État : Bon état - Année : 1969 - Format : in 8° - Pages : 379pp - Editeur : Gallimard NRF - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Couv très légèrement salie et frottée aux franges. Un léger froissement en coin bas du premier plat de couv qui se répercute légèrement sur les premières pages. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jacques-perret/9870-la-compagnie-des-eaux?lrb
Reference : 9870
Ce récit d'aventures maritimes vécues par l'auteur et son ami l'illustrateur Collot, avec de nombreuses digressions tant humoristiques que ˮpolitiquesˮ, fait suite à ˮRôle de plaisanceˮ écrit en 1957. Il est de la même veine bien que très marqué par le drame algérien et ses conséquences que Jacques Perret trouve néfastes. On y retrouve toute la verve de l'auteur du ˮcaporal épingléˮ. ˮPour couronner le tout, le vocabulaire et la syntaxe de Jacques Perret sont d'un faste princier... Personne n'a son talent pour prêter un air de bonne franquette à une verve de précieux. Le style de Perret est une nonchalance buissonnière, une hardiesse de broulingueur qui règle ses comptes...ˮ (Pol Vandromme - Littérature de notre temps, III)
Bons Livres du général au particulier
Monsieur Daniel Nougayrède
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À Paris, Bruxelles, Londres, 1785. 7 ouvrages en 1 volume. 1) XIJ. 104 pages. 2).1 feuillet. 58 pages. 1 feuillet. 3). 1 feuillet. 43 pages. 4). 1 feuillet. 58 pages. 1 feuillet. 1 feuillet blanc. 5). 60 pages. 1 planche dépliante. 6). VIIJ. 143 pages. 1 feuillet. 7). 62 pages. 1 feuillet. 8). IV. 67 pages. (20x13 Cm). Demi-cuir. Dos lisse. Pièce de titre dorée. Charnière fendue. Manque de cuir. Coins et coiffes émoussés. Plats frottés. Mouillures. Traces de plis. Rousseurs éparses. Recueil de nombreux documents concernant le conflit suite à des spéculations malhonnêtes dont fut l'objet la Compagnie des eaux de Paris, assez caractéristique de l'époque pré-révolutionnaire. Sa fragilité provoqua une série d'offensives contre ses fondateurs; les frères Périer. Le banquier Étienne Clavière et ses nombreux amis dans la finance soutiennent une concurrente, l'Entreprise de l'Yvette, créée par Nicolas Defer de la Nouere en 1787. Dans un des pamphlets de ce receuil, Mirabeau déclare chimérique le projet des frères Périer. Il prend parti pour l'Entreprise de l'Yvette. Beaumarchais, lui répond avec cette épigraphe : « Pauvres gens ! je les plains ; car on a pour les fous plus de pitié que de courroux ». En fait, la lettre de Beaumarchais dénonce les manœuvres frauduleuses sur les actions de la compagnie, il dénonce les « joueurs » qui chargent du poids de leurs intérêts un homme [Mirabeau] aussi rempli de talent que de complaisance qui accuse les Eaux de Paris de spéculation sur un objet de consommation indispensable. Ainsi Mirabeau ne fait pas partie des défenseurs de la compagnie dirigée par Messieurs Perier : « Ses diatribes contre l'erreur, l'intrigue et la charlatanerie, qui, dit-t-il, ont succédé à la première opinion que les gens sages et les bons citoyens avaient conçue de l'affaire des eaux ». L'attaque de Beaumarchais est rude en parlant des critiques de Mirabeau « Peut-être un jour quelques mauvais plaisant coiffera-t-il celles-ci du joli nom de Mirabelles, venant du comte Mirabeau , qui mirabilia fecit ».
Bruxelles [Paris], s.n., 1785 in-8, XII-104 pp., cartonnage de papier marbré (reliure postérieure). Dos abîmé.
Edition originale (il y a une seconde édition à la date de 1786). L'ouvrage forme l'une des publications du comte de Mirabeau dénonçant divers types de spéculations, dommageables à ses yeux à la saine tenue de l'économie et des finances. Comme ceux sur la Banque Saint-Charles ou sur la Caisse d'Escompte, ces écrits ont été en fait commandités par Calonne, et les éléments proprement techniques furent fournis par Clavière. La particularité de "l'affaire des Eaux de Paris" est que la dénonciation valut à Mirabeau une très vive polémique avec Beaumarchais, actionnaire de la Compagnie, qui donna une réplique spirituelle aux allégations du comte.Martin & Walter, 24451. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Bruxelles [Paris], s.n., 1785 in-8, XII-104 pp., cartonnage Bradel de papier marbré, dos lisse, pièce de titre cerise en long (reliure moderne). Bon exemplaire.
Edition originale (il y a une seconde édition à la date de 1786). L'ouvrage forme l'une des publications du comte de Mirabeau dénonçant divers types de spéculations, dommageables à ses yeux à la saine tenue de l'économie et des finances. Comme ceux sur la Banque Saint-Charles ou sur la Caisse d'Escompte, ces écrits ont été en fait commandités par Calonne, et les éléments proprement techniques furent fournis par Clavière. La particularité de "l'affaire des Eaux de Paris" est que la dénonciation valut à Mirabeau une très vive polémique avec Beaumarchais, actionnaire de la Compagnie, qui donna une réplique spirituelle aux allégations du comte.Martin & Walter, 24451. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
État : Très bon état - Année : 1969 - Format : in 8° - Pages : 379pp - Editeur : Gallimard NRF - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Dos légèrement arrondi et bruni. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jacques-perret/9710-la-compagnie-des-eaux?lrb
Ce récit d'aventures maritimes vécues par l'auteur et son ami l'illustrateur Collot, avec de nombreuses digressions tant humoristiques que ˮpolitiquesˮ, fait suite à ˮRôle de plaisanceˮ écrit en 1957. Il est de la même veine bien que très marqué par le drame algérien et ses conséquences que Jacques Perret trouve néfastes. On y retrouve toute la verve de l'auteur du ˮcaporal épingléˮ. ˮPour couronner le tout, le vocabulaire et la syntaxe de Jacques Perret sont d'un faste princier... Personne n'a son talent pour prêter un air de bonne franquette à une verve de précieux. Le style de Perret est une nonchalance buissonnière, une hardiesse de broulingueur qui règle ses comptes...ˮ (Pol Vandromme - Littérature de notre temps, III)
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In-8, broché, couverture papier marbré, (1) f., 24 p. Paris, Imprimerie Nationale, 1790.
Edition originale de ce rapport dans lequel l'auteur retrace l'historique de la Compagnie des Eaux de Paris et de l'association entre les frères Périer et l'administration, jusqu'à que celle-ci dénonce les accords.Député à la Constituante, Jean de Batz fut nommé, en mai 1790, au Comité de liquidation, dont le rôle était de vérifier les dettes et arriérés souscrits par l'ancien régime et dévaluer les charges vénales à liquider afin de proposer un éventuel remboursement.(Martin & Walter, 1656).Bon exemplaire.
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