Paris, Conquet, 1888. In-4, broché couverture rempliée, faux-titre, titre, XV, 371 pp. Tirage limité numéroté à 700 exemplaires, celui-ci étant un des 500 sur vélin du Marais portant le numéro 557. Ouvrage illustré d'un portrait de l'auteur en frontispice et de 33 eaux-fortes in et hors texte par C. Delort. Exemplaire en partie non coupé. Intérieur frais. Couverture piquée et tachée.
Reference : DEZ-3862
Philibert de Grammont ou Gramont (1621-1707). Compromis pendant La Fronde il s'exila à Londres où il se maria avec Elizabeth Hamilton. Il fournit à quatre-vingts ans à son beau-frère Antoine Hamilton le matériau de ses Mémoires. Une fois ceux-ci écrits, il vendit le manuscrit pour 1500 francs. Fontenelle, censeur de la presse, refusa de laisser paraître un ouvrage où les défauts de Grammont étaient si crûment exposés, mais Grammont, pour ne pas perdre ses 1500 francs, intervint auprès du censeur et leva l'interdiction.
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Paris P. Pourrat Frères Editeurs 1819 in 8 (22,5x15) 1 volume reliure cartonnée ancienne recouverte de papier marbré, gardes renouvellées, dos muet, XXXII et 409 pages [1], quelques rousseurs éparses. Antoine Hamilton, Roscrea 1646 (Irlande) - Saint-Germain-en-Laye 1720, écrivain écossais d'expression française. Antoine Hamilton écrivit les Mémoires du comte de Gramont, son beau-frère. Philibert comte de Gramont, 1621-1707, aristocrate français. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Couverture rigide
Paris Au bureau de la Bibliothèque Choisie 1829 in 8 (21x13,5) 1 volume reliure demi veau fauve, dos lisse orné de faux-nerfs à froid, 390 pages, avec un fac-similé dépliant in fine, fente sur le mors du plat supérieur. Antoine Hamilton, Roscrea 1646 (Irlande) - Saint-Germain-en-Laye 1720, écrivain écossais d'expression française. Antoine Hamilton écrivit les Mémoires du comte de Gramont, son beau-frère. Philibert comte de Gramont, 1621-1707, aristocrate français. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Couverture rigide
[Chauvet J. ] - HAMILTON C. Antoine / GRAMMONT Comte de Chauvet J.
Reference : 21097
Paris Jules Bonnassies 1876 in 8 (20,5x13,5) 1 volume reliure demi maroquin rouge à coins de l'époque, dos à nerfs, tête dorée, XXXII et 307 pages (imprimées sur papier de Hollande Van Gelder), avec un frontispice, et 6 eaux-fortes hors-texte gravées par J. Chauvet. Lettres, fleurons et culs-de-lampe, par Léon Lemaire. Antoine Hamilton, Roscrea 1646 (Irlande) - Saint-Germain-en-Laye 1720, écrivain écossais d'expression française. Antoine Hamilton écrivit les Mémoires du comte de Gramont, son beau-frère. Philibert comte de Gramont, 1621-1707, aristocrate français. Histoire amoureuse de la cour d'Angleterre sous Charles II. Réimpression conforme à l'édition princeps (1713). Préface et notes par Benjamin Pifteau. Très bel exemplaire, finement relié ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
Paulin, Paris. 1847. In-18. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos fané, Quelques rousseurs. 366 pages. Dos parcheminé. Pièce de titre orange sur le dos, avec titre et filets dorés. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Par A. Hamilton. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Londres : Edwards, s. d. [ 1793 ] Fort in-4, 2 portraits-frontispices de l'auteur, (8)-313-77-(3) pages et 76 portraits des protagonistes. Maroquin rouge à grains longs de l'époque, dos à nerfs plats orné de filets dorés, filet doré encadrant les plats
Rousseurs éparses. Gardes renouvelées ? Belle édition, augmentée d'importantes notes. "Édition préférable aux précédentes, parce qu'elle est plus belle et parce qu'elle contient des notes meilleures et plus étendues." (Brunet III, 30).En comparaison avec l'exemplaire décrit par Cohen, le nôtre ne comprend pas la vue de Somerhill, souvent absente, mais possède en plus le titre orné d'une vignette et le portrait-frontispice de Hamilton de l'édition anglaise, parue simultanément chez Harding et Edawrds. Le titre de l'édition anglaise indique d'ailleurs : "a new translation… embellished with seventy-six portraits of the principal characters mentioned in the work", corrigeant ainsi l'erreur au titre de l'édition française.Poête et conteur, né en Irlande vers 1646, mort à Saint-Germain-en-Laye en 1720, Hamilton s'est fait une réputation dans les lettres françaises, et c'est un des écrivains dont l'esprit et le style ressemblent le plus à l'esprit et au style de Voltaire. Après la mort de Charles Ier, il fut amené en France par sa famille, qui avait suivi dans l'exil la famille royale, y commença ses études, et y prit ce tour d'esprit et cette connaissance de notre langue qui nous charment dans ses écrits. Il avait quatorze ans quand il retourna en Angleterre, lors de la restauration, et il retrouva à la Cour de Charles II les manières, les goûts, les traditions et jusqu'aux modes de la France. Quelques années plus tard, il devint le beau-frère du chevalier de Grammont, qui séduisit sa sœur à l'aide d'une promesse de mariage. Rappelé en France, le galant gentilhomme s'enfuit précipitamment, oubliant toutes ses promesses. Il fut poursuivi par les deux frères Hamilton, résolus à venger l'affront fait à leur famille, et atteint sur la Toute de Douvres. « Chevalier ! lui crie l'un d'eux, n'avez-vous rien oublié à Londres ? - Pardonnez-moi, répond-il ; j'ai oublié d'épouser votre sœur. » II s'exécuta gracieusement, retourna sur ses pas et l'épousa. Hamilton émigra de nouveau en France avec Jacques II (1688), et vécut depuis auprès de lui, au château de Saint-Germain. Dans l'intervalle, il avait fait de fréquents voyages à la cour de France, dont il était en quelque sorte un des familiers. C'est à cette triste cour de Saint-Germain qu'il écrivit, comme pour tromper son ennui, ces Mémoires de Grammont, si étincelants de gaieté, et ces Contes, qu'il composa par gageure, et qui lui assurent une place "parmi nos plus charmants écrivains." Cohen 471-472.