Sans date. 5 RICHARD HOUGH - LA MUTINERIE DU CUIRASSE POTEMKINE
Reference : 400119325
Bon état
Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot
contact@demons-et-merveilles.com
07 54 32 44 40
Rapidité d'envoi Tous nos articles sont expédiés le jour même de la confirmation de la commande Soin de l'emballage Un soin particulier est apporté à l'emballage, vos objets voyagent en toute sécurité. A votre écoute Si toutefois un incident devait survenir lors de l'acheminement de votre paquet, n'hésitez pas à nous contacter, nous mettrons tout en oeuvre pour vous satisfaire, en vous proposant un retour, un remboursement ou toute autre soluton à votre convenance. Professionnalisme Les livres que nous vendons sont pour la plupart des livres anciens, nous tâchons d'être le plus objectif possible quant à leur état.
Pocket 1980 poche. 1980. broché. 187 pages. Bon Etat
Pocket 1980 poche. 1980. broché. 187 pages. Bon Etat
Laffont, 1962, gr. in-8°, 241 pp, 12 pl. de photos et plans du navire hors texte, une carte, reliure pleine toile écrue à large bande carmin, 2 photos contrecollées au 1er plat (rel. de l'éditeur), bon état (Coll. Ce jour-là)
"L'appel s'enfla, repris par de multiples voix : - Procurez-vous des armes et des munitions ! On va s'emparer du navire. C'était le premier véritable appel à la mutinerie, et rien désormais ne pouvait plus sauver le "Potemkine" et ses officiers. Les indécis furent engloutis par cette marée soudaine. Quelque sept cents hommes devinrent comme fous, tous ensemble, et rien n'aurait pu les arrêter, qu'une fusillade. Giliarovsky, le commandant en second, s'en rendit compte. Sans hésiter, il donna au peloton l'ordre de tirer. Semblable en cela à son commandant, il avait une piètre opinion du courage des marins et continuait à croire que le seul bruit des coups de feu allait briser la révolte. Mais il avait sous-estimé l'ascendant des chefs de l'émeute ; les hommes étaient déjà tout entiers en leur pouvoir. Il y en avait qui, sans attendre, se précipitaient vers le spardeck et l'armurerie, tandis que les membres du peloton se refusaient à faire feu : ils craignaient plus la colère de leurs camarades que celle de cet officier désarmé qui leur criait des ordres futiles. Désespéré, Giliarovsky sauta au pas du cabestan et arracha l'arme de l'homme le plus proche : - Alors, vous en êtes, vous aussi ? hurla-t-il à l'adresse du peloton. Obéissez au commandement, sinon... C'est à cet instant que le premier coup de feu claqua et que la première balle siffla au-dessus de sa tête." (4e de couverture)
Laffont, 1962, gr. in-8°, 241 pp, 12 pl. de photos et plans du navire hors texte, une carte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Ce jour-là)
"L'appel s'enfla, repris par de multiples voix : - Procurez-vous des armes et des munitions ! On va s'emparer du navire. C'était le premier véritable appel à la mutinerie, et rien désormais ne pouvait plus sauver le "Potemkine" et ses officiers. Les indécis furent engloutis par cette marée soudaine. Quelque sept cents hommes devinrent comme fous, tous ensemble, et rien n'aurait pu les arrêter, qu'une fusillade. Giliarovsky, le commandant en second, s'en rendit compte. Sans hésiter, il donna au peloton l'ordre de tirer. Semblable en cela à son commandant, il avait une piètre opinion du courage des marins et continuait à croire que le seul bruit des coups de feu allait briser la révolte. Mais il avait sous-estimé l'ascendant des chefs de l'émeute ; les hommes étaient déjà tout entiers en leur pouvoir. Il y en avait qui, sans attendre, se précipitaient vers le spardeck et l'armurerie, tandis que les membres du peloton se refusaient à faire feu : ils craignaient plus la colère de leurs camarades que celle de cet officier désarmé qui leur criait des ordres futiles. Désespéré, Giliarovsky sauta au pas du cabestan et arracha l'arme de l'homme le plus proche : - Alors, vous en êtes, vous aussi ? hurla-t-il à l'adresse du peloton. Obéissez au commandement, sinon... C'est à cet instant que le premier coup de feu claqua et que la première balle siffla au-dessus de sa tête." (4e de couverture)