Manufacture de livres éditions 2019 280 pages 14x20x3cm. 2019. Broché. 280 pages.
Reference : 500013386
ISBN : 9782358875295
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Flammarion / document 1997 in8. 1997. broché. 311 pages. François Mitterrand est-il un artiste ? Sa légende noire ses ambiguïtés son non-conformisme en font un personnage romanesque et fascinant. Il a entretenu avec les Français des rapports tumultueux et personnels de la haine à l'amour. Il a fini sous le masque du patriarche au destin tragique redevenant populaire pour la dernière fois à l'instant où il quittait l'Elysée.Pour comprendre la complexité du personnage Alain Duhamel analyse successivement ses rapports avec les Français son culte de l'amitié ses relations avec Dieu la mort l'argent le pouvoir les femmes.Comme beaucoup de grands artistes François Mitterrand s'est écarté des lois de la morale classique de la société sur laquelle il régnait. Dessinant lui-même les contours de sa liberté il a souvent fait passer la fidélité personnelle et le sens de l'amitié avant la rigueur républicaine.Alain Duhamel a bien connu François Mitterrand : il l'a interviewé une soixantaine de fois et rencontré régulièrement en tête-à-tête pendant près de trente ans. Il ne partageait pas toujours ses vues tant s'en faut. Mieux que personne il peut donc tenter de comprendre l'homme et évaluer ses réussites et ses échecs. Sans préjugés et sans tabous ce livre dresse un portrait de l'artiste et tente d'en fixer la place dans l'Histoire Bon Etat
Payot / Portraits intimes 1999 14 5cmx22 1cmx2 3cm. 1999. Broché. 287 pages. Ce qui demeure ou ce qui revient à l'esprit lorsqu'on songe à Louis XIV c'est d'abord cette tentative incroyable de faire rejaillir sur son nom tout ce qui a pu se faire de beau dans son temps comme si c'était lui qui l'avait fait et non Mansart Le Brun Racine et Lully. Avec Louis XIV artiste Philippe Beaussant fait apparaître un Roi-Soleil insolite joueur de guitare et danseur étoile. Imaginatif se rêvant comme un héros de roman ou une réincarnation d'Alexandre le Grand ce roi bâtit Versailles pour y faire la fête et non pour qu'on s'y ennuie il choisit les sujets d'opéra pour s'y regarder comme dans un miroir en Jupiter ou en Apollon Très Bon Etat
[Lucien Clergue / Anne Slacikl / Claude Clarbous] - Michel Butor / Lucien Clergue / Anne Slacik / Claude Clarbous
Reference : DMI-1304
(2006)
Coffret triptyque de trois livres d'artiste d'une grande rareté ou trois invitations au voyage en Amérique du Sud sous la plume de Michel Butor accompagnée de photographies de Lucien Clergue, des peintures d’Anne Slacik et des interventions plastiques diverses de Claude Clarbous. Autant de grandes compositions à pleine page qui laissent s’exprimer tantôt la poésie des corps et la beauté des femmes mexicaines, en noir et blanc, à travers l’objectif du photographe arlésien ; tantôt les nuances de couleurs bleues argentines sous le pinceau d’Anne Slacik ; tantôt les symboles, formes et emblèmes du Brésil dans les découpages et interventions peintes de Claude Clarbous. Ces véritables récits de voyages poétiques et plastiques en Amérique du Sud auquel nous convient l’écrivain et les artistes à travers ces évocations passionnées du Mexique, de l’Argentine et l’Argentine, explorent successivement : Mexico, Patzcuaro, Guanajuato, la route de San Miguel de Allende, la route d’Acapulco, Acapulco, Tuxla Gutierez, le canyon de Sumidero, Texcoco, San Cristobal de la Casas, Ahuatempan ; la Plata, Buenos Aires, Tucuman, Tilcara, la Quebrada, les hauts fourneaux de Zapla, Jujuy, Iguazu ; Belem, le fleuve Guama, Manaus, Rio de Janeiro, Ouro Preto, la mine d’or de Marianna, Bahia. 1. Michel Butor, Entretiens Instantanés / Mexique, deux photographies de Lucien Clergue, Rivières — Lucinges — Arles, novembre 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 8 double f. [32 p.], 27x19cm + emboîtage éditeur bleu. XXIV exemplaires. Exemplaire 1/24 justifié et signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Belle impression sur Arches. Ces poèmes de Michel Butor ont paru en édition originale en 1992, imprimé en tamponnage typographique sur un livre-collage fait à 10 répliques par Bertrand Dorny, puis repris, partiellement, dans le volume XII des Oeuvres complètes, 2010, p.1018. Les photographies de Lucien Clergue qui accompagnent ces poèmes sont des tirages argentiques modernes sélectionnés et réalisés par le maître, dans son atelier arlésien, en collaboration avec Jean-Paul Martin, en 2006, puis soigneusement contrecollés sur feuillet d'Arches. La première photographie est un portrait d’Abril, réalisé au Mexique dans les années 90. Il est reproduit en couverture du catalogue de Portraits réalisé par Lucien Clergue pour les éditions Acte Sud, en 2005. La deuxième photographie est un portrait de femme mexicaine très peu connu et probablement publié ici pour la première fois. Lucien Clergue photographe réalise sept livres d’artistes, avec Jean-Paul Martin, pour les Éditions de Rivières, sur des textes de PAB, René Pons, Patricia Dupuy, Gaston Puel, Michel Butor et Jacques Outin. Tous sont présentés dans notre catalogue EBAY. Meurs est le dernier livre d'artiste auquel Lucien Clergue collabora de son vivant puisqu'il décède en novembre 2014. 2. Michel Butor, Entretiens Instantanés / Argentine, livre peint par Anne Slacik, Rivières — Lucinges — Pompignan, novembre 2006, couverture blanche imprimée à rabats peinte par l’artiste, en feuilles, 7 double f. [28 p.], 27x19cm + emboîtage éditeur bleu. XXIV exemplaires. Exemplaire 17/24 justifié et signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Belle impression sur Arches. Édition originale. Ces poèmes de Michel Butor ont paru également, la même année, à quelques exemplaires manuscrits illustrés par Michaële-Andréa Schatt, puis repris dans le volume XII des Oeuvres complètes, 2010, p.1037-1040. Outre la couverture peinte de bout en bout, Anne Slacik est intervenue dans l'ouvrage dans 15 grandes compositions à pleine page, hors-texte ou in-texte pour enluminer les vers de Michel Butor. Anne Slacik est née à Narbonne en 1959. Elle vit et travaille à Saint-Denis et à Pompignan, dans le Gard. Après des études en arts plastiques à l'Université de Provence, puis à l'Université de Paris I, elle est agrégée en arts plastiques puis enseigne jusqu'en 1990. Prix de peinture de la fondation Fénéon en 1991, elle se consacre entièrement depuis à son art. Outre son importante oeuvre peinte, largement plébiscitée, Anne Slacik excelle dans le domaine du livre peint. À l’été 2003, alors que Jean-Paul Martin s’est déjà fait la main sur une quinzaine de textes inédits de PAB, il sollicite Anne Slacik pour enluminer sept manuscrits de Pierre André Benoit. C’est le début d’une collaboration de 20 ans qui a abouti à la réalisation de soixante-dix-neuf livres peints dont vingt-six sur des textes de Pierre André Benoit pour les seules Éditions de Rivières ! A ce titre, Anne Slacik est la première artiste contemporaine, en dehors du cercle des amis du vivant de PAB, à participer à cette aventure éditoriale foisonnante. 3. Michel Butor, Entretiens Instantanés / Brésil, interventions plastiques de Claude Clarbous, Rivières — Lucinges — Montpellier, novembre 2006, couverture blanche imprimée à rabats peinte par l’artiste, en feuilles, 8 double f. [32 p.], 27x19cm + emboîtage éditeur bleu. XXIV exemplaires. Exemplaire 8/24 justifié et signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Belle impression sur Arches. Édition originale. Ces poèmes de Michel Butor paraissent ici en édition originale. Ils ont été repris dans le volume XII des Oeuvres complètes, 2010, p.1041-1045. L’artiste Claude Clarbous, qui a réalisé une trentaine de livres d’artiste aux Éditions de Rivières, est intervenu dans l’ouvrage à trois reprises sous forme de découpage/collage et peintures originales. Claude Clarbous est un artiste plasticien montpelliérain. Il a réalisé une trentaine de livres d’artiste pour les Éditions de Rivières, sur des textes de Pierre André Benoit, Michel Butor, Gaston Puel, Bernard Teulon-Nouailles, Christian Skimao, Roch-Gérard Salager, Michael Gluck, Régine Detambel, René Pons, Jacques Laurans, Nicole Drano. Il occupe une place toute particulière dans le musée personnel de Jean-Paul Martin qui l’admirait beaucoup. Avec son travail sans cesse renouvelé autour du concept et du mot ciel, l’artiste interroge les notions d’espace, les phénomènes naturels ou culturels de notre temps. Coffret d'une très grande rareté, un nombre infime d'exemplaires ayant circulé. Parfait état de conservation.
C.D.U. & S.E.D.E.S.. 1986. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 128 pages - 2 photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : Etre artiste - L'artiste en questions - L'artiste romantique en perspective - Le roman romantique de la formation de l'artiste - Les notions d'art et d'artiste à l'époque romantique (retour critique sur l'étude de Georges Matoré) - L'artiste ou l'imposture : le secret du Chef-d'oeuvre inconnu de Balzac - L'écriture de l'artiste dans La Maison du Chat-qui-pelote - Portrait de jeune écrivain en artiste (La ""première"" Education sentimentale) - Etre artiste en 1838 (avec une lettre inédite d'Eugène Delacroix).. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Par l'auteur, s.l. 1981-1982, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une planche photographique.
Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). Bien des choses semblent opposer Warhol et Trivier. Andy Warhol est l'artiste du multiple, dont l'art nait de la métamorphose de l'artificiel consumériste et se joue de la prolifération de l'identique. Marc Trivier, lui, est un adepte de la rareté, chacune de ses photographies est réduite à quelques rares tirages tous différents par le temps et les variations du développement réalisé par l'artiste. Andy Warhol connait l'importance de l'image qui finit même par remplacer la personne elle-même. Il sait que les hommes jouent des rôles et c'est ce jeu qu'il capture. Ses séries diverses sur Elvis Presley, Marylin Monroe, ou encore Mao, montrent ce passage au statut d'icône qui rend ces êtres humains immortels et qui détruit aussi par là leur humanité pour en faire des images. Les photographies de Trivier accentuent à l'inverse la présence d'un corps pesant et faible dont l'artiste ne peut se débarrasser et qui fait obstacle à sa sacralisation. Fidèles à l'esprit de Warhol, les clichés photographiques que l'on connait de lui le présentent tantôt en star du rock, arborant son perfecto et ses lunettes de soleil à la manière de son protégé Lou Reed, tantôt en artiste excentrique, cheveux ébouriffés, ou simulant un match de boxe contre Basquiat. Chacune de ses photographies est ainsi une savante mise en scène de son personnage, maitrisée à l'excès, image de son image, que le maître de l'icône moderne contrôle entièrement. La photographie de Warhol par Marc Trivier présente une toute autre personne. Déséquilibré par une très légère contre-plongée, et projeté sur une toile noire placée derrière lui et qui découpe la scène en triptyque, le corps d'Andy Warhol semble s'extraire de ce fond obscur, tandis que ses jambes et ses lourdes bottes, légèrement surdimensionnées par la prise de vue, trônent inutiles au premier plan. Surpris par la longue attente que Trivier impose à ses modèles, Andy Warhol fixe le spectateur avec étonnement, comme pris en flagrant délit de désuvrement, impression accentuée par les doigts croisées de l'artiste. Portrait unique d'un artiste qui voulait «être du plastique» et qui, sous l'il deTrivier, révèle sa part d'intimité et la fragile humanité d'un corps sans artifice. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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