Dimension extérieur 44,5 x 55,5 cm, cuvette 43 x 53,5 cm. Très belle gravure, d'après Jean-Louis Ducis (1775-1847) et gravée par Jean Marie Gudin (1782-18..), représentant Orphée et Eurydice. En excellent état, épreuve réalisée peu de temps après le tableau de Ducis (1826).
Reference : est164t3
Jean-Louis Ducis était un élève de Jacques-Louis David, célèbre peintre de la période empire. Ici, nous pouvons noter les magnifiques objets et bijoux que possèdent les deux personnages, mais également une certaine froideur à travers leurs regards songeurs. Nous possédons une autre oeuvre de la même série : L'origine du dessin à la référence suivant : EST165T3
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LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 9 OCT 1880. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 337 à 360. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire : LE PROFESSORAT ET L'ADMINISTRATION DANS LES LYCEES PAR CH. BIGOT, LA SOCIETE ASIATIQUE III PAR ERNEST RENAN, DE L'ORIGINE DE LA MUSIQUE PAR CH. LEVEQUE, PAUL-EMILE BOTTA PAR VILLAMUS, OEUVRES INEDITES DE SAINT-SIMON PAR GEORGES DE NOUVION, LES JESUITES ET LE CANADA PAR DIDIER NEUVILLE Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, G. Brandus et S. Dufour sans date, vers 1865, 330x250mm, XX-, 682pages, demi-percaline. Gris. Plats papier marbré. Auteur et titre, entre filets, dorés au dos. Grosses taches de rousseurs sur les pages de titre, faux-titre, et préface. Peu de rousseurs marginales. Bon état.
+ 170 pages de musique sous forme de partitions,
Paris, G. Brandus et S. Dufour, sans date (1866) 1866 In-folio, plein chagrin vert, XX-, 682 pp. - 170 pp. de partition. Reliure fanée, charnière sup. fendillée, néanmoins solide. Brunissures marginales éparses.
In fine : Table alphabétique des principaux termes employés dans les proverbes musicaux, de leurs congénères, de leurs fréquentatifs et de leurs dérivés pris au propre ou au figure" Peu courant. Bon état d’occasion
Cet ouvrage donne des renseignements précieux sur Lully et ses contemporains. Paris, Jean Cochart, Etienne Ganeau, Jacque Quillau, 1715. In-12 de (8) ff., 487 pp., (1) p. d’errata. Maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, grandes armoiries au centre avec l'emblème de la Toison d'or, fleurs de lys aux angles, dos à nerfs fleurdelysé, entre-nerfs ornés du chiffre entrelacé et couronné du Régent, coupes décorées, roulette fleurdelysée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l'époque. 164 x 93 mm.
Édition originale de l’Histoire de la musique et de ses effets de Pierre Bonnet imprimée à Paris en 1715. Pierre Bonnet, médecin de la duchesse de Bourgogne, était neveu de l'abbé Bourdelot, qui s'était beaucoup occupé de l'histoire des arts en général, et de la musique en particulier. Pierre Bonnet, héritier de la bibliothèque de son oncle, continua ses recherches, mais ne put les publier. Jacques Bonnet, musicographe et chorégraphe, frère du précédent, hérita des travaux de son frère et de Bourdelot son oncle, et publia, d'après leurs manuscrits, une Histoire de la musique et de ses effets, depuis son origine jusqu'à présent ; Paris, 1715. « Cette histoire était la seule en France lorsqu’elle parut ; aussi procura-t-elle à son auteur une assez grande réputation ». « Jacques Bonnet nous apprend que quoique plus de douze cens Auteurs eussent traité de la Musique, personne jusqu’à lui n’avait essayé d’en faire une histoire complette. Cet ouvrage donne des renseignements précieux sur Lully et ses contemporains ». Exemplaire relié spécialement à l’époque, à la mort de Louis XIV, en 1715 pour le Régent, Monseigneur le Duc d’Orléans. Les dernières années du règne de Louis XIV furent empreintes de désastres et de tristesse et l'avènement du Régent marqua un changement complet d'état d'esprit où la joie, la danse, les fêtes et la musique reprirent leur place. Exemplaire de dédicace relié à l'époque en maroquin rouge aux armes et chiffres couronnés de Philippe II d'Orléans, petit-fils de France, duc d'Orléans, de Valois, de Chartres, de Nemours et de Montpensier. A la mort de Louis XIV, en 1715, la régence qui lui appartenait par sa naissance lui fut déférée par un arrêt solennel du parlement du 2 septembre 1715. « Le Régent adopta une politique presque complètement opposée à celle du règne précédent, supprima les ministères qu'il remplaça par sept conseils et fit quelques reformes utiles ; il fit sacrer roi Louis XV le 22 octobre 1722 et cessa ses fonctions de régent à la majorité du roi le 16 février 1723. Louis XV le prit, comme principal ministre le 11 août suivant, mais le duc d'Orléans mourut peu après à Versailles, le 2 décembre 1723, d'une attaque d'apoplexie, après avoir eu huit enfants légitimes, dont sept filles et plusieurs enfants naturels. » De la bibliothèque L. Wilmerding avec ex-libris gravé, vendu 25 000 € en juin 2007 (Ref. Paris, Livres précieux, n°116).
La lettre fait référence à l’article demandé par le critique pour sa revue, texte qu’il lui adresse en lui précisant qu’il n’est pas opposé au changement du titre. Fort intéressant texte sur la musique contemporaine qu’il aborde avec conviction. Il considère que les moyens mis à la disposition du compositeur contemporain sont à la fois une source de renouvellement « fertile » mais semé d’embuches de tout ordre : « stylistique, esthétique, social et politique. En effet l’époque où le cerveau nous offre tant de possibilités et de découvertes, exige plus qu’aucune autre la réflexion, le filtrage, la discrimination entre les moyens et les objectifs à atteindre... On ne renverse ni n’invente jamais rien dans l’art, mais on découvre les potentialités nouvelles dans une continuité immuable quasi organique. La rupture avec cette continuité, qui est la tradition, le désir de "révolution" avec la dévaluation des valeurs acquises par la recherche volontaire de faire à tout prix, ce qui n’a pas encore été fait, n’est pas un phénomène esthétique mais psychique [...] Il n’existe pas d’avance des panacées couvrant toutes les recherches... Ainsi la découverte de l’écriture atonale ou sérielle avait été d’une importance primordiale pour l’évolution du langage musical contemporain. Aboutissement d’un chromatisme poussé à l’extrême, son apport n’a rien qui s’oppose à la tradition... La grande question, pour moi, reste avant tout celle de l’apport de la personne humaine à l’acte de la création ». Il craint que dans la musique électronique, l’artiste ne devienne esclave de la machine. « Il est très significatif que certaines œuvres-clefs ouvrent et ferment en même temps leur propre cercle et ne sont pas sujettes à prolongement fertile...Comme c’est le cas pour Pelléas, Wozzek, ou sur un autre plan, l’Opéra de quatre sous ». Il veut témoigner, en sa qualité d’ami de Schönberg et de Berg, que «rien ne leur était plus étranger qu’une attitude d’iconoclaste vis-à-vis des moyens d’expression musicale ». Il rappelle la phrase de Schönberg sur le langage sériel : « Mais est-ce qu’ils y mettent aussi de la musique ? ». Enfin, il pense que la musique n’a aucun rôle social. « Dans notre époque du réel et du concret, la musique... avec la poésie, reste encore le seul phénomène abstrait dont le but n’est pas totalement dirigé vers une application pratique. Sachons lui garder un caractère de superstructure sociale... ».