Ponte Mirone éditions 1977 80 pages 1977. 80 pages.
Reference : 300029442
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[Carouge], Editions Passé Présent, 1997. In-4 de 143 pages, couverture photographique à rabats.
Nombreuses illustrations in-texte en noir. Publié à l'occasion du 150e anniversaire de la création de l'école supérieure de jeunes filles. "Un récit-recherche lucide qui débusque le but premier de cette éducation: fournir à la société de jeunes filles lettrées, mais pas trop, des épouses parfaites en quelque sorte. Un récit qui montre aussi une éducation paradoxalement prise au sérieux par la Genève du savoir, puisque nombre de professeurs d'université réputés ont enseigné dans cette école. Une introduction d'Yvette Z'Graggen, volée 1939, qui a oublié les cours de couture, mais se souvient de certains enseignants qui lui ont donné, entre autres, le goût de la littérature" [In Femmes suisses - Octobre 1997].
EnsAD / Archibooks 2001, fort et grand in/8 broché de 493 pages. Illustrations en couleurs et en noir.
"Cet ouvrage retrace l’histoire de l’ENSAD à partir de 1941. Avant la Seconde Guerre mondiale, l’École nationale supérieure des arts décoratifs (Ensad) a acquis une place enviée, ses résultats sont appréciés et reconnus, mais elle n’a pas l’aura et l’autorité de l’École des beaux-arts dont elle est devenue la concurrente. Cette histoire des différentes restructurations de l’école, des changements d’enseignement, à la fois par les matières enseignées et les méthodes, nous livrent en creux une histoire des arts décoratifs au xxe siècle, quand la décoration devient design, quand naît l’architecture d’intérieur. L’Ensad épouse les évolutions de la société. Elle s’adapte aux redéfinitions des métiers en remaniant sans cesse son enseignement réputé expérimental et en anticipant la révolution informatique avant toutes les autres écoles d’art."
Fayard 2003, fort in/8 de 413 pages
"Si Marie Pape-Carpantier (1815 La Flèche-1878 Villiers-le-Bel) a donné son nom à quelques écoles et à une rue de Paris (dont l'orthographe est inexacte), elle fait partie de ces femmes injustement oubliées alors qu'elle a joué un rôle fondamental dans l'enseignement. Surveillante à ses débuts d'une " salle d'asile " - qui deviendra l'école maternelle -, elle publie d'abord des poèmes qui sont remarqués par Lamartine et lui valent l'amitié de Marceline Desbordes-Valmore et de Béranger. Dans son premier ouvrage pédagogique - elle en écrira une vingtaine, ainsi que des livres pour la jeunesse -, elle révèle " le secret des bons instituteurs ". Le succès est tel qu'elle est nommée directrice de l'École normale maternelle créée par la Révolution de 1848. Elle se bat pour que l'école des tout jeunes enfants soit plus qu'une garderie : amélioration matérielle de la classe, importance de la leçon de choses, de l'éveil, de la gymnastique. Ses livres remportent différents prix, dont celui de l'Académie française, influent sur la politique du ministre de l'Instruction publique Victor Duruy et retiennent l'attention de Victor Hugo. Marie Pape-Carpantier s'attache aussi à défendre la condition féminine : elle est la première femme qui prit la parole à la Sorbonne. Inspirée par la franc-maçonnerie et le fouriérisme, elle ne cessa de défendre une idée progressiste de l'enseignement. Considérée par ses adversaires comme une libre penseuse, elle fut finalement limogée en 1874. Ses concepts très modernes pour son époque font d'elle une pédagogue à redécouvrir."
Moulins, P.A. Desrosiers, s.d. [1853] ; in-8, 8pp. Couverture muette. Cul-de-lampe gra vé sur bois in fine.
Rarissime plaquette publiée au profit de l'Hôpital de Chantelle, relatant de la destruction du village d'Ecole (aujourd'hui Mayet d'Ecole, près de Gannat), par les troupes protestantes qui, après leur victoire sur les catholiques à la bataille de Cognat, causèrent mille dommages à toute la région.
La Martinelle, collection "le paysage français au XIXe siècle, l'école de la nature", 1985, 383 pp., relié, jaquette, bon état.
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