1971 1971. 5 JOHN CREASEY - LA PEINE DE MORT / 1971
Reference : 400063460
Bon état
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I.C.E.M./C.R.A.P.. 1970. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : La peine de mort - Es-tu pour ou contre la peine de mort ? - La peine de mort est-elle humaine ? - La peine de mort n'est-elle pas arbitraire ? - Ceux qui sont ""pour"" - Est-elle efficace ? - La réflexion sur les preuves - Le criminel, un malade ? - Est-il seul responsable ? - Les remèdes - La peine de mort dans les armées - Peine de mort en politique - ... et les conflits de classe - Renseignements - Indications de recherches - Organisation des débats Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
A Paris, chez Pélicier et chez l'auteur, 1827. Un vol. au format gd in-16 (148 x 97 mm) de 2 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol. et 207 pp. Reliure de l'époque de demi-chagrin glacé sapin, dos lisse orné de triples filets dorés, titre doré, toutes tranches mouchetées.
Edition originale rare s'ouvrant sur un portrait lithographié sur fond jaune à l'imitation de Chine figurant l'auteur signé de Capdebos et Langlumé. Exemplaire revêtu au revers du feuillet de garde d'un envoi autographe signé de l'auteur. ''Toute sa vie, ce philanthrope s'occupa de l'importante question de la peine de mort : comme simple pétionnaire, il se présenta à la barre de la Convention Nationale. Il y prononça un discours contre les lois sanguinaires, décalra qu'une loi qui punissait le meurtre par le meurtre était en contradiction avec elle-même, en ce qu'elle ordonnait l'exécution de ce qu'elle condamnait ; il s'écria qu'un innocent eut-il péri par la loi, cela suffirait pour demander l'anéantissement de cette peine irréparable ; son discours fut d'abord couronné de succès, et il obtint le décret qui abolissait la peine de mort : mais deux députés, Rewbell et Lehardy, demandèrent aussitôt, par amendement, que le décret n'eut force de loi qu'à l'époque de la paix générale ; cet amendement fut adopté, depuis la paix générale a été signée, à tort ou à raison, la peine de mort subsiste encore...'' (in Journal des travaux de la Société française de statistique VI, 19). ''Cette époque glorieuse [celle de l'abolition de la peine de mort] sera donc celle où le sang des Français cessera de couler, où la nature reprendra ses droits sur nos coeurs et sur notre vie, où la société pourra retirer quelque dédommagement des services d'un coupable, où la crainte d'une réparation de longue durée sera plus puissante que la vague perspective de l'échafaud. Non seulement, la peine de mort est atroce contre l'assassin même, puisque la loi qui est impassible doit le punir sans l'imiter, mais encore, elle manque son objet. J'ai souvent entendu dire que l'espoir de s'échapper ôterait à la prison d'un assassin toute son horreur. Mais quoi ! ne suffit-il pas à la société de l'empêcher de nuire ? Doit-elle, conservant des sentiments de vengeance, envier à un misérable, ce sentiment d'espérance ? ou plutôt, pourquoi ne met-elle pas en parallèle le malheur journalier qu'il éprouve de voir sans cesse ses espérances déçues, et de se sentir invinciblement accablé du poids de la société entière. Vous craignez qu'il ne s'échappe : rendez vos prisons plus sûres, exercez une exacte surveillance. Si nos prison ne rendent pas les coupables meilleurs, c'est peut-être le régime intérieur des cachots qu'il faut en accuser. Vous avez sans doute aperçu à combien de résultats heureux doit aboutir l'abolition de la peine de mort, elle porte les citoyens à respecter davantage la vie les uns les autres, elle rend l'assassinat plus odieux, en supprimant les bourreaux, elle rend les crimes plus rares en rendant les lois plus douces. Telles sont les vérités que vous avez développés dans votre ouvrage. Il est plein d'une érudition solide, il est remarquable par la justesse de ses principes, par la force du raisonnement, par la chaleur du style. Il vous attachera les philanthropes de la France et de tous les pays.'' Quérard X, La France littéraire, p. 12. Quelques frottements affectant la reliure. Quelques rousseurs dans le texte (davantage marquées aux premiers et derniers feuillets). Petite déchirure (sans manque) affectant la marge supérieure d'un feuillet. Nonobstant, belle condition. Rare.
[Chez Plancher, Eymery, Delaunay] - MEJAN, Maurice ; TH*****, L. ; [ THIESSE, Léon ]
Reference : 44691
(1816)
6 titres en 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-veau rouge, marqué en dos "Procès divers, II" : Procès du Contre-Amiral Comte Durand de Linois, gouverneur de la Guadeloupe, et de l'Adjudant-Commandant Baron Boyer de Peyreleau, Commandant de la même colonie. Tous deux prévenus de s'être rendus coupable de crimes prévus par le Code pénal militaire ; suivi du jugement de la mise en liberté de l'Amiral Linois, et de la condamnation à la peine de mort, de l'Adjudant-Commandant Boyer, Chez Plancher, Eymery, Delaunay, Paris, 1816, 1 f., 93 pp. [ Suivi de : ] Procès du Maréchal-de-Camp Rigau, Contumax, et du Capitaine Thomassin, Commandant de la Gendarmerie à Châlons ; Contenant la séance du deuxième Conseil de la 1re division militaire, les pièces du procès, la lettre du capitaine Thomassin au général Lallemand, et son discours ; les conclusions du rapporteur, le jugement qui condamne à la peine de mort et aux frais du procès le général Rigau, et qui acquitte le capitaine Thomassin [ Suivi de : ] Histoire du procès du Maréchal de Camp Bonnaire et du Lieutenant Miéton, son aide de camp, par Maurice Méjan, Chez Plancher, Eymery, Delaunay, Paris, 1816, 1f., 172 pp. [ Suivi de : ] Procès du Lieutenant-Général Comte Drouot, précédé d'une Note historique sur cet Officier-Général et orné de son Portrait,, frontispice, viij-63 pp. [ Suivi de : ] Procès du Maréchal-de-Camp, Baron Cambronne, précédé d'une notice historique très détaillée, sur la vie et le caractère de cet Officier-Général, par L. TH*****, Chez Plancher, Eymery, Delaunay, Paris, 1816, 2ff., 80 pp. [ Suivi de : ] Procès du Maréchal-de-Camp, Baron Debelle, Officier de la Légion d'Honneur, Contenant la séance du Conseil de guerre permanent de la 2me division militaire, les pièces du procès, le plaidoyer de Me Berryer, les conclusions du rapporteur, le discours du général Debelle, le jugement qui le condamne à la peine de mort, et la commutation de cette peine en une détention pendant dix ans ; précédé d'une Notice historique sur ce général, Chez Plancher, Eymery, Delaunay, Paris, 1816, 2ff., 36 pp.
Très intéressant recueil rassemblant 6 importants compte-rendus de procès d'officiers condamnés pour leur ralliement à l'Empereur durant les Cents Jours, dont ceux du Comte Durand de Linois et du Baron Cambronne.
Imprimeur de la Reine Couvertures souples Ottawa 1965
Très bon 2 volumes in-8. 145 et 173 pages. 1965 et 1972. Ex-libris d'un ancien propriétaire. Rapports exhaustifs sur la peine de mort au Canada et à l'étranger. La peine de mort sera complètement abolie au Canada en 1998.
Genève, De l'Imprimerie Gruaz, 1831 in-12, 245 pp., broché.
Suivi de :- Récapitulation sommaire des observations de M. de Sellon sur l'ouvrage de M. Urtis, intitulé Nécessité du maintien de la peine de mort, pouvant servir de table raisonnée des matières. Genève, 1831, 33 pp.Jean-Jacques de Sellon (1782-1839) est l'un des précurseurs de l'esprit de Genève. Enfant, il part en Italie où très tôt, il est frappé par le fait que l'abolition de la peine de mort en Toscane n'ait pas augmenté le nombre de crimes commis. A son retour d'Italie, il étudie la littérature juridique et théologique sur la peine de mort. Après la restauration de la République de Genève (1814), il entre au Conseil représentatif et souverain en 1816 où il pense pouvoir y défendre sa cause. Il veut aussi sensibiliser l'opinion publique en publiant de nombreux ouvrages et en 1826, il organise un concours sur la question de l'abolition de la peine capitale.Convaincu de "l'inviolabilité de la vie humaine", il lutte également contre l'esclavage et pour le maintien de la paix entre les nations. En 1830, il crée la Société de la paix. Il meurt en 1839. En 1871, le Grand Conseil Genevois vote l'abolition de la peine de mort. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT