État : Bon état - Année : 1996 - Format : in 8° - Pages : 307pp - Editeur : Editions du Rocher - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Qqes légers plis de lecture au dos un peu arrondi. Ouvrage solide et intérieur propre. - Collection : Danielle Pampuzac - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/alphonse-boudard/8897-madame-de-saint-sulpice?lrb
Reference : 8897
A l'ombre des hautes tours de l'église Saint-Sulpice règne Madame. Tailleur strict, chemisier blanc, broche ornée de petits brillants... on la dirait presque sortie de la messe de onze heures. Comme une mère supérieure, elle veille sur ses ouailles... Madame Blandine mène ˮl'Abbayeˮ, comme on appelle son établissement dans le milieu, avec la poigne de fer d'une ˮabbesseˮ hors pair. Et elle a écrit, Madame Blandine, après la fermeture des maisons en 1946, quand elle a pris sa retraite sur la Côte. Elle a tout raconté, à sa manière chaste de pensionnaire modèle. Des cahiers entiers de souvenirs qu'elle a laissés à un commissaire de la Mondaine... Le caïd qui l'aime un peu et l'initie au métier; la tenancière de la maison de rendez-vous qui en fait sa préférée et son héritière ; sa vocation de grande taulière ; son amour avec un officier allemand, ce qui n'est pas facile en pleine guerre, surtout quand on devient résistante !Bref, un destin de femme exceptionnel, bien que marginal, à une époque où il semblait impossible, savoureusement transposé par l'incomparable conteur qu'est Alphonse Boudard.
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Du Rocher éditions 1996 311 pages 1996. 311 pages. A l'ombre des hautes tours de l'église Saint-Sulpice règne Madame. Tailleur strict chemisier blanc broche ornée de petits brillants... on la dirait presque sortie de la messe de onze heures. Comme une mère supérieure elle veille sur ses ouailles... Une éducation au couvent des Oiseaux ça aide pour tenir une des maisons les plus curieuses de Paris. Surtout quand Monseigneur vient spécialement y entendre une confession d'un genre particulier ou y recevoir un juste châtiment. Madame Blandine mène l'Abbaye comme on appelle son établissement dans le milieu avec la poigne de fer d'une abbesse hors pair. Et elle a écrit Madame Blandine après la fermeture des maisons en 1946 quand elle a pris sa retraite sur la Côte. Elle a tout raconté à sa manière chaste de pensionnaire modèle. Des cahiers entiers de souvenirs qu'elle a laissés à un commissaire de la Mondaine... son premier amour avec un jeune abbé qui mourra pendant la Grande guerre en lui laissant un fils destiné à une brillante carrière... au Vatican : le caïd qui l'aime un peu et l'initie au métier ; la tenancière de la maison de rendez-vous qui en fait sa préférée et son héritière ; sa vocation de grande taulière ; son amour avec un officier allemand ce qui n'est pas facile en pleine guerre surtout quand on devient résistante ! Bref un destin de femme exceptionnel bien que marginal à une époque où il semblait impossible savoureusement transposé par l'incomparable conteur qu'est Alphonse Boudard
Paris, Éditions du Rocher, Août 1996. Un volume in-4 ( (18 x 26 cm), broché, couverture à rabat,, 308-[1] pp. Dédicace à Jean-Jacques Pauvert.
Édition originale. Un des 30 exemplaires numérotés sur papier vergé. N° 13 seul tirage en grand papier. Exemplaire à l'état de neuf.* " À l'ombre des hautes tours de l'église Saint-Sulpice règne Madame. Tailleur strict, chemisier blanc, broche ornée de petits brillants... on la dirait presque sortie de la messe de onze heures. Comme une mère supérieure, elle veille sur ses ouailles. Une éducation au Couvent des Oiseaux, ça aide pour tenir une des "maisons" les plus curieuses de Paris. Surtout quand Monseigneur vient spécialement y entendre une confession d'un genre particulier, ou y recevoir un juste châtiment. Madame Blandine mène l'Abbaye, comme on appelle son établissement, avec la poigne de fer d'une "abbesse" hors pair.". Photos sur demande.
Éd France Loisirs 1997 1997. Alphonse Boudard MADAME de SAINT-SULPICE roman ed° France Loisirs 1997
Bon état
S.n., Nice 20 Août 1995, 21x29,5cm, une feuille.
Lettre manuscrite datée et signée de 37 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra. Cette missive est d'ailleurs écrite depuis le domicile de Louis Nucéra chez qui Alphonse Boudard passe quelques jours de vacances estivales chaque année. Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre. "ami, merci de ta lettre. tu m'encourages toujours et, là, c'est encore plus important. Je suis d'ailleurs en piste pour le prix Giono, mais j'y ai de redoutables concurrents soutenus par leurs éditeurs Mazis basta ! vivra verra... photo : j'ai quelques clichés à Paris et je t'en enverrai un en rentrant. De toute façon le livre parait en début septembre. Si tu es pressé demande à Claudine Lemaire ed. Laffont 24 av. Marceau 75008. fautes : Mea culpa pour Yvonne de Galais. Impardonnable. Les autres sont apparues après les corrections sur les deuxièmes épreuves. On n'en sort pas. Et il y a aussi le docteur Goebbels avec un seul B (Tant pis pour sa gueule !) Louis a quelques ennuis acec sa femme toujours malade. Il l'accompagne demain en cure à Chatel Guyon. Voila, je viens de finir encore un livre. Celui-là de divertissement pure et anticlérical. "Madame de Saint Sulpice". Le roman d'une taulière qui tient un bordel de curés entre les deux guerres. J'espère aller à Bruxelles pour fourguer ma salade et ça me fera surtout l'occase de prendre avec toi le verre de l'amitié. ton pote. ABoudard." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
S.n., Paris 28 Mai 1996, 15,5x11cm, une feuille + une enveloppe.
Bristol manuscrit signé de 22 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono. Enveloppe jointe. "Vieux frère, merci de tes deux dernières lettres, je suis un peu débordé (par le succès entre autres) et j'ai laissé le courrier s'accumuler. J'ai pas vu "Mémoire de la France" si j'y suis cité c'est déjà pas si mal, d'habitude dans ce genre de bouquin je n'existe pas. Ni pour la Cerise, l'Hôpital, le prix Renaudot, ni pour le Cinoche. Je ne me plains pas puisque je n'écris pas pour la postérité. Mon prochain sort en septembre aux éditions du Rocher. "Madame de Saint Sulpice". Je ne pense pas que la presse catholique m'encensera. En tout cas j'espère amuser le lecteur et que tu sauras l'apprécier comme les autres. Tu es un fin gourmet de la chose écrite. J'espère que tu vas bien depuis ta dernière lettre. Moin amitié Ab." André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000. L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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