avec des figures dans le texte. Tome I. Figure et dimension de la Terre - Températures terrestre - Delta marin, dépôts d'estuaires - Formation des glaciers - Actions chimiques de l'eau des mers et des grands lacs - Récifs coralliens - Gaz - Sources thermales - Causes du volcanisme - Théories thermodynamiques - Geysers, calcaires - Glaces hivernales - Mouvements de l'écorce, etc... vol relié in4, 25x16, demi cuir, frottements, bon état intérieur, 567pp. Paris, F. Savy, 1893 Le "Traité de Géologie" est un ouvrage majeur dans le domaine de la géologie écrit par Albert de Lapparent, également connu sous le nom d'Albert-Auguste Cochon de Lapparent. C'est un géologue français qui a joué un rôle important dans le développement de la géologie en France au XIXe siècle. Le "Traité de Géologie" a été publié pour la première fois en 1869 et a été révisé et réédité plusieurs fois par la suite. Cet ouvrage est considéré comme l'un des traités de référence en géologie et a eu une influence significative sur le développement de la discipline. Le livre couvre de nombreux aspects de la géologie, y compris la formation de la Terre, les roches, les minéraux, la tectonique des plaques, les volcans, les séismes, les fossiles, la géologie économique et bien d'autres sujets. Il présente les principes et les concepts fondamentaux de la géologie de manière claire et détaillée, en s'appuyant sur les connaissances et les découvertes de l'époque. Albert de Lapparent a également joué un rôle actif dans l'organisation de la recherche géologique en France. Il a été le fondateur et le directeur de l'École des Mines de Paris et a contribué à la création du Service géologique de France. Le "Traité de Géologie" d'Albert de Lapparent a été largement utilisé comme référence dans l'enseignement de la géologie et a aidé à établir les bases de la discipline en France et dans le monde entier. ref/151
Reference : CZC-8126
Livres & Autographes
M. Pascal Poidevin
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Masson et Cie, Paris, 1900, in-8, 3 vol, I: VII, 591 pp, II: de 595 à 1237 pp, III: de 1241 à 1911 pp, XVI, Demi-chagrin marron, dos plats ornés, Quatrième édition, refondue et considérablement augmentée. Nombreuses figures dans le texte. Vol. 1 : phénomènes actuels; vol. 2 & 3 : géologie proprement dite.Ce célèbre traité de géologie est considéré comme l'un des mieux organisés et des plus clairs de son époque ; il brosse sans doute le tableau le plus complet de l'ensemble des connaissances acquises à la fin du XIXe siècle sur les phénomènes géologiques. Albert de Lapparent (1839-1908), élève de l'École Polytechnique et des Mines, était professeur de géologie et minéralogie à l'Institut catholique de Paris au moment de sa fondation (1875). Il fut également directeur de recherches au CNRS, créateur de la mission géologique française en Afghanistan et conservateur-adjoint des collections départementales de l'École des Mines (1868). Il travailla pendant plusieurs années à la Carte géologique détaillée de la France. Il fut l'un des principaux rédacteurs de la Revue de géologie (1866-1880), publia d'intéressants articles dans le Correspondant, les Annales des mines, et fit de savantes communications à la Société de géologie, dont il fut nommé président en 1880, ainsi qu'à l'Académie des sciences de Paris. Il obtint de cette dernière le prix Laplace en 1861 et le prix Delesse en 1885. Il est également l'auteur d'un Cours de minéralogie (Paris, 1884) largement diffusé. Tampon annulé de l'institut catholique. Couverture rigide
Bon 3 vol., I: VII, 591 pp., II:
Paris, F. Savy, 1883, in-8, 2 vol, XV-[1]-1280 pages en numérotation continue, demi-chagrin bleu sombre, dos à nerfs et fileté, monogramme G.R. doré en pied des dos [G. Ramond], Première édition, peu courante. Nombreuses figures gravées sur bois dans le texte. Exemplaire abondamment annoté au crayon. Ce célèbre traité de géologie est considéré comme l'un des mieux organisés et des plus clairs de son époque ; il brosse sans doute le tableau le plus complet de l'ensemble des connaissances acquises à la fin du XIXe siècle sur les phénomènes géologiques. Albert de Lapparent (1839-1908), élève de l'École Polytechnique et des Mines, était professeur de géologie et minéralogie à l'Institut catholique de Paris au moment de sa fondation (1875). Il fut également directeur de recherches au CNRS, créateur de la mission géologique française en Afghanistan et conservateur-adjoint des collections départementales de l'École des Mines (1868). Il travailla pendant plusieurs années à la Carte géologique détaillée de la France. Il fut l'un des principaux rédacteurs de la Revue de géologie (1866-1880), publia d'intéressants articles dans le Correspondant, les Annales des mines, et fit de savantes communications à la Société de géologie, dont il fut nommé président en 1880, ainsi qu'à l'Académie des sciences de Paris. Il obtint de cette dernière le prix Laplace en 1861 et le prix Delesse en 1885. Il est également l'auteur d'un Cours de minéralogie (Paris, 1884) largement diffusé. Étiquettes ex-libris de la bibliothèque G. Ramond aux contreplats ; probablement Georges Ramond, proche parent des Jussieu, aide-naturaliste à la chaire de géologie au Muséum de 1892 à 1923. Ramond est sans doute l'auteur des nombreuses annotations qui enrichissent cet exemplaire. Couverture rigide
Bon 2 vol., XV-[1]-1280 pages en
Paris, F. Savy, 1883, in-8, fort , XVI et 1280 pages, demi-basane bleue, dos lisse et insolé, Figures gravées sur bois dans le texte Lapparent, ingénieur et géologue, né à Bourges le 30 décembre 1839, mort à Paris le 4 mai 1908. Sorti premier de l'École Polytechnique (1860) et de l'École des Mines, il fut nommé ingénieur ordinaire en 1864. Il travailla pendant plusieurs années à la Carte géologique détaillée de la France et exerca les fonctions de conservateur-adjoint des collections départementales de l'École des Mines (1868). Lors de la fondation de l'Institut Catholique de Paris (1875), il entra dans le corps enseignant de cet établissement comme professeur de géologie et de minéralogie et donna sa démission d'ingénieur de l'État en 1880. Albert de Lapparent a été l'un des principaux rédacteurs de la Revue de géologie (1866-80). Il a publié en outre d'intéressants articles dans le Correspondant, les Annales des mines, et a fait de savantes communications à la Société de Géologie, dont il a été président (1880), et à l'Académie des Sciences de Paris (Comptes-Rendus), qui lui a décerné le prix Laplace en 1861 et le prix Delesse en 1885. Son Traité de géologie (Paris, 1883, in-8; 2e éd, 1885) qui est sans doute le tableau le plus complet, le mieux présenté, de l'ensemble des connaissances acquises à la fin du dix-neuvième siècle sur les phénomènes géologiques et son Cours de minéralogie (Paris, 1884, in-8 ; 2e éd, 1889) ont été des ouvrages très estimés et très répandus. (L. Sagnet). Couverture rigide
Bon fort , XVI et 1280 pages
Paris, Librairie F. Savy, 1883 . Grand et fort in-8 (26 cm x 17 x 8). XVI pp-1280 pp-4 pp catalogue de Jacques Lechevalier-4 pp Librairie Savy (minéralogie)+28 pp. ; pleine toile écrue, couvertures conservées. (rel. Moderne).
Première édition. Bel exemplaire sans rousseurs." Lapparent, ingénieur et géologue, né à Bourges le 30 décembre 1839, mort à Paris le 4 mai 1908. Sorti premier de l'École Polytechnique (1860) et de l'École des Mines, il fut nommé ingénieur ordinaire en 1864. Il travailla pendant plusieurs années à la Carte géologique détaillée de la France et exerça les fonctions de conservateur-adjoint des collections départementales de l'École des Mines (1868). Lors de la fondation de l'Institut Catholique de Paris (1875), il entra dans le corps enseignant de cet établissement comme professeur de géologie et de minéralogie et donna sa démission d'ingénieur de l'État en 1880. Albert de Lapparent a été l'un des principaux rédacteurs de la Revue de géologie (1866-80). Il a publié en outre d'intéressants articles dans le Correspondant, les Annales des mines, et a fait de savantes communications à la Société de Géologie, dont il a été président (1880), et à l'Académie des Sciences de Paris (Comptes-Rendus), qui lui a décerné le prix Laplace en 1861 et le prix Delesse en 1885. Son Traité de géologie (Paris, 1883, in-8; 2e éd., 1885) qui est sans doute le tableau le plus complet, le mieux présenté, de l'ensemble des connaissances acquises à la fin du dix-neuvième siècle sur les phénomènes géologiques et son Cours de minéralogie. " Photos sur demande.
Paris, Armand Colin, 3° tirage, 1908-11, in-8, 4 volumes in-4 de I. (4), 538 pages, 71 planches et 2 cartes ; de II. (4), pages 539 à 928, planches 72 à 99 et 1 tableau ; de III. pages 929 à 1396, planches 100 à 119 ; et de IV. pages 1397 à 2024, planches 120 à 135, demi-toile grise moderne, dos lisse portant une pièce de titre, 135 planches, 2 cartes et un tableau. Nombreuses figures en noir dans le texte. Emile Haug (1861-1927) fut professeur à la Faculté des Sciences de Paris (1900) et président de la Société géologique de France (1902). Son "Traité de Géologie", publié pour la première fois de 1907 à 1911, tient une place importante dans son oeuvre. Haug constitue un état des connaissances sur la constitution du sol dans tous les pays et à toutes les époques. Il généralise la notion de géosynclinaux du géologue et paléontologiste américain James Hall (1811-1898). Enfin, il développe l'opposition existant entre le régime des régions géosynclinales (qui sont d'abord le siège d'un enfoncement lent, puis, plus tard, des chaînes de montagnes), et celui des régions à régime continental séparées les unes des autres par les précédentes. La loi de Haug dit qu'à "une transgression sur les aires continentales correspond une régression sur les géosynclinaux, et inversement" (Géologie, encyclo. Pléiade, t.2, p.537). Manque le faux-titre et le titre du dernier volume, néanmoins bon exemplaire. 4 volumes in-4 de I. (4), 538