Fayard 2006 435 pages 15 0cm x 23 5cm x 3 2cm. 2006. broché. 435 pages. Au muséum d'histoire naturelle de Paris les éminences scientifiques sont en émoi : une météorite antérieure à la création du système solaire apporterait la preuve de l'origine extra-terrestre de la vie. La découverte pourrait remettre en question l'existence même de Dieu ! Darwinisme et créationnisme s'opposent à nouveau violemment. Au même moment la météorite disparaît et une série de crimes rituels vient bouleverser l'institution. S'agit-il d'un psychopathe d'une vengeance d'un complot ? Véronique Roy bibliothécaire archiviste a passé plusieurs années au Muséum d'histoire naturelle de Paris microcosme dont elle connaît parfaitement les coulisses et les acteurs
Reference : 19616
ISBN : 9782213629810
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Lugduni Batavorum (Leiden), Ex Officina Elzeviriorum, 1655. Folio. 18th century full calf with gilt spine. Gilding worn and some overall wear to boards, but fine and tight. Capitals restored. Internally very nice and clean, with just a bit of light brownspotting to the first and last leaves (dedication and index). Generally unusally nice, clean, and crisp. A small discreet stamp (Doublette der L.U. Bibl. Erl.) to title-page and a neat contemporary owner's inscription. Good margins. Bound without the portrait, which is often the case. Otherwise complete, with the magnificent double-page engaved plate showing the interior of the museum by Wingendorp, 11 beautiful engraved illustrations (one of which consisting in two illustrations), two of which are full-page (one being the famous one of the horn), and numerous lovely, and elaborate woodcut illustrations in the text. Woodcut title-vignette, woodcut vignettes and initials. Title-page, (4) pp. of dedication, (6) pp. of preface and index, double-page plate, 389, 3 (index) pp. A lovely copy, rarely seen in such nice condition.
The scarce first edition of this monumental work in early modern museum literature, constituting the catalogue of the first Danish museum and one of the most important cabinets of curiosities in Europe. The magnificent double-page engraved plate depicting the interior and outlay of the museum is one of the most well known and famous illustrations from any ""Wunderkammer""-book, iconographically summizing what we understand by the genre.The Museum Wormianum was filled with preserved animals, horns, tusks, skeletons, minerals, as well as various man-made objects that Worm found equally fascinating and interesting, either due to their age, their beauty, the wonder of their execution, their being exotic, etc., many of them depicted here in the finest manner. The text of the ""Museum Wormianum"" is divided into four books, the first three dealing with minerals, plants, and animals respectively. The fourth comprises man-made objects, e.g. archeological and ethnographical items, coins and some original works of art. This, Worm's magnum opus, is not merely a catalogue of the numerous wondrous items in the collection, however, it is a scientifically based scholarly work that also contains references to, and quotations from, other writers. The famous Danish doctor, Ole Worm (1588-1654), who was professor of medicine throughout the last thirty years of his life, had become professor of physics in 1621. Already the year before, in 1620, had he begun the famous collection that would become one of the greatest cabinets of curiosites in Europe (and one of the first museums) and which would earn him the position as the first great systematic collector (within natural history) in Scandinavia. It was his then newly begun collection that enabled him, as professor of physics, to introduce demonstrative subject teaching at the university, as something completely new. He continued building and adding to his magnificent collection, now known as ""Museum Wormianum"", throughout the rest of his life. Worm used his collection, not only in his teaching (for which he was famous), but also as a starting point for his speculations on philosophy, science, natural history, etc. He is responsible for many great discoveries, e.g. for identifying the narwhal's tusk as coming from a whale rather than a unicorn, as was generally believed at the time. As was also the case with other great cabinets of curiosities, the ""Museum Wormianum"" greatly served scientific advancement, not least when the images of its content were printed, as they were here, in 1655.As Worm visited other famous cabinets of curiosities, so many foreign visitors came to see his, which was famous throughout Europe. After his death, the collection was bought by the Danish King, Frederik III, and was thus included in Det Kongelige Kunstkammer (The Royal Art Chamber). The collection is now in Statens Naturhistoriske Museum (Natural History Museum), which in November 2011 famously reprodced the ""Museum Wormianum"", from what they could see it looked like on the great double-page plate in the fabulous catalogue, as a permanent exhibition. The magnificent folio catalogue of the collection was edited and seen through press by Worm's son Willum and was published by the Elzeviers. Willems 772" Paul Grinke: From Wunderkammer to Museum: no. 75.
Broché très bon état .Contenu propre. 200 pages . 1994. Ten major museums of Shaanxi: Shaanxi History Museum : Museum of Qin Shi Huang Terra-cotta Army Vaults : Xi'an Museum of Steles : Banpo Museum : Xianyang ... Temple Museum : Yaozhou Kilns Museum. PHOTOS SUR DEMANDE
169 superbes roses dessinées par Redouté rehaussées avec un grand raffinement de coloris très délicats à l’époque. Paris, de l’imprimerie de Firmin Didot, Imprimeur du Roi, 1817-1824. 3 volumes in-folio de I/ 156 pp., 1 portrait hors-texte, 1 frontispice colorié, 56 estampes en couleurs hors-texte, (1) f. de table; II/ 122 pp., 59 estampes en couleurs hors-texte, (1) f. de table; III/ 125 pp., 54 estampes en couleurs hors-texte, (1) p. d’errata, (1) f., pale mouillure en fin du volume 3 n’affectant pas les estampes. Demi-maroquin rouge à coins, dos lisses ornés de filets dorés et roulette estampée à froid formant faux-nerfs, grands fleurons dorés à la rose. Reliure de l’époque ornée de roses. 368 x 270 mm.
[video width="1678" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/03/Video-REDOUTE.mp4"][/video] Édition originale du livre légendaire de celui qu’on surnomma le « Raphaël des fleurs» et l’un des plus beaux recueils sur les roses. Dunthorne 232; Hunt, Redouteana 19; Nissen 1599; Pritzel 7455; Ray, French, 89; Stafleu TL2 9748. Elle fut publiée en trente livraisons de 1817 à 1824. Notre exemplaire, relié avec le portrait de Redouté par Gérard, est orné de 170 estampes en couleurs (169 + le frontispice) alors que Dunthorne et Nissen annoncent 168 estampes outre le frontispice. Great Flower Books précise: “Some copies contain 168 plates only, plus the frontispiece”. Cet ouvrage mythique, l’un des plus beaux livres de fleurs imprimés, est aussi l’ouvrage artistique de référence dont les planches furent le plus souvent reproduites dans tous les ouvrages importants de botanique. La qualité artistique des merveilleux dessins de Redouté s’allie à une science anatomique de la fleur et a une fraîcheur de coloris aujourd’hui encore inégalée. Dans l’introduction de l’édition en fac-similé de Schutter, Sir George Taylor note l’appréciation de Gisèle de La Roche: « Redoute and Thory knew, described and figured all the important roses know, in their day. Included were many of the key ancestors of our present day roses. The plates in « Les Roses» have artistic value botanical and documentary value, both for the species and cultivars stiel surviving and for those that have disappeared... » L’illustration se compose d’un portrait de Redouté gravé par Pradier d’après Gérard, d’un frontispice orné d’une couronne de fleurs, gravé par Charlin d’après Redouté, et de 169 planches dessinées par Pierre-Joseph Redouté, gravées au pointillé par Bessin, Chapuy, Langlois, Victor, Lemaire, Charlin et d’autres et imprimées en couleurs par Rémond. Reconnu très jeune pour ses talents de peintre de fleurs, Redouté obtient en 1788 le titre de dessinateur du Cabinet de Marie-Antoinette. Attaché pendant la Révolution au Museum d’histoire naturelle comme dessinateur de botanique, il délaisse la gouache employée jusqu’alors pour les vélins du Muséum pour l’aquarelle. Professeur de dessin de Joséphine de Beauharnais, il est nommé en 1805 «peintre des fleurs de l’impératrice» et c’est à la Malmaison qu’il exécute les premiers dessins destinés à cet ouvrage. Pour mener à bien cette luxueuse publication, Redouté utilise la gravure au pointillé. Mise au point vers 1785 par Francesco Bartolozzi, qu’il avait rencontré à Londres, cette technique, à la fois minutieuse et fastidieuse, revient à graver la plaque d’une multitude de minuscules points. L’imprimeur applique ensuite toutes les encres sur la plaque, «à la poupée» (le doigt entouré d’une bandelette d’étoffe), avant de procéder au tirage de la planche en un seul passage. Chaque planche est ensuite rehaussée à l’aquarelle et parfois à la gomme arabique. Dans son avant-propos, Redouté évoque brièvement ce procédé, qu’il semble ne pas vouloir divulguer, consistant «dans l’emploi de ces mêmes couleurs, sur une seule planche, par des moyens qui nous sont particuliers, et que nous nous proposons de publier un jour. C’est ainsi que nous sommes parvenus à donner à nos gravures tout le moelleux et tout le brillant de l’aquarelle». «Les fleurs de Redouté sont admirables tout à la fois par une exactitude parfaite sous le rapport de la science botanique par l’éclat des couleurs et par la délicatesse et la légèreté de la touche. C’était merveille de voir les mains qui créaient ces chefs-d’œuvre» (André De Voes, Biographie de P.-J. Redouté. Gand, 1873, p. 14). Les rosiers sont classés en trois groupes : les rosiers sauvages, connus dès l’Antiquité, tels l’églantier et le rosier toujours vert; les rosiers du moyen-âge, comme le rosier blanc et le rosier fétide; enfin, les rosiers plus récents, créés à l’époque de Redouté à partir d’espèces importées d’Asie. « Les Roses » demeure l’œuvre de grande délicatesse et d’un raffinement inégalé dont le nom reste attaché à celui de l’artiste. « So well known that it seems almost superfluous to add any more praise after nearly a hundred and fifty years of honours » Stafleu. Le format in-folio de cette belle édition permet pleinement à l’artiste d’exprimer la somptuosité et la délicatesse de ces roses anciennes qui enchantaient les roseraies de Versailles ou de Bagatelle. En 170 estampes qui composent autant de tableaux d’un grand raffinement revivent ces roses moussues, centifolia, gallica, alpina, multiflora, indica, rubufolia, dont les teintes exquises ont été rehaussées à l’aquarelle sous les yeux de Redouté en des coloris magnifiques et subtils, du rose le plus délicat au carmin le plus chaleureux ou au pourpre violacé. Précieux exemplaire bien complet des 171 estampes en somptueux coloris de l’époque. Au cours de ces dernières années trois autres exemplaires de qualité sont répertoriés sur le marché : 1/ Sotheby’s, 15 mars 2000, lot 67: «contemp bds, edges uncut; vorn, spines discolored & chipped, covers spotted. With port, engraved frontis & 169 plates ptd in colors & finished by hand. Some spotting, mainly to text. L.p. copy measuring 555 mm by 350 mm. £276,500 ($440,000 avec frais). 2/ Piasa, 5 décembre 2009. 170 estampes sur 171, sans le portrait. 367 x 270 mm. Petite éraflures à la reliure. Piqures marginales à plusieurs feuillets de texte, très pales rousseurs au frontispice. Une planche un peu abimée dans la marge sur 0,5 cm et déchirures marginales restaurées de 1 à 2 cm à 2 planches en noir et 3 en couleurs. Suite des gravures en deux états : 223056 € avec frais. 3/ Sotheby’s New York, 18 juin 2004; complet, avec deux états des gravures. « Contemp half mor gilt ; extremities worn, part of spine of Vol I detached. With port, engraved frontis & 169 plates ptd in colors & finished by hand & with a 2d suite of plates in black on ochre paper. Mainly marginal spotting & foxing. (Sotheby’s New York, June 18, 2004, lot 324, $390,000 avec frais). Superbe exemplaire, l’un des derniers répertoriés en reliure de l’époque «à la rose dorée».
Turnhout, Brepols, 2003 Hardback, 432 p., 60 b/w ill. + 300 colour ill., 230 x 315 mm. ISBN 9781872501192.
The Philadelphia Museum of Art is renowned for its world-class collections, and the medium of stained glass was already recognized as an integral part of these collections since the time of the museum's establishment in 1876. It was in that year that the first stained glass window was purchased for the original building in Fairmount Park - Memorial Hall - and the acquisition of stained glass has played a significant role in the development of the museum ever since. Medieval glass in particular, displayed as it now is in the context of the museum's medieval installations, has enhanced both the appreciation as well as a deeper understanding of the art of the Middle Ages. The present volume, Part VI/1 of the series Corpus Vitrearum USA, illustrates and catalogues in great detail the entire holdings of more than 140 stained glass panels now in the Philadelphia Museum of Art. The collection is wide-ranging in both date and origin of production : it includes panels of high quality from the early thirteenth to the seventeenth century, and from a number of different countries and regions. Pride of place among the items catalogued are the large-scale ecclesiastical windows from France, the most precious of which are the three stained glass medallions commissioned in mid-thirteenth century by Louis IX for his palace chapel in Paris, the Sainte-Chapelle. Of equal importance is the holding of English armorial glass, considered to be the most extensive collection in the United States, while from the North and South Lowlands, the museum also owns an interesting group of unipartite glass panels. The author, Dr Renee Burnam, provides an exceptionally detailed and well-researched catalogue entry for each panel, and gives not only a full description of its iconography, style, technique and condition, but introduces every item with a lengthy account of the history of the glass, enlivening her text with a wealth of comparative illustrations. In addition to the main body of the catalogue, Dr Burnam also provides shorter descriptions of the figural glass acquired by the museum in 1945 from the estate of George Gray Barnard and of a group of composite heraldic glass, either altered or dated after 1700; and finally she includes entries for further unipartite panels either damaged, fragmented or dated post-1700. Furthermore there is a most interesting and useful Appendix listing de-accessioned glass that had been acquired earlier in the museum's history. How this substantial collection of stained glass was formed is the main theme of the author's Introduction to this volume. She traces the acquisitions, gifts and bequests from the time of the founding of the museum and shows how the present collection benefitted from the enterprise and discernment of successive museum directors and curators, and how great the contribution has been by the many generous collectors, donors and benefactors. All catalogued panels are reproduced in colour and juxtaposed with their relevant restoration charts. The volume also includes a Glossary, an exhaustive Bibliography and a comprehensive Index. Languages : English.
[Muséum d'Histoire Naturelle de Bordeaux] - Collectif ; Muséum d'Histoire Naturelle de Bordeaux ; ROCHER, Philippe ; CHAPIN-AUDINET
Reference : 62340
(1982)
10 vol. à savoir 7 vol. petit in-8 br.,Muséum d'Histoire Naturelle de Bordeaux : Quand vivaient les Dinosaures... 1982, 31 pp. - Quels étaient les Animaux de la Préhistoire ? à Pair-non-Pair, en Gironde, 1986, 101 pp. - Ver à Soir. Vers la Soie, 1990, 101 pp. - Bois et Cornes, 1991, 53 pp. - Centenaire de "Miss Fanny". Eléphant au Muséum, 1992, 59 pp. et 2 vol. in-4 br., Document pédagogique destiné aux enseignants : La Chauve-Souris ... et l'Homme, 1991 ; Animaux des Amériques 500 ans de découvertes, 1992 ; Muséum de Bordeaux, par Chapin-Audinet, L'Horizon Chimérique, 1990, 15 pp. [ Livre dédicacé par l'auteur ]
Bon ensemble, non séparable.