Grasset 1953 1953. Ce que je crois - Jean Rostand/ Grasset 1953
Reference : 400086469
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État : Bon état - Année : 1981 - Format : in 8° - Pages : 288pp - Editeur : Grasset - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Dos légèrement plié. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/rl-bruckberger/4039-ce-que-je-crois?lrb
ˮLe scientisme a fait faillite... Il est nécessaire, et même urgent pour un chrétien non pas de changer la substance de sa foi - comme on l'a tenté récemment avec beaucoup de légèreté -, mais d'exprimer cette foi traditionnelle de manière contemporaine... Tel est le but de mon livre. Mes voeux seraient comblés si je contribuais à rendre aux catholiques français la fierté de leur foi...ˮ Ce petit livre sera fort utile pour celui qui doute de la force de la foi catholique et pour celui qui se sens désarmé devant les arguments avancés par les pontifes du scientisme pour affirmer que la foi s'opose à la science. La foi traditionnelle exprimée par l'auteur est non seulement compatible avec la science mais, selon l'auteur, la science confirme la foi.
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État : Bon état - Année : 1927 - Format : in 12° - Pages : 315pp - Editeur : Librairie Arthème Fayard - Lieu d'édition : Paris - Type : Reliure amateur demi-veau brun à dos sans nerf. - Divers : Coins un peu frottés. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/gerard-d-houville/3191-je-crois-que-je-vous-aime?lrb
Un divertissement autour de sept proverbes bien connus développés sous forme de petite pièce de théâtre en un ou deux actes et plusieurs tableaux par Marie de Hérédia, signant Gérard d'Houville, fille de José-Maria et épouse de Henri de Régnier. Première édition sur papier ordinaire établi dans une reliure sobre en demi-veau à dos plat sans nerf.
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FETES ET SAISONS. 1953. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 14 pages. Nombreuses photos en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
SOMMAIRE : Je crois au pardon des péchés / Je crois à la résurrection de la chair / La messe d'enterrement / Je crois à la vie éternelle,etc Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
[Weybridge] 19 août 1898, 13,5x20,5cm, quatre pages sur un bifeuillet.
| « Dans la lâcheté universelle, vous ne sauriez croire combien je suis ému de sentir quelques fidèles autour de moi » | * Lettre autographe signée d'Emile Zola adressée à Octave Mirbeau, datée de sa main du 19 août1898. Quatre pages à l'encre noire sur un bifeuillet. Trace de pli horizontal, inhérente à l'envoi. Publiée dans ses uvres complètes, t. XLIX, éd. F. Bernouard, 1927, p. 808. Superbe missive d'amitié et d'abnégation d'Emile Zola en exil, après avoir été condamné à la peine maximale pour avoir écrit "J'accuse !" Après son historique cri du cur dans l'Aurore, Zola est condamné une première fois par le jury de la Seine le 23 février 1898 à un an de prison et troismille francs d'amende. Le jugement est annulé en cassation, et l'affaire est renvoyée devant les assises de Versailles, qui ne retiennent que trois lignes sur les huit cent que comptent "J'accuse !" comme chef d'accusation. Pour ne pas accepter un tel étouffement des débats, la défense de Zola décida de faire défaut, et la condamnation fut confirmée. Après sa sortie mouvementée du Palais de Justice, Clémenceau et son avocat Labori lui conseillèrent de quitter le pays avant que le jugement ne pût devenir exécutoire. Il partit le soir même par le dernier train, avec pour seul bagage une chemise roulée à la hâte dans du papier journal. Un mois après son départ, l'écrivain rédige cette superbe réponse à une lettre de son fidèle soutien, Octave Mirbeau, qui lui écrit quelques jours auparavant : «Nous ne pensons qu'à vous; il n'est pas une minute de notre existence que vous ne la remplissiez tout entière » (14 août 1898). Installé à Weybridge dans la banlieue londonienne, il reçoit avec colère les"échos de Paris" et enrage de voir Esterhazy encore blanchi, cette fois par la justice civile. « Mon cher ami, Merci de votre bonne lettre[...] Dans la lâcheté universelle, vous ne sauriez croire combien je suis ému de sentir quelques fidèles autour de moi. Mon existence, ici, est devenue possible; depuis que j'ai pu me remettre au travail. Le travail m'a toujours réconforté, sauvé. Mais mes pauvres mains n'en restent pas moins tremblantes d'un frisson qui ne peut finir. Vous ne sauriez croire la révolte où me jettent les échos de France qui m'arrivent. Le soir, quand le jour tombe, je crois que c'est la fin du monde. Vous pensez que je dois rentrer et me constituer prisonnier, sans retourner à Versailles. Cela serait trop beau, d'avoir ainsi la paix de la prison, et je ne crois pas que cela soit possible. Je ne suis pas parti pour rentrer ainsi, notre attitude ne serait ni logique, ni belle. Je crois plutôt que c'est pour moi l'exil indéfini, à moins de courir l'abominable risque d'un nouveau procès. D'ailleurs nous ne pourrons prendre un parti qu'en octobre. Et d'ici là, qui sait ? bien que je ne compte plus que sur un miracle, auquel je ne crois guère. Soyons donc braves, mon ami, et que notre oeuvre se fasse ! Si je puis continuer à travailler, tout n'ira encore pas trop mal. [...] Je vous embrasse vous-même, mon bon ami, l'ami fidèle et rare des jours mauvais» Poignante confession manuscrite de l'écrivain justicier contraint à l'exil. La mort viendra le frapper en pleine gloire, sans qu'il puisse connaître le dénouement de l'Affaire à laquelle il a consacré de longues années de lutte. - Photos sur www.Edition-originale.com -
CERF. 1978. In-8. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 468 pages - Jaquette légèrement abîmée - Quelques rousseurs naturelles. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 234-La foi
Préface de Roger Etchegaray - Table : 1. Le symbole de Nicee hier et aujourd'hui, 2. Je crois, 3. Je crois en Dieu le Père tout Puissant, 4. Créateur du Ciel et de la Terre ... Classification Dewey : 234-La foi