Gallimard 1972 1972. 72
Reference : 400200149
Démons et Merveilles
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( Bibliographie - Bibliophilie ) - Alain Gourdon dit Aslan - Collectif.
Reference : 30922
Bulletin des Amis du Roman Populaire / Revue Le Rocambole n° 16 de 2001. In-8 broché de 176 pages au format 14 x 20 cm. Couverture illustrée. Illustrations. Bibliographie du Roman Populaire Français à l'étranger. Dossier sur l'illustrateur Alain Gourdon dit Aslan. Livre en état superbe, proche du neuf. Edition originale.
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François-René de CHATEAUBRIAND, Joseph FIÉVÉE, Marie-Barthélémy DE CASTELBAJAC, le comte O’MAHONY, le vicomte DE BONALD, l’Abbé DE LAMENAIS, VILLÈLE, Charles-Marie D’IRUMBERRY DE SALABERRY, etc.
Reference : LCS-18520
Le Conservateur a cessé de paraître en 1820, afin de protester contre le projet de loi sur le rétablissement de la censure. Paris, Au bureau du Conservateur, chez le Normant Fils (Rue de Seine), 1818-1820. 6 volumes in-8 de 632, 656 (erreur de pagination entre 93 et 113 - sans manque - conforme aux autres exemplaires), 624, 640, 632 et 640 pages (déchirure en marge de la p. 31 sans manque de texte). Pleine basane racinée, dos lisses finement ornés, pièces de titre et de tomaison en maroquin vert, haut des charnières et deux coiffes frottées. Reliure de l’époque. 200 x 123 mm.
Rare tirage unique et complet de ce périodique «ultra-royaliste» dont Chateaubriand fut le chef de file. Face au succès du journal libéral La Minerve, le parti royaliste ne voulait pas rester désarmé et ses membres décidèrent donc de la création d’un journal qu’ils nommèrent Le Conservateur. Ensemble bien complet de tout ce qui a paru de ce périodique ultra-royaliste dirigé par Chateaubriand et quelques amis liés à la cause monarchique. Soit au total 78 livraisons imprimées d'octobre 1818 à mars 1820. La devise de ce journal est imprimée en exergue de chaque page de titre : "Le Roi, la Charte et les Honnêtes Gens". Cet organe réunit d'octobre 1818 à mars 1820 les meilleures plumes du parti des ultras : le cardinal de la Luzerne, l'abbe de Lamennais, le duc de Fitz-James, le marquis d'Herbouville, le comte de Salaberry, les vicomtes de Bonald et de Castelbajac, Genoude, Berryer fils, etc., Les auteurs dénonçaient principalement la politique du gouvernement d'Armand Emmanuel du Plessis de Richelieu puis celle d'Elie Decazes, accusés de défendre des intérêts révolutionnaires mettant en péril la Charte de 1814. Dans ses Mémoires d'Outre-tombe, Chateaubriand estime que la «révolution opérée par ce journal fut inouïe : en France, il changea la majorité dans les Chambres ; à l'étranger il transforma l'esprit des cabinets». Il rencontra à la fois un vif succès de presse mais aussi d’opinion puisqu’il eut un impact notable sur le public. Le journal fut tiré à trois mille exemplaires lors des premières livraisons, puis il oscilla entre sept mille et huit mille cinq cents à partir de novembre 1818. Il cessa de paraître, lorsque la censure fut rétablie en février 1820 à la suite de l'assassinat du duc de Berry. Cette résolution fut annoncée aux souscripteurs par une lettre de Chateaubriand achevant la 78e et dernière livraison. «En résumé, c'est dans ce recueil justement célèbre, foyer ouvert à tous les regrets, à tous les ressentiments à toutes les exagérations des ultras, qu'il faut surtout chercher la politique royaliste pendant les dix-huit mois qu'il vécut. À sa dissolution, quelques-uns de ses rédacteurs, en tête desquels était Lamennais, fondèrent Le Défenseur, journal religieux, politique et littéraire. 1er mars 1820-11 oct. 1821. 6 vol. in-8°. Cette nouvelle feuille devint le champion ardent, passionné et pour ainsi dire officiel de la philosophie de Lamennais. Il y eut pour collaborateurs MM. de Bonald, Saint-Victor, Genoude, le cardinal de la Luzerne, Lamartine, etc.» (Hatin, Bibliographie historique et critique de la presse périodique française etc., pp. 338-340). «Quant à nous, nous ne craignons rien. Nos principes sont ceux de la religion, de l'ordre et de la justice : tôt ou tard nous triompherons avec ces principes. La vérité renversera toujours l'édifice de l'erreur et du mensonge. Partout où le paganisme avait placé ses faux dieux, le ciel envoya un destructeur ; chaque temple païen vit un Barbare armé à ses portes. La Providence n'arrêta la torche et le levier que quand la race infidèle fut changée : alors une croix s'éleva sur les monuments, et tout fut dit.» (Chateaubriand, extrait du Conservateur). Exemplaire de qualité en reliure de l’époque.
In-8, broché, couverture papier moderne, tranches rouges, 49 p. Paris, Imprimerie nationale, 1791.
Edition originale. Le nouveau tarif qui accompagne le régime de libéralisation du commerce extérieur de la France, par lallégement et luniversalisation des droits de douane. Suivi d'un "Etat des marchandises prohibées à l'entrée et à la sortie du Royaume". (Goldsmiths, 14806). Bon exemplaire, très frais.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
PARIS, A, Ghio, 1875 - Grand in-8 - Broché - 444pp, 10 pp fac-similés in-fine
Réimpression de l'édition de l'imprimerie Nationale des papiers saisis au Tuileries. Elle est entièrement annotée et augmentée de pièces publiées à l'étranger. Le scandale de la 1e édition officielle fit long feu; celleci, donnée en prime par Le Siècle se vendit mieux à cause de son prix modique - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Publications de la Sorbonne, 2000, gr. in-8°, 308 pp, une carte, broché, couv. illustrée, bon état (XXXe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, Göttingen, juin 1999)
Au Moyen Age, cherche-t-on à intégrer l'étranger ou à l'exclure ? Et inversement, comment vivre au Moyen Age en tant qu'étranger ? Lors d'un colloque accueilli par la Mission historique française en Allemagne, une vingtaine de contributions, qui ont trait pour la plupart au Moyen Age tardif, ont tenté de répondre à ces questions. — Où commence l'étranger dans la société médiévale ? Comment y vit-on en étranger ? Peut-on au Moyen Age supporter "l'autre", celui qui n'est pas du village, de la ville où l'on naît et travaille, celui qui ne parle pas la même langue ? Ce sont les questions, si fort d'actualité, qui ont servi de trame aux travaux du XXXe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, accueilli en juin 1999 à Göttingen, lieu hautement symbolique, par la Mission historique française en Allemagne et l'Institut Max Planck d'histoire. Les communications, prolongées par les conclusions d'Otto Gerhard Oexle, font le point sur la manière dont les hommes du Moyen Age concevaient l'altérité. Les pratiques, les institutions, et aussi l'imaginaire ont contribué à faire de l'étranger une figure marquante de l'ordre social. Mobiles par vocation ou par nécessité, marchands, hommes d'armes, hommes d'Eglise, intellectuels et artistes ont suscité et façonné des manières d'être, des lieux de rencontre, des statuts codifiés, mais aussi des comportements de méfiance et de rejet, dans un constant va-et-vient entre exclusion et intégration.