‎Jean-Michel Renaitour‎
‎Envoi autographe Jean-Michel Renaitour. Robert Le Pieux ( Roi de Fance 972-1031)‎

‎Bel envoi autographe de l'auteur " avec mes meilleurs voeux " 1952 Jean-Michel Renaitour dresse le portrait du roi Robert II de France (972-1031), surnommé "le Pieux" en raison de sa piété et de son attachement à l'Église. Roi de France de la dynastie capétienne, Robert II est présenté par Renaitour comme un souverain pieux mais complexe, qui a dû jongler entre son devoir envers l'Église, ses ambitions politiques et les luttes de pouvoir de son époque. Renaitour explore les tensions qui marquèrent son règne, notamment ses conflits avec la papauté, ses mariages controversés et les querelles féodales qui minaient le royaume. En dépeignant Robert II comme un homme de foi face aux réalités politiques, l'auteur met en lumière les défis de la royauté française au Moyen Âge, à une époque où les intérêts de la couronne étaient souvent en conflit avec les exigences religieuses et morales. vol. relié demi cuir, 170x110, 1ère couverture conservée, 131p p. Ex libris, très bel exemplaire La Tour du Guet,s.d. (années 50) Jean-Michel Tournaire, dit Jean-Michel Renaitour, né le 31 mars 1896 et mort le 12 décembre 1986 à Paris, est un homme de lettres et homme politique français. Député Indépendant de gauche puis Gauche indépendante de l'Yonne de 1928 à 1942. Maire d'Auxerre de 1929 à 1941. Membre du Comité central de la LICA en 1931 ainsi que de son comité d'Honneur, il rompt avec cette organisation en 1936 au sujet des Jeux de Berlin : il est partisan de la tenue des Jeux Olympiques de 1936 à Berlin. Lors de l'événement, il y accompagne la délégation française et y reçoit une décoration nazie. Celle-ci lui sauvera la vie en 1940 lorsque, maire d'Auxerre, les allemands menacent de le fusiller. D'abord socialiste, brièvement communiste après le congrès de Tours, candidat SFIO aux législatives de 1924, il est conseiller général de Seignelay de 1926 à 1940 et de 1955 à 1979, maire d'Auxerre (1929-1941), député (1928-1942) indépendant de gauche. Il préside la commission de la Marine militaire en 1937. Il ne prend pas part au vote du 10 juillet 1940. Il échoue sous la IVe République à retrouver un mandat parlementaire. En 1940, il devient propriétaire du théâtre Saint-Georges et dirige le théâtre Édouard VII en 1943. Il a reçu en 1923 le Grand prix national de littérature et en 1952 le Grand prix de l'Académie française. Sous l'Occupation, il fréquente les collaborateurs et donne des articles dans des revues de cette tendance ref/91 ‎

Reference : CZC-12029

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