État : Très bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 228pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché - Divers : Un tout petit pli sur la première de couv. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/2550-la-blessure?lrb
Reference : 2550
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
Bons Livres du général au particulier
Monsieur Daniel Nougayrède
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Grasset et fasquelle 1992 in8. 1992. broche avec jacquette. 339 pages. C'est en 1961 à Bizerte que Jean Daniel fit l'expérience de cette 'blessure' qui faillit lui coûter la vie. Quelques balles d'un fusil mitrailleur la mort qui soudain se rapproche insiste puis s'éloigne. Hésitante renaissance... Pendant plusieurs années Jean Daniel tient alors une sorte de journal intime. Au jour le jour ce fut la chronique chuchotée d'une époque en tumulte telle qu'elle se traduisait sur les visages des hommes et des femmes connus et inconnus qui se rendaient au chevet du malade. C'est ce texte qui est ici publié tel qu'il fut écrit. Ce journal d'hier appelait un contrepoint d'aujourd'hui. D'où comme une retouche ou un repentir la seconde partie de ce livre dans laquelle l'auteur revisite quelques temps forts de sa mémoire. Que sont devenus depuis trente ans les êtres les événements les idées et les sentiments qui peuplaient son journal ? Quels sont désormais les nouveaux enjeux et les nouveaux démons de ce 'Temps qui vient' ? De la décolonisation à l'implosion du communisme de la guerre d'Algérie à la guerre du Golfe de l'improbable à l'imprévisible d'une France à l'autre de Sartre et Foucault à Havel et Kundera et de Camus à Camus l'itinéraire intellectuel et moral d'un homme qui se voudrait contemporain de sa propre histoire Bon Etat intérieur propre
État : Très bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 220pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché-cousu - Divers : Léger pli de lecture au dos. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/9717-la-blessure?lrb
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Préface de Gérard Leclerc. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
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État : Bon état - Année : 1998 - Format : in 8° - Pages : 220pp - Editeur : Clovis - Lieu d'édition : Etampes - Type : Broché - Divers : Dos un peu plié. Couv très légèrement usagée. Un nom sur la première garde. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-pierre-dickes/3037-la-blessure?lrb
C'est à l'intérieur du séminaire que l'auteur va vivre la gigantesque mutation de l'Eglise et de la société. jour après jour, pour lui-même, il tiendra la chronique des changements, des remises en cause, des crises. Les épisodes tragiques, étonnants, parfois profondément comiques ne manqueront pas. Juin 1966, le séminaire a définitivement changé, comme l'Eglise, comme le monde. Aujourd'hui médecin, marié et père de cinq enfants, Jean-Pierre Dickès nous livre un document d'une poignante authenticité, rédigé à partir de son ˮjournal intimeˮ, sur ce qui restera, dans sa vie et dans l'Eglise, comme une blessure.
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[Hanau], , [1813-1814]. 40 x 55,5 cm, Gouache sur papier contrecollée, cadre de bois.
La peinture, gouache sur papier, montre des combats dans une ville probablement allemande en 1813. On peut y distinguer des troupes autrichienne et saxonne (?). Au premier plan un officier blessé sur son cheval est soutenu par un de ses aides de camp. Derrière lui l'infanterie se déplace vers un pont jonché des cadavres. Une partie des maisons est en feu et le ciel est encombré d'une épaisse fumée. La facture naïve et réaliste du tableau nous permet de penser qu'elle est contemporaine des événements et que le peintre a probablement été témoin de la scène. Poignant témoignage partisan de la Campagne d'Allemagne en 1813, dans le style des gouaches du XVIIIe. Le peintre, sans doute autrichien ou bavarois, évoque l'affrontement, après la bataille de Leipzig, entre les troupes de Napoléon et les troupes de la sixième coalition. 43 000 Bavarois et Autrichiens commandés par le général de Wrede avancent au nord du Danube. Ils atteignent Hanau, dans le Grand-Duché de Francfort, bloquant l'itinéraire de Napoléon. Croyant que le gros de l'armée française fait route plus au nord, Wrede pense faire face à seulement 20.000 hommes et déploie ses troupes le long de la Kinzig dont la porte d'Hanau est le seul pont - on en aperçoit l'ouvrage en arrière plan de la scène. Malgré la résistance la supériorité française affaiblit son armée et le 31 octobre, dans l'après-midi, un tireur embusqué vise et blesse de Wrede. La blessure du chef de l'armée bavaroise va décapiter les forces austro-bavaroises et assurer la victoire aux français. Les pertes de l'armée seront importantes dont de nombreux officiers supérieurs. Les princes Œttingen, dont le gendre du général de Wrede y mourront. Contrastant avec la vivacité des uniformes, les couleurs fines de la gouache autorisent des nuances d'émotions et laisse percevoir dans la blancheur cadavérique choisie pour le général blessé la peur et le bouleversement. Éléments symboliques et ostentatoires de la composition, le drapeau blanc couronné de l'armée bavaroise et l'aigle bicéphale sur le drapeau jaune de l'armée autrichienne encadrent les troupes (on aperçoit les russes sur le coté gauche). Alors que le Bulletin français mentionne des drapeaux pris pendant Hanau, et envoyés à Paris avec ceux pris aux batailles de Wachau et Leipzig, les autrichiens et bavarois ont toujours prétendu n'avoir perdu aucun drapeau ou étendard pendant la bataille. La vérité n'a semble-t-il jamais pu être établie. Il n'y eu en fait aucun trophée réel pour les deux armées tant les pertes humaines et les conséquences stratégiques furent lourdes des deux cotés. Ainsi, bien qu'Horace Vernet en fit le sujet d'une de ses toiles, aujourd'hui à la National Gallery de Londres, on peut presque parler de thème plus anecdotique dans l'iconographie française pour la victoire d'Hanau. Mais celui-ci suggère aussi une faible occurence. Notre gouache possède néanmoins un pendant, sans doute réalisée par le même peintre tant elles sont similaires ; elle représente Hanau au début de la bataille et est détenue par la petite ville de Karlstein, au bord de Hanau. Le peintre était probablement un habitant de cette même ville car il ne semble pas reprendre les canons de la gouache militaire tout en traitant le sujet sous l'angle de l'anecdote et de l'exaltation. De plus la ville est précisément décrite en flamme et pillée au second plan. Lefebvre de Bhaine, La Campagne de France. Tulard, 863.
Arléa, collection 1er mille, 2014. In-8 broché, couverture imprimée.
"Il s'appelle Olivier, elle s'appelle Héloïse. Ils vont déjeuner, mais la rame de métro dans laquelle ils sont montés est gravement endommagée par une explosion. Restera de cet accident des corps meurtris, un sentiment brisé et une photo de leur évacuation, si violente et si impudique qu'elle va tout faire trembler autour d'eux. Ils n'auront qu'une obsession : réparer les dégâts que cette image aura causés dans leurs vies. Portrait d'après blessure raconte l'histoire de deux êtres aux prises avec le pouvoir des photographies, qu'elles parlent la langue de la dignité ou celle du désastre." * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *