Hors Collection 2005 124 pages 27x26x2cm. 2005. Broché. 124 pages.
Reference : 32918
ISBN : 9782258068865
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Démons et Merveilles
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Montsouris Collection Rustica. 2013-2014. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non Renseigné. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Lindbergh + demarchelier, shooting de reve a long island- salgado pour tout l'amour du monde- raffarin la droite douce- johnny + lelouch rock'n'role- gagnaire jusqu'au gout de ses reves- smartphoto, big business- Aux portes de l'europe, ces millions de refugies- la tunisie a l'epreuve, 5 femmes au bord de la crise... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Hors Collection 2005 In-4 broché 26,8 cm sur 26,4. 104 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
LIBRAIRIE PLON. JANVIER 1960. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 189 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : MICHEL DÉON : Tout l'amour du monde (II).HENRY JAMES : Le banc de la désolation.JEAN GUITTON : Esquisse pour un portrait d'Henri Bergson.ESPAGNE 59 (II).ROMANS ET POÉSIE J.-L. VAZQUEZ-DODERO : Introduction au roman espagnold'aujourd'hui.PANORAMA DU ROMAN ESPAGNOL parI. AGUSTI — C.-J. CELA — M. DELIBES — M. HALCON S. JUAN-ARBO — C. LAFORET R. LEDESMA-MIRANDA — A.-M. MATUTE A. PRIETO — J.-A. DE ZUNZUNEGUI JOSÉ HIERRO : Poésie espagnole d'aujourd'hui.FEDERICO SOPEÑA : La musique et la jeunesse espagnoled'aujourd'hui.CLAUDIO BARBATI : Le Prix Nobel à Salvatore Quasimodo.CHRONIQUESparJEAN CAZENEUVE — GEORGES COLLAR ROGER DARDENNE — JEAN DORESSE RENÉ LOUIS — JACQUES MADAULE — PIERRE SIPRIOTLe Théâtre, par HENRI GOUHIER Journal d'un écrivain, par EMMANUEL BERL Vérités littéraires, par ANDRÉ THÉRIVE Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
O.C.F.C.. 07-1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 28 pages.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma
Bi-mensuel. Critique, résumé et points de vue personnalisés de films. Filmographie de TERENCE HILL. Entretien avec JEAN GIRAULT. Classification Dewey : 791.43-Cinéma
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".