Presses Pocket 1973 1973. Frank Gill Slaughter - Hopital General / Presses Pocket 1973
Reference : 400113647
Très bon état
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Hospice Général et Bernard Lescaze 17,5 x 24,5 Jaquette en très bon état Couverture rigide Genève 1985 Jaquette et reliure pleine toile éditeur, titre doré, XVI-429 p., 3 illustrations en couleurs et noir&blanc, index, annexes, préface de Jean Imbert. Ouvrage de référence relatant 450 ans de vie et d'actions sociales à Genève, basé sur des recherches d'archives retraçant l'histoire d'une institution qui se mêle étroitement à l'histoire de la Ville de Calvin. Sous la direction de Bernard Lescaze avec la contribution de : Danièle Anex-Cabanais, Des hôpitaux médiévaux à l'Hôpital général de Genève; Micheline Courvoisier, l'Hôpital général et ses assistés. L'Hôpital , ses responsables et ses pensionnaires; Bernard Lescaze, Pouvoirs publics, charités privées. L'Hôpital général dans la Cité au XVIe siècle; Anne-Marie Barras-Dorsaz, Un mode de réporession genevois aux XVIIe et XVIIIe siècles: La maison de Discipline; Liliane Mottu-Weber, Rouets, navettes et dévidoirs à l'Hôpital général de Genève, XVIe-XVIIIe siècle; Anne-Marie Piuz, Poule au pot et pot-au-feu à l'Hôpital général de Genève [1675-1700]; Gabriella Cahier-Buccelli, l'Hôpital général de Genève à une époque charnière [1676-1712]; Livio Fornara & Barbara Roth-Lochner, Un bâtiment neuf pour des ambitions nouvelles. La construction de l'Hôpital général de Genève de 1707 à 1712; Daniel Aquillon, Hélène Chambras, Marie Passant, Georges Parvis...ou le don et l'abandon d'enfants à l'Hôpital au XVIIIe siècle; Laurence Wiedmer, Les moulins de l'Hôpital général de Genève au XVIIIe siècle; Dominique Zumkeller, Les domaines ruraux de l'Hôpital général de Genève au XVIIIe siècle; walter Zurbuchen, L'Hôpital général de Genève au temps de la Révolution et de l'Empire ou l'ère des tribulations; Gabriel Mützenberg, A travers les assistés de l'Hôpital général de Genève, un regard sur la société de 1830; Marco Marcacci, L'égalité des Genevois devant l'assistance: la création de l'Hospice général [1847-1869]; Guy Perrot, L'Hospice général, institution d'action sociale. De 1869 à 1985. Bel ouvrage en excellent état.(C63) Livre
Parfait
Hachette, 1954, in-8°, xv-478 pp, préface de Pierre Gaxotte, 16 gravures hors texte, biblio, broché, bon état
En marge de l’histoire de Port-Royal. Mme de Moysan dirigea pendant 37 ans l’Hôpital général, ancêtre de la Salpêtrière. Sa nomination, imposée par l’archevêque de Paris, entraîna une incroyable pagaille et une fronde des administrateurs. — "Plus que la biographie d'une femme qui pendant trente-sept ans gouverna la Salpêtrière, ce livre est le récit d'un épisode de cette rébellion du Parlement de Paris sous le règne de Louis XV où l'on peut voir en même temps qu'une séquelle du jansénisme l'un des prodromes de la Révolution. L'héroïne, Louise-Urbine Robin était fille d'un marchand de vins de la rue Montmartre. Née vers 1712, selon les conjectures de l'auteur, elle était encore bien jeune en 1727 lorsqu'elle épousa le « marchand-maistre teinturier en soye » Claude Mériel qui mourut peu après le mariage. Elle ne tarda pas à convoler en secondes noces avec le sieur Bénigne Herbert de Moysan, comme elle de bonne bourgeoisie parisienne, et qui, huit ans plus tard, périt dans un accident de voiture. Son veuvage ne fut, dit-on, pas exempt d'aventures, mais, en 1747, une grave maladie la ramena à une vie moins mondaine et, le 12 juillet 1749, quand elle fut appelée à occuper le poste de supérieure de la Salpêtrière, elle portait le cordon du tiers-ordre de Saint-François. Cette nomination, imposée par l'archevêque Christophe de Beaumont en dépit de la majorité du Bureau de l'Hôpital général fut vivement attaquée et déchaîna une campagne haineuse au cours de laquelle se distinguèrent par leur violence et leur mauvaise foi, les “Nouvelles ecclésiastiques”, organe du parti janséniste. Elle fut l'occasion d'un grave conflit entre le Parlement et l'autorité royale. Ce conflit qui eut pour conséquence, entre autres, l'attentat criminel de Damiens contre la personne du Roi, est narré avec minutie et analysé avec sagacité par M. Légier- Desgranges. Tâche difficile et d'autant plus que la perte de documents due au sac de l'archevêché sous la Monarchie de Juillet et à l'incendie de l'Hôtel-de-Ville sous la Commune a singulièrement rétréci le champ des investigations. Pour en revenir à Mme de Moysan, rappelons seulement que cette femme de tête et de cœur, abreuvée de calomnies au début de son supériorat, finit par désarmer ses pires adversaires. Quand elle mourut, le 15 septembre 1776, elle fut regrettée de tous et principalement des pauvres qui avaient vécu sous son administration. M. Pierre Gaxotte, dans sa préface, souligne l'intérêt du livre pour quiconque « voudra étudier les vicissitudes de l'autorité monarchique après la mort de Louis XIV »..." (Ernest Wickersheimer, Revue d'histoire des sciences, 1955) — "Mme de Moysan, qui devait gouverner pendant près de trente ans l'Hôpital général – ancêtre de l'actuelle Salpêtrière – devenu comme une forteresse du jansénisme parisien, avait été imposée comme Supérieure par l'archevêque Christophe de Baumont en 1749 pour y remettre de l'ordre, malgré la majorité du Bureau de l'Hôpital général, à la grande fureur du parti janséniste. D'après les papiers Joly de Fleury, ceux inédits de l'avocat Le Paige, « généralissime occulte de Paris », les “Nouvelles ecclésiastiques”, l'auteur retrace toute la violente campagne qui s'en suivit, avec appel au roi, au Parlement (1751), jusqu'au compromis final." (Paul Leuilliot, Annales ESC, 1956)
1851 Montpellier RICARD 1850/ 1851,in8 br.216p; couv ;imp., envoi autographe auteur, frais
envoi autographe auteur
Marseille, Veuve henry Brebion, 1713. In-12 broché, couverture marbrée muette. (6)-112 pages.
Document de la plus grande rareté portant sur le titre les trois armes : royales, Marseille et la charité. Et la mention de son propriétaire : " Recteur de cet Hopital en 1725 ". Ce Règlement prévoit tout. Au chapitre XLIX : Des Pauvres en général : Pour être reçu dans l'Hôpital en qualité de pauvres, il faut être natif de la ville de Marseille ou son terroir, ou domicilié depuis cinq ans. 2. On ne doit pas recevoir l'homme et la femme mariés, mais seulement l'un des deux et et cela avec le consentement de l'autre qui restera dehors… C'est une litanie incroyable qui fait froid au cœur en sachant surtout que l'Hopital en 1720 fut entièrement vidé pour recevoir les pestiférés…Les statuts et règlements se termine par l'Edit du Roy, en forme de lettres patentes … donné à Versailles au mois de Janvier 1689.
Un ouvrage de 289 pages, format 240 x 180 mm, reliure cuir d'époque, publié en 1766 à Lyon (Imprimerie d'Aimé Delaroche, seul Imprimeur ordinaire de Monseigneur le Duc de Villeroy, de la Ville et de l'Hôpital Général de la Charité), bon état
En annexe : Les Lettres Patentes accordées par Sa Majesté à l'Hôpital Général de la Charité et Aumône Générale de Lyon, au mois de Septembre 1729
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