‎Varenne Antonin‎
‎L'artiste‎

‎Manufacture de livres éditions 2019 280 pages 14x20x3cm. 2019. Broché. 280 pages.‎

Reference : 500022651
ISBN : 9782358875295


‎Très bon état- ouvrage issu de destockage jamais lu mais pouvant présenter d'infimes marques de stockage et/ou de manipulation.expédié soigneusement dans emballage adapté‎

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‎Collectif‎

Reference : R300315992

(1986)

‎Romantisme, revue du dix-neuvième siècle - 16e année, n°54 1986 -Etre artiste - L'artiste en questions - L'artiste romantique en perspective - Le roman romantique de la formation de l'artiste - Les notions d'art et d'artiste à l'époque romantique (retour‎

‎C.D.U. & S.E.D.E.S.. 1986. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 128 pages - 2 photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎"Sommaire : Etre artiste - L'artiste en questions - L'artiste romantique en perspective - Le roman romantique de la formation de l'artiste - Les notions d'art et d'artiste à l'époque romantique (retour critique sur l'étude de Georges Matoré) - L'artiste ou l'imposture : le secret du Chef-d'oeuvre inconnu de Balzac - L'écriture de l'artiste dans La Maison du Chat-qui-pelote - Portrait de jeune écrivain en artiste (La ""première"" Education sentimentale) - Etre artiste en 1838 (avec une lettre inédite d'Eugène Delacroix).. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎CARRACHE, Augustin‎

Reference : LCS-18404

‎L’Aretin ou Recueil de postures érotiques, d’après les gravures à l’eau-forte par cet Artiste célèbre, Avec le Texte explicatif des Sujets (par Croze-Magnan). Précieux exemplaire complet des 20 estampes érotiques relié en plein veau de l’époque.‎

‎Première et célèbre édition de l’Arétin d’Augustin Carrache, «le plus artistique des Livres érotiques…» (H. Cohen, col. 88). A la Nouvelle Cythère [Paris, Didot, 1798]. Grand in-4 de 1 feuillet pour le faux-titre (relié à l’époque sans le titre), 10 pp. de préface, (1) f. de table et d’errata, 80 pp. et 20 gravures numérotées à pleine page hors textes protégées par des serpentes, veau fauve marbré, roulette dorée autour des plats, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure de l’époque. 301 x 225 mm.‎


‎Première et célèbre édition de «l’Arétin» d’Augustin Carrache, «le plus artistique des livres érotiques sous le rapport de l’exécution des dessins…» (Cohen, Guide de l’amateur de livres à gravures du XVIIIe siècle. Paris, 1912, colonne 88). Sander, 34; Graesse, I, p. 191. Il est orné de 20 gravures d’après Pierre de Jode exécutées sur les compositions d’Augustin Carrache gravées par Coiny qui ont pour sujet: «Vénus génitrice. Paris et Oenone. Angélique et Médor. Le Satyre et la Nymphe. Julie avec un athlète. Hercule et Déjanire. Mars et Vénus Culte de Priape. Antoine et Cléopâtre. Bacchus et Ariane. Polyenos et Chrisis. Le Satyre et sa femme. Jupiter et Junon. Mescaline dans la loge de Lisisca. Achille et Briséis. Ovide et Corine. Enée et Didon. Alcibiade et Glycère. Pandore. Le Satyre saillissant.» « Avant de parler aux amateurs de l'ouvrage que nous leur présentons, nous allons donner une notice de la vie de deux hommes célèbres ; l'Arétin et A. Carrache. Pierre Arétin, fils bâtard de Louis Bacci, gentilhomme d'Arezzo, naquit vers l'an 1492. Il fit l’essai de son talent poétique par un sonnet contre les indulgences. Il s'attaqua ensuite aux rois, et les outragea avec une hardiesse si brutale, qu'il fut appelé le fléau des princes. »«L'Arétin étoit d'une impudence envers les souverains au delà de toute expression. Il répondit à un trésorier de la cour de France qui venoit de lui payer une gratification : « Ne soyez pas surpris si je garde le silence. J'ai usé mes forces à demander, il ne m'en reste plus pour remercier. » On conte que ce poète satyrique se mit si fort à rire, entendant des discours comiques et obscènes, qu'il renversa la chaise sur laquelle il étoit assis, et qu'en tombant il se blessa à la tête et mourut sur l'heure à Venise, en 1556, âgé de 66 ans. Augustin Carrache naquit à Bologne, en 1560, et devint peintre, comme son frère. «Les gravures de A. Carrache représentant les postures érotiques, étoient devenues si rares, que bien des personnes doutoient de leur existence.» « C'est une circonstance extraordinaire qui les a fait tomber en nos mains. Un officier français de l'armée d’Italie, à son entrée à Venise, fut assez heureux que de pouvoir rendre quelques services à la femme d'un sénateur. Cette dame lui témoigna sa reconnoissance de plus d'une manière ; et entre autres cadeaux, lui donna cette collection, précieuse sous tous les rapports. Arrivé en France, il nous a confié cette œuvre, et secondés de plusieurs artistes, nous nous sommes empressés de la faire connoître au public, qui nous saura gré de lui avoir procuré cette jouissance.» “In 1798, a similar set of engravings were printed known as "L’Aretin d'Augustin Carrache”. D'après les Gravures à l'eau-forte par cet Artiste célèbre (The Aretino of Agostino Carracci, after engravings by that famous artist). lt included various sonnets by Aretino and engravings by Jacques Joseph Coiny based on drawings by Agostino Carracci. Though this edition is often thought of as another edition of I Modi, it bares little resemblance to the original. Though the engravings are very good, there are few similarities between these engravings and the 1550 woodcuts or the Waldeck version of I Modi. One difference of note between L’Aretin d’Augstin Carrache and I Modi is that the engravings in L’Aretin d'Augustin Carrache are all based on mythological scenes whereas the I Modi engravings make no attempt to tone down the eroticism by hiding behind die historical precedent of depicting nudity through mythology (it's not pornographic if the participants are Gods).” «(…) La scène se passe près du port de plaisance La Vigne sur le Bassin d’Arcachon, chez un jeune antiquaire... Les mimosas ont leurs yeux jaunes. Elle entre dans la boutique par curiosité... Le jeune antiquaire lui raconte qu'il est tombé sur un lot exceptionnel de livres anciens ayant appartenu à un vieux Bordelais... Une collection de livres érotiques, dont la moitié est encore dans la malle. Elle fouille, feuillette, a des idées. L’antiquaire lui tend alors un livre qui date de la fin du XVIIIe siècle : « L'Arétin d'Augustin Carrache » publié « A la nouvelle Cythère ». Cet ouvrage contenait 20 gravures dont 19 ont été vulgairement arrachées sûrement pour être vendues à l'unité. Ne subsistent que la dernière, intitulée Satyre saillissant, et le texte anonyme, très imprégné de la littérature érotique du XVIIIe (Les postures érotiques), Crébillon Fils, Rougeret de Monbron, Diderot, Mirabeau... Quand elle m'offre ce livre, aussitôt me vient l'idée de remonter le courant de son histoire, de retrouver les gravures manquantes. J'en découvre un exemplaire complet dans l’Enfer de la Bibliothèque Nationale, accompagné d'une notice biographique de l'auteur du texte Simon-Célestin Croze-Magnan (1750-1818), littérateur, peintre et musicien. J'étais alors persuadé d'avoir fait toute la lumière sur cet ouvrage lorsque, trois ans plus tard, je rencontrai A. qui écrivait un article sur les frères Carracci. Au détour d'une conversation, il me signala qu’Agostino Carracci (1557-1602), bien moins célèbre que son frère Annibale, était cependant l'auteur d'un chef-d’œuvre, Les Lascives, sur lesquelles il cherchait à mettre la main. Je lui dis alors que je possède chez moi les photocopies de ces gravures…» Précieux volume qui a de tout temps suscité de fortes enchères, l’un des rares conservé dans sa reliure de l’époque en plein veau marbré. De la bibliothèque Tissot Dupont avec ex-libris en maroquin.‎

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EUR12,000.00 (€12,000.00 )

‎(WARHOL Andy) TRIVIER Marc‎

Reference : 35392

(1981)

‎Portrait d'Andy Warhol. Photographie Originale tirée par l'artiste.‎

‎Par l'auteur, s.l. 1981-1982, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une planche photographique.‎


‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). Bien des choses semblent opposer Warhol et Trivier. Andy Warhol est l'artiste du multiple, dont l'art nait de la métamorphose de l'artificiel consumériste et se joue de la prolifération de l'identique. Marc Trivier, lui, est un adepte de la rareté, chacune de ses photographies est réduite à quelques rares tirages tous différents par le temps et les variations du développement réalisé par l'artiste. Andy Warhol connait l'importance de l'image qui finit même par remplacer la personne elle-même. Il sait que les hommes jouent des rôles et c'est ce jeu qu'il capture. Ses séries diverses sur Elvis Presley, Marylin Monroe, ou encore Mao, montrent ce passage au statut d'icône qui rend ces êtres humains immortels et qui détruit aussi par là leur humanité pour en faire des images. Les photographies de Trivier accentuent à l'inverse la présence d'un corps pesant et faible dont l'artiste ne peut se débarrasser et qui fait obstacle à sa sacralisation. Fidèles à l'esprit de Warhol, les clichés photographiques que l'on connait de lui le présentent tantôt en star du rock, arborant son perfecto et ses lunettes de soleil à la manière de son protégé Lou Reed, tantôt en artiste excentrique, cheveux ébouriffés, ou simulant un match de boxe contre Basquiat. Chacune de ses photographies est ainsi une savante mise en scène de son personnage, maitrisée à l'excès, image de son image, que le maître de l'icône moderne contrôle entièrement. La photographie de Warhol par Marc Trivier présente une toute autre personne. Déséquilibré par une très légère contre-plongée, et projeté sur une toile noire placée derrière lui et qui découpe la scène en triptyque, le corps d'Andy Warhol semble s'extraire de ce fond obscur, tandis que ses jambes et ses lourdes bottes, légèrement surdimensionnées par la prise de vue, trônent inutiles au premier plan. Surpris par la longue attente que Trivier impose à ses modèles, Andy Warhol fixe le spectateur avec étonnement, comme pris en flagrant délit de désuvrement, impression accentuée par les doigts croisées de l'artiste. Portrait unique d'un artiste qui voulait «être du plastique» et qui, sous l'il deTrivier, révèle sa part d'intimité et la fragile humanité d'un corps sans artifice. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎Jules Janin,etc‎

Reference : 17671

‎L’artiste journal de la litterature et des beaux arts : LE DAGUEROTYPE : NOUVELLE EXPÉRIENCE.etc ‎

‎ Jules Janin, « Le Daguerotype », in L'Artiste. Journal de la littérature et des beaux-arts, 2e série, tome 4. Paris, 1839,2ND SÉRIE, TOME IV, 1RE LIVERAISON [1 SEPTEMBRE 1839]. Paris: Bureaux de l’Artiste, 1839. First edition. 4to.texte à 2 colonnes .IN FOLIO demi basane à coins ,dos lisse romantique orné,tranches marbrées,308p.,30 lithographies et eaux fortes ht reliées in fine avec rousseurs,texte frais ,rare complet.À ce quatrième volume de la deuxième série on peut trouver la première étude détaillée sur le Daguérotype, notices sur l'Exposition du Louvre et l'Exposition de l Industrie et collaboration de Jules Janin, Louis Batissier, Gustave Planche, Jacques-Germain Chaudes-Aigues, Prosper Dinaux (Prosper Goubaux), Louis-René-Antoine Grangier de La Marinière, Pétrus Borel, Eugène Tourneux, Eugène-Augustin-Nicolas Roger dit Roger de Beauvoir, Arsène Houssaye, Léon de Laborde, Louis Batissier, Georges d'Alcy (pseud. de Jules Varnier), Paul Lacroix dit le Bibliophile Jacob, Édouard Bergounioux, Franz Liszt, et al. Dirigé par Hippolyte Delaunay ~ Imprimé sur papier vélin, avec bandeaux, lettrines, culs-de-lampe et vignettes. Ensemble de 18 livraisons, chacune accompagnée d'une ou deux gravures (bois, burin, eau-forte ou lithographie) protégées par serpentes. Table des Matières et Table des Auteurs en fin de texte ~ L'Artiste was a weekly illustrated review published from 1831 to 1904 supplying "the richest single source of contemporary commentary on artists, exhibitions and trends from the Romantic era to the end of the 19th century (Gallica). ‎


‎Jules Gabriel Janin (1804 - 1874) a French writer and critic, published a series of reviews of the newly announced daguerreian process in L’ARTISTE p116 Daguère. Apparently, having attended Arago’s official announcement of the process on 19 August, Janin and others were left confused at the complexity of the daguerreian process. Having read Janin’s critique in the August 25 issue of L’ARTISTE, Daguerre called upon him to witness a demonstration of the process at his studio; at this point, only a very few had had such an opportunity. Daguerre started with polishing the plate and moved through all the steps to prepare for the exposure. The camera had been readied and focused on a view out of the window. After a six minute exposure, the plate was “developed” under the mercury vapors, fixed and washed. Upon viewing the finished plate, Janin commented, “The view looks as if it had been drawn by the hand of the fairy queen Mab.” Janin expressed his regret that Daguerre had not demonstrated his procedureon 19 August, for it would have shown that it was not too complicated, as Arago had made it appear. This review in the 1 September 1839 issue of L’ARTISTE recounts the demonstration. Also see: Gernsheim,Helmut. L.J.M. DAGUERRE: THE HISTORY OF THE DIORAMA AND THE DAGUERREOTYPE, p. 102 - 103.Premier article paru sur l'invention du "Daguerréotype" extrait de la revue "L'Artiste" en 1839. Daguerre découvre ce procédé en 1835. Après des années de perfectionnement, il présente sa découverte à l'Académie des Sciences le 9 janvier 1839. Le brevet de Daguerre est acquis par le gouvernement français, ce qui permet à l'Académie, en publiant les détails du procédé le 19 août 1839, d'en doter libéralement le monde entier.Also see: Gernsheim,Helmut. L.J.M. DAGUERRE: THE HISTORY OF THE DIORAMA AND THE DAGUERREOTYPE, p. 102 - 103. ‎

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‎PERRIER Charles - L'Artiste, Journal de la Littérature et des Beaux-Arts.1855‎

Reference : 27768

(1855)

‎L'EXPOSITION UNIVERSELLE DES BEAUX ARTS 1855- L'Artiste,Journal de la Littérature et des Beaux-Arts. 1855 - en 19 livraisons.-complet‎

‎ 1855 L'Artiste, Journal de la Littérature et des Beaux-Arts.1855- du N°2-13 mai 1855 au 23 septembre 1855,IN4 brochés,19 fascicules en feuilles sous chemises jaunes, très rare,‎


‎PERRIER Charles (1835-1860).- L'EXPOSITION UNIVERSELLE DES BEAUX ARTS 1855, reedité dans PERRIER Charles- ÉTUDES SUR LES BEAUX-ARTS EN FRANCE ET A L’ÉTRANGER hachette 1863 : Il appartint dès lors à ce groupe de brillants écrivains qui prenaient part à la rédaction de l'Artiste et exerçaient une grande influence sur le mouvement des jeunes esprits. Lorsque s’ouvrit en 1855 l’Exposition universelle des beaux-arts, c’est à lui que fut confiée la tâche de juger toutes les écoles contemporaines dont les principales productions se trouvaient réunies pour la première fois dans une seule enceinte. Dans les quelques lignes qu’il écrivit en tête de cette longue et périlleuse revue de l’art contemporain, il a lui-même indiqué avec une grande modestie qu’il comprenait mieux que personne la responsabilité qu’il acceptait. Quelques-uns des articles qu’il composa à cette occasion forment encore une des plus solides parties des œuvres choisies que nous publions.Né à Châlons-sur-Marne, Charles Perrier (1835-1860) publia dans le journal "l'Artiste" puis collabora à la "Revue Contemporaine" ; ses commentaires sur l'Exposition universelle de 1855 et sur l'Exposition de 1857 furent remarqués. dans la présente étude, il évoque notamment les artistes suivants : Ingres, Delarcoix, Paul Delaroche, Ary Scheffer, Horace Vernet, Decamps, Bouguereau, Paul Baudry, Courbet, Biard, Gustave Doré, Yvon, Clésinger, Cornelius, Overbeck, Schnorr de Carolsfeld, Kaulbach, Landseer, Mulready, Leslie, Webster et les Préraphaëlites . ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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