LES CONVULSIONS DE PARIS Maxime du Camp Tome I, Les prisons pendant la guerre vol. broché in-4, 225x145, petit manque de papier au dos, bon état intérieur, 543pp Paris Hachette 1878
Reference : CZC-2506
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M. Pascal Poidevin
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Librairie Hachette Et Cie Paris 1879-1880 4 volumes in-8 ( 230 X 145 mm ), demi chagrin rouge de l'époque, dos à nerfs ornés de filets dorés, date dorée en queue, têtes dorées ( Reliures signées de FECHOZ ). Rousseurs passim le texte, agréable exemplaire, bien relié.- Tome I: Les prisons pendant la Commune. IV-543 pages.- Tome II: Épisodes de la Commune. III-506 pages.- Tome III: Les sauvetages pendant la Commune. III-515 pages.- Tome IV: La Commune à l'Hôtel de Ville. III-542 pages.
Librairie Hachette et Cie 1883 4 volumes. In-12 18,5 x 12 cm. Reliures demi-chagrin bleu, dos à nerfs, XVI-416-371-376-398 pp, 1 fac-similé replié, pièces justificatives, table des matières, table des noms propres. Bon ensemble.
Vol. 1. Les prisons pendant la Commune ; Vol. 2. Episodes de la Commune ; Vol. 3. Les sauvetages pendant la Commune ; Vol. 4. La Commune à l'Hôtel de ville. Avec “Les Convulsions de Paris”, Maxime Du Camp (1822-1894), écrivain polygraphe et photographe, nous a laissé une vision assez hostile de la Commune de Paris. Bon état d’occasion
Paris, Librairie Hachette et Cie 1878 In-8 22 x 13 cm. Reliure demi-basane rouge cerise, dos à nerfs ornés de roulettes et encadrés de filets dorés, IV-543 pp., table des matières. Reliure légèrement frottée, intérieur frais.
écrivain polygraphe et photographe, Maxime Du Camp (1822-1894) fut élu membre de l’Académie française en 1880, surtout, dit-on, à cause de son histoire assez hostile de la Commune, publiée sous le titre de “Les Convulsions de Paris”, en 4 vol.15 (1878-1880). Bon état d’occasion
Paris, Hachette, 1881. 4 volumes in-12 de [4]-XVI-416; [4]-371; [4]-376-[2] et [4]-398-[2] pages, demi-veau glacé tabac, dos à 5 nerfs orné de filets, fleurons, titre et tomaison dorés, étiquettes de titre marron, de tomaison vertes. Etiquette de la bibliothèque de la Pierrière aux contreplats. Quelques petites épidermures, rousseurs.
«En 1848, [Du Camp] était à Paris, revenant de son premier voyage en Orient, quand éclata la Révolution. Il se battit contre l'insurrection, aux journées de juin, dans les rangs de la garde nationale, fut blessé et mérita d'être décoré de la main de Cavaignac. C'est de là sans doute que lui vint l'idée d'écrire les Convulsions de Paris, une de ses dernières œuvres, et celle qui restera la plus connue avec Paris, ses organes et ses fonctions.» La Petite Revue, 24 février 1894.
Hachette, 1881, 4 vol. in-12, xvi-416, 371, 376 et 398 pp, cinquième édition, fac-similés dépliants, index, reliures demi-chagrin carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, double filet doré sur les plats, titres dorés, têtes dorées (rel. de l'époque), coiffes lég. frottées, coins lég. émoussés, bon état
Texte phare de la littérature hostile à la Commune. — "M. Maxime Du Camp vient d'ajouter un troisième volume à ses “Convulsions de Paris”. Moins dramatique que le premier, moins pittoresque que le second, il est peut-être celui qui est le plus satisfaisant au point de vue historique par l'abondance, la sûreté, la précision des détails. Il contient le récit du sauvetage du ministère de la marine et de la Banque de France. M. Du Camp a pu recueillir les témoignages des hommes de coeur et de tête à qui on a dû la conservation de tant de vies humaines et d'une partie de la fortune de la France; il les a comparés, contrôlés avec conscience et critique, et l'on peut dire que sur ces deux points une lumière complète, indiscutable, a été faite." (G. Monod, Revue Historique, 1879) — "Le quatrième volume de M. Maxime Du Camp sur la Commune à l'Hôtel de Ville termine la grande enquête qu'il a entreprise sur l'insurrection de 1871. Contenant encore nombre de faits nouveaux et intéressants, ce dernier volume est consacré à une sorte de psychologie des insurgés et à une série d'épisodes et de détails qui n'avaient pas trouvé place dans les précédents volumes. Dans un Post-scriptum, M. Du Camp répond aux critiques que son ouvrage lui a attirées, et il fait remarquer avec raison qu'aujourd'hui ceux qui ont trempé dans la Commune ont une singulière disposition à oublier le passé... Dans son ensemble, l'ouvrage de M. Du Camp restera un document capital pour l'histoire de la Commune ; on reconnaîtra avec quelle conscience et aussi avec quelle modération il a raconté les faits, modération qui ne réside pas dans les termes de ses jugements sur la Commune, mais dans le scrupule qu'il a apporté à n'aggraver aucune culpabilité, à taire les noms des criminels restés inconnus à la justice, et à plaider pour beaucoup les circonstances atténuantes. Quant à ses appréciations sur les faits mêmes de l'insurrection, si elles manquent parfois de réserve et de goût dans la forme, elles seront ratifiées pour le fond par toutes les consciences honnêtes et tous les esprits impartiaux." (G. Monod, Revue Historique, 1880)