État : Bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 220pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché - Divers : Dos un peu plié. Couv très légèrement usagée. Un nom sur la première garde. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/3037-la-blessure?lrb
Reference : 3037
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
Bons Livres du général au particulier
Monsieur Daniel Nougayrède
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État : Très bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 220pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché-cousu - Divers : Léger pli de lecture au dos. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/9717-la-blessure?lrb
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Préface de Gérard Leclerc. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
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État : Très bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 228pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché - Divers : Un tout petit pli sur la première de couv. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/2550-la-blessure?lrb
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
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Arléa, collection 1er mille, 2014. In-8 broché, couverture imprimée.
"Il s'appelle Olivier, elle s'appelle Héloïse. Ils vont déjeuner, mais la rame de métro dans laquelle ils sont montés est gravement endommagée par une explosion. Restera de cet accident des corps meurtris, un sentiment brisé et une photo de leur évacuation, si violente et si impudique qu'elle va tout faire trembler autour d'eux. Ils n'auront qu'une obsession : réparer les dégâts que cette image aura causés dans leurs vies. Portrait d'après blessure raconte l'histoire de deux êtres aux prises avec le pouvoir des photographies, qu'elles parlent la langue de la dignité ou celle du désastre." * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
1 L.A.S. de 3 pages , datée de Louveciennes, 11 juillet 1864 : [Iil évoque ses recherches dans les archives de Seine-et-Marne et de Provins et continue : ] "Le compte-rendu qui concerne l'hôpital de Provins, si notre secrétaire général daignait le parcouri, augmenterait peut-être son goût pour le service des archives, & c'est ce que nous devons souhaiter dans l'intérêt de l'institution. Bien qu'il soit piquant de poursuivre avec persévérance depuis onze années, sans grand encouragement, une des oeuvres qui recommanderont le plus, aux yeux de nos successeurs, l'administration actuelle de notre ministère, je ne tiens pas d'une manière essentielle à la poétique auréole des gens méconnus" [ Il regrette de ne pas avoir pu rencontrer son interlocuteur. Il repart pour la Creuse, l'Ardèche et la Savoie ] "Si vous voyez M le Duc de P., je vous prie expressément de lui offrir mon hommage & mes pieux souvenirs. J'aurais dû y retourner ; je crains de lui être importun, & cette pensée me rend contraint en sa présence. Il me croit au dessous de ma tâche et me l'a presque avoué ; - dur loyer d'un zèle que rien ne décourage, vous le savez, vous ! Il a accueilli, contre moi, des infirmations, & conçu des préventions qui sont un chagrin constant dans ma vie. La reconnaissance, l'affection qui me lient à un homme qui a tout mon respect enveniment encore une blessure dont je ne guérirai pas. Mais pourquoi diantre vous dis-je tout cela ? Peut-être parce que j'y pense sans cesse. A vous de coeur"
Belle lettre de l'écrivain, historien chartiste et archiviste Francis Wey (1812-1882), dans laquelle il affirme sa soif de reconnaissance, notamment de la part du "duc de P." (peut-être Ernest Arrighi de Casanova, duc de Padoue, ministre de l'intérieur depuis 1859).
Paris, Masson, Paris, Masson1883 ; in-8, cartonnage brun moucheté, couverture bleue imprimée. 56 pp. - 3 planches lithographiques hors-texte dont une sur double page.Léon Gambetta est mort le 31 décembre 1882 d’une septicémie consécutive à une blessure accidentelle à la maison. L’observation clinique a été rédigée par M. Lannelongue, l’autopsie réalisée par le professeur Cornil. Rare tiré à part de la Gazette de Médecine et de Chirurgie du 19 janvier 1883, avec une couverture spéciale. Exemplaire dans un cartonnage signé Franz, soit Franz Ostermann, un relieur parisien d’origine alsacienne installé Boulevard Malesherbes en 1872. Il avait appris le métier chez Max Kleinkens à Saverne, puis à Strasbourg chez Palaska. Il avait quitté l’Alsace annexée en 1870. À Paris, il eut pour premier client Edmond About, qu’il avait connu à Saverne où le romancier possédait une propriété.