Où l'on voit un portrait naïf des Mœurs de ce siècle. Traduit de l'anglois. Mention manuscrite de correction sur le tome IV, à déterminer, traducteur (?) Le Spectateur est un journal quotidien anglais (The Spectator) fondé par Richard Steele et Joseph Addison, dont le premier numéro sortit le 1er mars 1711 et connut un succès énorme, paraissant sans discontinuer jusqu'au 6 décembre 1712 (555 numéros). Chaque numéro était lu par 60 000 Londoniens, Ont contribué à cet ouvrage à succès, Steele, Pope, Addisson, etc... Les 7 volumes proposés sont les volumes dirigés par Steelle qui compilent les « Spectator » publiés en Angleterre en 1711-1712 Exemples sujets traités : Lettre sur un singe ; Lettres sur la mode ridicule des grandes jupes [à] baleines ; Les femmes préfèrent les hommes badins et enjoués à ceux qui ont du bon sens ; Observations faites à Londres par quatre Rois Indiens ; Sur les Dames qui prennent du tabac en poudre ; Lettre sur la bizarrerie des Anglois ; Rubens, un peintre fâcheux ; Shakespear [sic], fameux Poëte anglois ;nombreux articles sur les femmes ; publication de nombreuses lettres. Ces recueils comprennent aussi des lettres des lecteurs adressées à « Monsieur le Spectateur ». et un portrait de Richard Steele Complet en 7 tomes, tI : 2 gravures hors-texte : un frontispice représentant une allégorie, 572, 550, 536, 538, 520 et 536 pages. Reliure plein cuir d’époque, 18x12, dos à nerfs ornés de motifs floraux dorés, accrocs sur les plats et coiffes, travail de ver sur 3 tomes sans gravité, épidermures, intérieur généralement très frais. Poids des 7 volumes: environ 2,3 kg. A Amsterdam & à Leipzig & Chez Arkstée & Merkus. 1754 1754. Edition originale pour la traduction française.
Reference : CZC-9716
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M. Pascal Poidevin
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Où l'on voit un portrait naïf des Mœurs de ce siècle. Traduit de l'anglois. "Le Spectateur ou le Socrate moderne" est une série d'essais et d'articles écrits par Richard Steele, un écrivain et journaliste irlandais du XVIIIe siècle. La publication de cette série a commencé en 1711 et s'est poursuivie jusqu'en 1712.Chaque numéro était lu par 60 000 Londoniens, Exemples sujets traités : Lettre sur un singe ; Lettres sur la mode ridicule des grandes jupes [à] baleines ; Les femmes préfèrent les hommes badins et enjoués à ceux qui ont du bon sens ; Observations faites à Londres par quatre Rois Indiens ; Sur les Dames qui prennent du tabac en poudre ; Lettre sur la bizarrerie des Anglois ; Rubens, un peintre fâcheux ; Shakespeare, fameux Poëte anglois ;nombreux articles sur les femmes ; publication de nombreuses lettres. Ces recueils comprennent aussi des lettres des lecteurs adressées à « Monsieur le Spectateur ». et un portrait de Richard Steele Complet en 5 tomes, 5 gravures hors-texte en frontispice représentant une allégorie, 456, 446, 480, 475 & 472 pages. Reliures pleine basane époque, in8, 18x12 bel état intérieur, tranches rouges, , A Amsterdam, chez les Wetsteins & Smith, 1732 Steele était un écrivain prolifique et un membre influent du mouvement littéraire connu sous le nom de "Spectator School of Poetry" (l'école des Spectateurs). "Le Spectateur" était une revue périodique qui présentait des essais, des réflexions et des critiques sur divers sujets, allant de la politique à la société en passant par la littérature et les mœurs. "Le Spectateur ou le Socrate moderne" est souvent considéré comme l'une des œuvres les plus importantes et les plus influentes de Steele. Les essais présentent un narrateur fictif appelé Mr. Spectator, qui agit comme un observateur social et moral, s'inspirant du personnage de Socrate dans la philosophie grecque. Les essais de Steele abordent une grande variété de sujets, tels que l'éducation, le mariage, la mode, le théâtre, la moralité et la politique. Ils offrent une perspective satirique et critique sur la société de l'époque, tout en proposant des réflexions profondes sur la nature humaine et les valeurs sociales. "Le Spectateur" a connu un énorme succès et a influencé de nombreux écrivains et penseurs de l'époque. Les essais de Steele étaient appréciés pour leur style d'écriture clair, leur humour subtil et leur perspicacité sociale. Aujourd'hui encore, "Le Spectateur ou le Socrate moderne" est considéré comme une œuvre majeure de la littérature anglaise et une contribution importante à la tradition de l'essai et de la critique sociale. ref/25/8
Amsterdam, Leipzig,, Arkstée et Merkus, 1746-1750. 7 tomes en 7 vol. in-12 de (4)-XII-456-(32) pp., frontispice, table ; XII-503 pp., figure ; (12)-472 pp. portrait, table ; (4)-478 pp., figure ; (4)-446-(22) pp., portrait, table ; (8)-478 pp., figure ; (4)-472 pp., portrait, table et catalogue de libraire, maroquin citron, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et fauve, triple filet doré d’encadrement sur les plats, roulette intérieure et filet sur les coupes, tranches dorées sur marbrure (reliure de l’époque).
Nouvelle édition française du périodique The Spectator, recueil d’articles rédigés principalement par Richard Steele et Joseph Addison, créé et lancé en 1711 ; les tomes 6 et 7 forment une continuation par William Bond.« Peu de journaux, dans l’Europe du XVIIIe siècle, ont suscité autant de traductions, d’adaptations ou d’imitations que le Spectator de Joseph Addison et de Richard Steele. Ce périodique, fondé à Londres en mars 1711, a d’abord connu en Angleterre un triomphe immédiat et d’une ampleur sans précédent. L’enthousiasme du public anglais a rapidement gagné le continent, et le Spectator a trouvé des lecteurs jusque dans les colonies américaines et en Russie. Ce succès international doit beaucoup à la traduction française du périodique, publiée en Hollande, à partir de 1714, sous le titre Le Spectateur ou le Socrate moderne. Relativement fidèle, documentée, complétée par des préfaces et un solide appareil de notes, cette traduction précoce est aussi demeurée, au cours des décennies suivantes, la plus diffusée à l’échelle européenne. Pourtant, elle témoigne déjà de choix et d’oublis volontaires qui orienteront la réception du journal anglais sur le continent. Le Spectateur ou le Socrate moderne inaugure de la sorte un mouvement d’appropriation qui se prolongera, dans toute l’Europe et tout au long du siècle, avec la publication de centaines de périodiques explicitement dérivés du Spectator » (Alexis Lévrier).Titre imprimé en rouge et noir, portrait gravé de Richard Steele en frontispice, répété aux tomes 3, 5 et 7 ; figure allégorique reliée en tête du tome 2 répétée aux tomes 4 et 6 ; vignette au titre gravée en taille-douce signée "C. de Putter Sculps. 1746».Provenance : bibliothèque de M.-F. Huguenin Dumitand (Neuchâtel XVIIIe siècle) avec son ex-libris héraldique gravé (tomes 1, 5 et 6) par Marguerite Théveard (1710-1770) qui représente un petit génie au pas alluré tenant de la droite une banderole avec le nom M.-F. HUGUENIN-DUMITAND et appuyant la gauche sur un écusson ovale, timbré d’un casque et aux armes ; dans le lointain se voit un village. D’une famille du Locle, citée dès le XVe siècle, très nombreuse et ayant des ramifications dans toutes les Montagnes neuchâteloises ; bourgeois de Valangin dès 1502, de Neuchâtel en 1707 (Jéquier et Jéquier ; Gerster, n° 1211 ; GMN-H0737 ; Grellet et Tripet, n° XXXI ; Wegmann, n° 3702). Bel exemplaire en maroquin d'époque. Rousseurs, frottements légers sur la reliure. Note bibliographique manuscrite à l’encre du XIXe (tome I).Brunet V, 527 ; Lévrier, Alexis. Feuilles volantes, feuilles volatiles. Les journaux de Marivaux dans l'histoire des « spectateurs » (1711-1734), L'information littéraire, vol. 58, no. 4, 2006, pp. 39-42.
Amsterdam, Wetstein, 1740. 6 volumes in-12 reliés (17 x 10 cm), reliure plein veau, dos ornés de filets et motifs, titre doré sur pièces de titre rouges, tranches rouges, XVI-488 + XII-480 + (8) - 475 + 476 + 447 pp + 11 ffnc + 468 pages, frontispice et portrait gravé. Édition complète à cette date en six volumes, le septième volume paraîtra seulement en 1750, le huitième et dernier en 1754. Le traducteur des six premiers vol. n'est pas connu. Barbier IV, 560.- 1995g.C. - Petits défauts d'usage (coiffes des t.1 et 4, quelques coins frottés, quelques petits manques de cuir en surafe ces plats sans gravité).- Ensemble complet des six volumes édités en 1841, homogènes, intérieur très frais. Bon état
Chez Wetsteins & Smith, A Amsterdam 1741, in-12 (9,5x17cm), 6 volumes reliés.
Nouvelle édition. Le journal parut pour la première fois en volume en 1712. Pages de titre en rouge et noir. Mention de cinquième édition. Meuble d'arme au fétu de blé de Maynon de Farcheville dans les caissons sur le dos, et ex-libris du même sur les contreplats, aux trois fétus de blé.Vincent Michel Maynon, président de la quatrième chambre des enquêtes auParlement de Paris, seigneur de Farcheville. Reliure en pleine basane brune granitée et glacée de l'époque. Dos à cinq nerfs, pièces de titre en maroquin rouge, pièces de tomaison en maorquin brun, caissons et fleurons floraux dorés. Toutes tranches mouchetées rouges. Coiffe de tête du tome I en partie manquante, celle du tome III en tête en partie élimée. Manques en tête des tomes V et VI. Au tome I, manque au mors supérieur en tête. 5 coins un peu émoussés. Papier bien frais. Assez bel exemplaire. Le Spectateur fut un des premiers périodiques anglais qui parut chaque jour de 1711 à 1712. Destiné à la Middle Class, Addison pense que malgré son tirage de 4000 exemplaires journaliers, il était lu par environ 60000 Londoniens. Le Spectator fut très populaire et réédité maintes fois au cours du XVIIIe siècle. Il porte un regard ironique sur la société anglaise et marqua durablement la presse par sa nouveauté. Chaque numéro tournait autour de 2000 mots, et Addison et Steele se sont partagés la rédaction. Le Spectateur dans sa version actuelle est aujourd'hui un journal bien connu des anglais. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Chez Mérigot, Paris 1754-1755, in-12 (9,5x17cm), 9 volumes reliés.
Nouvelle édition ornée de sept frontispices de Scotin l'aîné. Le journal parut pour la première fois en volume en 1712. Reliure en pleine basane brune mouchetée de l'époque. Dos à cinq nerfs, pièces de titre et de tomaison de maroquin rouge, caissons et fleurons floraux dorés. Toutes tranches rouges. Coiffes de tête des volumes 1, 2, 3, 4, 5, 7 et 8 et de queue des volumes 2, 3 et 4 et 9 arasées (certaines accidentées). Coins légèrement émoussés. Quatre mors fendus. Pâles mouillures marginales au second tome. Le Spectateur fut un des premiers périodiques anglais qui parut chaque jour de 1711 à 1712. Destiné à la Middle Class, Addison pense que malgré son tirage de 4000 exemplaires journaliers, il était lu par environ 60000 Londoniens. Le Spectator fut très populaire et réédité maintes fois au cours du XVIIIe siècle. Il porte un regard ironique sur la société anglaise et marqua durablement la presse par sa nouveauté. Chaque numéro tournait autour de 2000 mots, et Addison et Steele se sont partagés la rédaction. Le Spectateur dans sa version actuelle est aujourd'hui un journal bien connu des anglais. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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