Fayard 1986 1986. 5 Jean-Marie Pelt - Les Plantes / Fayard 1986
Reference : 400112173
ISBN : 9782213598260
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, , 1929. In-folio de (2) pp.
Pièce dactylographiée datée 20 mars 1929 qui porte les deux signatures autographes de Gaston Doumergue, Président de la République et Aristide Briand, ministre des Affaires Étrangères : Une Conférence Internationale s'étant réunie à Rome en vue de la conclusion d'une Convention pour la protection des plantes, nous avons chargé MM. Maurice Lesage directeur de l'Agriculture et Jules-Michel Saulnier, chef du service de la défense des végétaux et de l'inspection phytopathologique au Ministère de l'Agriculture d'étudier toutes les questions qui font l'objet de cette réunion internationale et, par les présentes, les nommons et constituons Nos Plénipotentiaires à l'effet de négocier, conclure et signer avec le ou les Plénipotentiaires également munis de pleins pouvoirs de la part des Puissances contractantes, tels Arrangement, Convention, Déclaration ou Actes quelconques qui seront jugés nécessaires pour atteindre le résultat désiré. « De la convention contre le phylloxéra signée à Berne en 1878 à la convention internationale pour la protection des plantes de 1929, de nombreux pays négocient et ratifient une série d’accords internationaux pour prévenir la propagation à l’échelle mondiale de maladies et d’insectes nuisibles aux cultures et soulager les agricultures nationales de deux fardeaux. En définissant les pratiques phytosanitaires que doivent mettre en application les services nationaux de protection des cultures, les signataires de ces conventions cherchent d’abord à prévenir l’introduction de nuisances agricoles sur des territoires où elles sont absentes. Ensuite, en normalisant ces pratiques, particulièrement par la conception d’un certificat d’inspection uniforme, ils tentent de supprimer certaines barrières commerciales freinant l’échange international de denrées et de produits agricoles. (…) C’est au cours du congrès international de pathologie comparée, tenu à Paris en octobre 1912, que Louis Dop, délégué de la France à l’Institut international d’agriculture et vice-président de cette organisation, soumet un projet de coopération internationale dans la lutte contre les maladies des plantes. (…) l’Institut international d’agriculture tient la conférence internationale pour la protection des plantes en 1929 et les délibérations donnent lieu à une autre convention phytopathologique que signent vingt-cinq pays ; treize d’entre eux l’auront ratifiée en 1936, et cinq autres y auront adhéré » (Stéphane Castonguay). Cachet à froid. Document précieux pour l'histoire et le développement de la protection des cultures depuis le XIXe siècle.Stéphane Castonguay, Biorégionalisme, commerce agricole et propagation des insectes nuisibles et des maladies végétales : les conventions internationales phytopathologiques, 1878-1929, Ruralia, 16/17, |, 2005.
A Londres et se trouve à Paris, Chez Pierre François Didot jeune, 1775. 4 vol. in-4 de (4)-621 pp. ; (2)- [622] à 976-160 pp. et [193]-52-160 pp. ; (4)-193 pl. ; (4)-[193] à 392 pl., veau havane marbré, dos orné à nerfs, pièce de titre et de tomaison en maroquin blond, double filet d'encadrement sur les plats, filet doré sur les coupes, tranches rouges (reliure de l'époque).
Très bel exemplaire de ce magistral ouvrage orné d'un beau frontispice allégorique et de 392 gravures en taille douce. Fusée-Aublet (1720-1778) débuta sa formation de botaniste chez un apothicaire de Grenade, à Montpellier en suivant les cours de Boissier de Sauvages, puis à Paris ceux du jardin du roi. En 1752, sur proposition du Ministre de la marine la Compagnie française des Indes orientales, l'envoya comme apothicaire compositeur afin d’établir une pharmacie et un jardin botanique à l’Île Maurice où il demeurera neuf ans. Ami de Jean-Jacques Rousseau, Fusée-Aublet ne cessa de dénoncer la condition des noirs esclaves et se fit de nombreux ennemis dans l'île. Dés son retour en France, il fut envoyé en tant qu’apothicaire botaniste du roi à Cayenne. En 2 ans, dans ce pays pratiquement inexploré Fusée-Aublet constitua un herbier considérable qu'ii apporta à Paris en 1765 ; il fit vérifier par Bernard de Jussieu ses descriptions et ses dessins avant de les faire graverFusée-Aublet est considéré comme père de l'ethnobotanique, car ses descriptions des plantes des "Isles" ont la particularité de toujours prendre en compte l'étroite relation qui existaient entre ces plantes et les populations locales qui les connaissaient, les recueillaient, et éventuellement, les cultivaient. Il proposa d'intégrer les appellations "indigènes" des plantes à la nomenclature occidentale.Provenance : bibliothèque du marquis de Vichy avec ex-libris armorié.
Paris, Aux dépens de la Compagnie, 1718. 2 tomes en 1 vol. in-4 de (28)-188 pp. et (2)-208-(16) pp., veau havane marbré, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition d'Amsterdam publiée un an après l'édition originale (Paris, Imprimerie Royale). Illustrée de 88 planches et cartes hors-texte dont 4 dépliantes, et de 45 gravures in-texte, gravées sur cuivre.Joseph Pitton de Tournefort (1656-1718) fut sans doute le plus grand naturaliste de son époque et devint célèbre notamment pour ses travaux de classification des végétaux qui furent publiés dans ses Elemens de botanique en 1694. A la fin du 17è siècle, Tournefort reçut du roi Louis XIV l’ordre de se rendre au Levant et en Afrique. Il quitta donc Paris le 9 mars 1700, accompagné d’un dessinateur et d’un jeune médecin allemand. Il visita Candie et toutes les îles de l’Archipel, Constantinople, les côtes méridionales de la mer Noire, l’Arménie turque et persane, la Géorgie, le mont Ararat et revint par l’Asie mineure jusqu’à Smyrne. Il rapporta de nombreux renseignements sur les moeurs et les coutumes des différentes populations, sur le commerce des lieux visités, la minéralogie, la zoologie et surtout la botanique ; il rapporta une immense collection botanique de quelque huit mille plantes, parmi lesquelles plus de 1300 plantes rares, pour la plupart inconnues en France. L'ouvrage est rédigé sous forme de lettres adressées à de M. de Pontchartrain, qui parraina la mission. Quelques rousseurs.Blackmer, 1318 ; Brunet, V,903.
Nancy, F. Messin, 1762-1770. 100 planches reliées en 1 vol. in-4, (2) ff. de table, veau fauve, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, armes sur les plats, triple filet doré d’encadrement (reliure de l'époque).
Exemplaire unique imprimé pour Étienne-François de Choiseul, principal ministre de Louis XV de 1758 à 1770, relié à ses armes.Suite complète de la "troisième distribution" de 100 planches gravées par A.-J. de Fehrt, Dominique Collin, F.-Louis Fontaine et Claude Fessard pour les quatre premiers tomes du Traité historique des plantes qui croissent dans la Lorraine et les Trois Évêchés de Pierre-Joseph Buch'hoz : « Cette troisième distribution est de 37 planches, qui jointes à 63 qui sont déjà distribuées, sont le quart de celles qui doivent entrer dans l'ouvrage ».Publié à Nancy de 1762 à 1769, le traité de Buchoz parut en vingt tomes accompagnés d'un atlas in-quarto sans page de titre propre contenant 202 planches commercialisées par souscription en 7 distributions successives, après la publication du texte. Les planches furent réalisées aux frais de différentes personnalités dont l'abbé de Besse de la Richardie, Bayard, Chaumont, Durival, Spielmann, etc. ou encore aux frais de la ville de Nancy : contient la carte de la Lorraine, les plans du château et jardin de Lunéville et de Commercy. Pierre-Joseph Buch'oz (ou Buchoz) né en 1731, un temps médecin ordinaire du roi Stanislas, effectua une série de voyages qui le mena en Lorraine, dans le Cantal puis en Europe quand il se voua entièrement à la botanique. Il participa activement à la vie scientifique en étant membre des académies de Metz, Nancy, Angers, Béziers, Bordeaux, Lyon, Rouen, Mayence. Il fut contraint de vendre en 1788 sa bibliothèque de livres sur l'histoire naturelle, et de demander des subventions à la Convention qui finit par lui accorder une pension de 1000 livres. Il mourut à Paris le 30 janvier 1807. Exemplaire unique avec la liste imprimée de "Troisième distribution", relié aux armes d'Étienne-François de Choiseul-Beaupré-Stainville (Nancy 1719 - Paris 1785). Fils de l'ambassadeur du duc François de Lorraine, Choiseul fut lui-même grâce à la protection de Madame de Pompadour, envoyé comme ambassadeur à Rome en novembre 1753, puis à Vienne en 1757. Lieutenant général, Surintendant général des Postes et Relais, il fut en charge du ministère de la Guerre, de la Marine puis des Affaires étrangères jusqu'en 1770. Choiseul, qui était aussi un amateur distingué, mourut à Paris le 8 mai 1785, après avoir réuni une bibliothèque importante et bien reliée.Provenance : Jean-Nicolas Beaupré (ex-libris gravé par E. Thiéry) ; magistrat et historien, Beaupré (1795-1869) fut conseiller à la Cour impériale, membre correspondant de l’Académie de Strasbourg, de la Société des antiquaires de France et l’un des fondateurs de la Société d’archéologie de Lorraine. André Gaspard Parfait, comte de Bizemont-Prunelé, dit Gaspard de Bizemont-Prunelé (ex-libris) né le 31 mars 1752 à Thignonville, mort le 22 décembre 1837 à Orléans, peintre et graveur.Pritzel, 1321 ; Nissen, 292 ; Inventaire du Fonds Français, Graveurs du XVIIIe siècle, tome IX (articles Fehrt, Fessard Fontaine) ; Olivier-Hermal-Roton, pl. 834 fer n°9.
Editions Le Livre / Collection " Le Livre de Bibliothèque " n° 4 de 1923. In-8 broché de 162 pages au format 14 x 19,5 cm. Couverture illustrée. Dos carré insolé. Plats avec bords un peu brunis. Intérieur frais. Exemplaire non coupé. Tirage noté service de presse, imprimé sur bouffant. Complet du catalogue éditeur en fin de volume et de 2 dépliants publicitaires pour la réédition de Monsieur Barbe-Bleue...et Madame de Pierre Mille et Recensement de l'Amour à Paris de Gérard Bauër. Poèmes et Chansons de Franc-Nohain, divisées en 3 parties : Le Jardin des Bêtes et des Plantes - La Ménagerie Mécanique - Nouvelles chansons des Trains et des Gares. Très bel état général. Edition originale enrichie d'une cordiale dédicace autographe, signée, de Maurice Étienne Legrand, dit Franc-Nohain à l'écrivain et traducteur franco-russe, Ilia Halpérine-Kaminsky.
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