pauvres - Le cousin Pons (p247 - p364) Vicaire, IV, 226 ; Carteret, I, 83 Couverture rigide‎

‎Edition originale ‎

‎Les Parens [Parents] pauvres.- La Cousine Bette - Le Cousin Pons‎

‎Honoré de Balzac, Les Parens [Parents] pauvres. Paris, Louis Chlendowski, 1847 puis Paris, Pétion, 1848. In-8, 331p, 311p, 306p, 314p, 314p, 293p, 307p, 324p, 306p, 322p, 311p & 351p. Edition originale des romans La Cousine Bette et Le Cousin Pons qui avaient paru en feuilleton dans Le Constitutionnel entre le 8 octobre et le 3 décembre 1846. Les trois premiers volumes paraissent dès janvier et les suivants de manière régulière. Curieusement, dès le tome VII et le passage chez Pétion, les volumes sont datés 1848 alors que le tome VII est en vente dès avril 1847. Notons que ce volume contient la fin de La Cousine Bette et le début du Cousin Pons. Cela explique explique peut-être cette curiosité. Provenance : cabinet de lecture du papetier Bijard à Bourges. Il est intéressant de noter que ce type de provenance est assez courant pour les ouvrages de Balzac qui ont été particulièrement présents dans les cabinets de lecture. Modeste cartonnage d'époque, cartons couverts de papier jaune (parfois orange), dos toilé avec papier collé par dessus, pièces de titre papier, très peu rognés, rousseurs, nombreux feuillets renforcés anciennement en marge intérieure (probablement un effet de l'usage en cabinet de lecture), quelques petites mouillures marginales, tome 3 mouillé. Une correction manuscrite (T.4, p.14). Feuillet 297/298 du tome 4 mal placé (après la page 310). Un feuillet grossièrement réparé au tome 5 (p.95/96). Deux feuillets mal placés au tome 8. Certaines pages ou cahiers très brunies. Exemplaire modeste mais peu commun. ‎

‎Balzac. La cousine Bette‎

‎La Cousine Bette est le récit d’une vengeance implacable, celle d’une vieille fille, Lisbeth Fischer, qui travaille à la destruction systématique d’une famille – sa famille. Le poison de jalousie et de haine qu’elle distille répand autour d’elle son venin mortifère ; la toile arachnéenne qu’elle tisse empiège ceux qui ont ouvert la boîte de Pandore de ses passions contrariées. Nul ne sortira indemne de ce thriller réaliste, pas même le lecteur de Balzac, plongé dans un monde gangrené par la bassesse humaine et le pouvoir de l’argent. «La Cousine Bette prendra place à côté de mes grandes œuvres,» prophétisait Balzac en 1846. La postérité lui donne raison : premier volet du diptyque des Parents pauvres, ce récit noir de jais est l’une des cimes de la création romanesque du XIXe siècle volume in-8 180x120, joliment relié, en excellent état, 500pp. Paris Garnier 1928/1930 ref/265‎

‎La cousine Bette.‎

‎ 1846 Bruxelles. Librairie encyclopédique de Périchon - Librairie de Tarride. 1846. 4 volumes in-12 brochés, sous chemise et étui. 141 pp. - 163 pp. – 160 pp. – 160 pp. ‎

‎Publié en feuilleton dans Le Constitutionnel fin 1846 puis en volume en 1847, La cousine Bette constitue le diptyque Les parents pauvres avec Le cousin Pons (1847) et feront partie des « Scènes de la vie parisienne ». Cette édition, non mentionnée par Carteret et Vicaire, est une édition populaire belge parue avant l'édition originale françaiseA travers le personnage de la cousine Bette, vieille fille aigrie et envieuse rongée par ses rancœurs et ses jalousies, Balzac explore les fonds obscurs du cœur de l’homme et son pouvoir maléfique contre lequel toute lutte est vaine.Rousseurs marginales.320 ‎